Kristen … Mais qu’est-ce que t’es en train de faire ma pauvre fille ? Mais tu te ridiculises comme jamais. C’est le grand n’importe quoi là. Jared Leto, celui qui a été ton frère pendant des années, qui t’a vu toute gosse, t’annonce aujourd’hui qu’il te trouve sexy et tout ce qui s’ensuit, et qu’il a envie de toi … Et toi comme la cruche que tu es, tu tombes droit dans le panneau et tu réponds à ses avances comme jamais … Non Pire ! Tu fais tout ça en sachant que tu es en couple et pourtant tu n’en n’éprouves pas le moindre remord. Pourquoi ? Tout simplement parce que plus que jamais je réalisais que Robert et moi ça prenait davantage la mauvaise pente qu’autre chose et que Jared m’attirait plus que de raison, depuis plus longtemps que je ne voulais bien me l’avouer. Juste une attirance ? Non … Bien sûr que non. Mais avais-je le droit de parler d’amour quand lui-même n’en n’éprouvait très certainement pas ? Pouvais-je parler d’amour alors qu’il était bien connu que Jared Leto n’était pas du genre à s’engager pour une véritable et interminable relation. Certes je n’ignorais pas qu’il avait déjà été fiancé, personne ne pouvait l’ignorer. Mais au final, tout le monde savait aussi que s’il avait rompu, c’était justement à cause de sa musique, la femme de sa vie, ce qui le tenait en vie, la raison pour laquelle il avançait encore et toujours et semblait toujours dans sa bulle, son monde. Bref, tout cela pour dire que rien ni personne ne pourrait jamais le détourner de cette vie là. Et penser que moi je le pourrais, reviendrais à me vanter démesurément. Non seulement j’étais bien mal placée pour ne serait-ce que croire que je pourrais avoir un quelconque pouvoir là-dessus. Mais en plus, et surtout, je n’avais même pas l’envie de tenter quoi que ce soit et de vouloir me mettre en travers de lui et sa musique. Tout simplement parce que c’était ce qui le rendait putain d’heureux et le menait directement dans un tout autre monde, le sien, celui qu’il partageait avec ses fans. Comment avoir le cœur d’entrer dans la vie d’une personne qui n’avait véritablement pas besoin de ça ? De toute façon, soyons honnête … Ce n’était qu’une question de temps avant qu’il ne se lasse de moi, je n’en doutais pas une seule seconde. J’étais même choquée d’apprendre qu’il puisse un tant soit peu s’intéresser à moi à vrai dire.

Allongée sur le ventre, sur le lit dans lequel je dormais depuis quelques petits jours, je faisais lentement balancer mes pieds en l’air, jambes repliées en arrière. Jambes nues puisque j’avais bel et bien enfilé puis retiré un slim que j’avais été tout bonnement incapable de garder sur moi. Je n’avais pas menti à Jared en affirmant que je l’avais enlevé parce que j’avais beaucoup trop chaud. Et le sous entendu était lui aussi réel. Il avait le don de m’exciter comme jamais personne ne m’avait excité. Il me suffisait de penser à lui pour sentir mon cœur s’emballer, entendre sa voix pour avoir le souffle coupé, le voir pour avoir chaud et le fait de lire tout cela, ses avances ouvertes, ça avait eut le don de me tuer plus que de raison. En lisant ses sms, comment rester insensible ? C’était tout bonnement impossible ! Vraiment ! Lorsqu’il m’avait envoyé un dernier sms avant de monter dans l’avion, j’avais filé illico presto sous la douche pour tenter de me remettre les idées en place. Mais une douche froide n’avait pas suffit à me calmer totalement. Et au fil des minutes qui s’écoulaient, je sentais un stress atroce et étrange, me nouer le ventre. C’était pire que lorsque je montais sur un plateau télévisé en sachant que des millions de téléspectateurs allaient me voir. C’était pire que de présenter un film devant des centaines de personnes et de guetter leurs réactions lors du passage de la bande annonce. Bref … Je ne comprenais pas ce qui était en train de m’arriver mais je sentais mon estomac se tordre au fil des minutes. Je n’avais pourtant jamais été ni stressée, ni gênée ni quoi que ce soit d’autre en présence de Jared. Alors pourquoi était-ce le cas maintenant ? Parce que selon nos sms, nous étions sur le point de faire … Une chose que je n’avais pourtant pas le droit de faire. Non pas parce que j’avais dix neuf ans de moins que lui, car cela je m’en foutais royalement. Mais parce que j’étais en couple. Même si ce n’était pas tout à fait officiel, c’était bel et bien le cas et je n’étais pas la dernière des salopes de Hollywood, qui trompait sans gêne son petit ami. Certes notre relation connaissait beaucoup plus de bas que de hauts. Mais était-ce une raison pour que je lui fasse un coup pareil ? Coucher avec celui que j’avais longtemps considéré comme étant un frère, alors que justement Robert me reprochait plus ou moins cette relation très forte ?

Malheureusement, Jared avait parfaitement raison concernant la relation que Robert entretenait, soit disant, avec Emma. Jamais il n’avait cherché à démentir les rumeurs comme quoi Emma était vraiment intéressée par lui. Jamais il ne lui en avait voulu d’avoir autant critiqué la saga Twilight, continuant même à la côtoyer et à la complimenter à tout va. Il en était fini du temps où il ne faisait que me complimenter moi, via les médias, pour dire combien j’étais une actrice de talent. Je n’étais pas le genre de personne à adorer être complimentée encore et encore. Mais voir qu’il avait franchement cessé cela dès lors que j’avais fini par répondre à ses avances … C’était assez blessant et frustrant. A croire que j’avais perdu tout intérêt à ses yeux une fois que j’avais craqué. Avec une telle relation, comment ne pas perdre totalement la tête en apprenant qu’une personne que l’on désire et admire depuis longtemps sans jamais oser l’avouer, vous dit ouvertement qu’elle vous désire ? C’était impossible … Totalement. Donc, en toute logique, ma réaction était parfaitement normale, je ne pouvais que le croire. Je voulais le croire ! Soupirant longuement en regardant l’heure tourner, je m’étais installée face à l’aquarium, à regarder les poissons nager … nager … Et encore nager. C’était nul, sans intérêt et ça ne faisait absolument pas passer le temps plus rapidement ! De plus, ça ne m’empêchais pas de penser à la rafale de sms que nous venions de nous envoyer avec Jared et ça ne m’empêchais pas non plus de l’imaginer dans ce putain d’avion pendant que moi-même je l’attendais comme une pauvre imbécile. J’étais sur le point de faire le plus dingue que j’avais jamais fais … Et dans l’immédiat j’étais tout bonnement incapable d’en éprouver le moindre remord. Je n’arrivais même plus à penser rationnellement. Tout ce que je savais dans le fond, c’était que je le voulais. Et vite ! Apprenant par la suite qu’il était arrivé sur le sol londonien, je sentis une bouffée de désir et de panique me submerger, semblant vouloir m’étouffer. Le cœur s’emballant férocement, je cru mourir en apprenant à quel point il avait envie de moi. Pareille chose était-elle réellement possible ? Qu’un homme tel que lui … non … Que Lui, veuille de moi ? Je n’étais pourtant rien à comparer de toutes celles avec qui il aurait pu coucher. Je n’étais pas une mannequin, loin de là. J’étais juste une jeune actrice parfaitement commune, qui ne connaissait rien à la vie, voir même rien au sexe. Je n’avais couché qu’avec deux mecs dans toute ma vie. Autant dire que ce n’était vraiment rien à comparer de celles avec qui il avait pu entretenir une relation plus ou moins longue et plus ou moins sérieuse, dans le passé. Pourquoi moi ? Pourquoi avait-il envie de moi au point de passer une nuit sans dormir alors qu’il avait besoin de repos ? Pourquoi était-il prêt à faire un allé retour simplement pour me voir après un mois complet sans la moindre nouvelle ? Qu’avais-je de plus que les autres ? Rien ! Strictement rien ! Certes j’étais plus ou moins du même monde que lui mais ça n’expliquait pas tout. Il y avait tellement de femmes, largement plus belles que moi, qui étaient de notre monde. D’Ashley Greene à Sarah Michelle Gellar en passant par Blake Lively et Leighton Meester … Et pourtant c’était moi qu’il désirait. Et ce, depuis nos retrouvailles. Comment était-ce possible ?

Continuant de parler avec lui par sms, je ne pu m’empêcher de répondre ouvertement à ses avances, réagissant à chaque fois qu’il avait le don de m’exciter d’un cran au dessus encore, en faisant de même de mon côté. Jamais je ne m’étais comportée de la sorte avec aucun homme et pourtant je ne pouvais m’en empêcher. Pas même en réfléchissant un tant soit peu pour me calmer. Inspirer et expirer … Ne surtout pas oublier de respirer, sous peine de m’étouffer et mourir avant son arrivée. Ce serait dommage tout de même non ? Bien sûr que oui ! Surtout si le moment partagé à venir, était à la hauteur de nos sms. Bon ok … Je m’égarais. Je ne devais pas trop penser à cela, au risque de perdre totalement pied et de devenir complètement folle. Lorsqu’il me demanda confirmation sur ma tenue, je ne pu m’empêcher de rire en lançant un bref regard sur ma propre tenue. Une tunique courte, quelque peu moulante, noire, sans manche et relevée sur les côtés par des nœuds … Quant à mes cheveux, ils bouclaient sur mes épaules, puisque je les avais laissé sécher librement, y passant un simple coup de brosse une fois secs. J’aurais sans doute du me changer … Il avait l’air d’être suffisamment excité comme cela. Les sms suivant m’apprenant qu’il était dans l’hôtel, me firent totalement oublier le fait que je voulais me changer. Répondant rapidement à chacun de ses sms, j’essuyais avec insistance mes mains moites sur ma tunique, regardant autour de moi presque paniquée. Merde … Jared avait envie de moi. Nous allions … Non, nous ne pouvions pas. J’étais en couple merde ! Et alors ? Tant pis ! Non pas tant pis … Si ! Rhââ merde ! Riant quelque peu à ce qu’il pouvait me dire, je me figeais franchement en apprenant qu’il avait trouvé ma porte. Oh merde il était là … Il était là pour moi. Bon sang ! Lui disant alors de frapper, je sursautais presque en entendant les coups à la porte. Quelle conne … Je lui disais de frapper en sachant qu’il était devant ma porte et je trouvais le moyen de sursauter quand même. Le souffle totalement coupé, je me tournais lentement vers la porte encore close, sachant qu’il était derrière. Totalement en panique, je lui demandais de patienter trente secondes le temps de souffler. Ma poupée … Il m’avait appelé ma poupée … Dieu que j’aimais … Non c’était ce type que j’aimais ! Bordel j’étais folle de lui. Fermant les yeux, je soufflais longuement en m’approchant lentement de la porte. Posant ma main dessus, je déglutis difficilement en fermant un moment les yeux, mon cœur battant la chamade. J’étais sur le point de faire la pire mais la plus belle des conneries. Prenant finalement mon courage à deux, je déverrouillais la porte et l’ouvrais plus ou moins lentement, me figeant alors en levant le regard vers lui. Merde il était … Bon sang comment lui résister ? Son tee shirt plus ou moins près du corps, des manches courtes qui découvraient ses bras absolument parfait que je rêvais de voir se refermer autour de moi depuis bien trop longtemps. Quant à son pantalon il n’avait pas menti. Il portait un pantalon plus ou moins large. Un sarouel noir tout simplement. Et le tout avec sa paire de chaussures noires et grises que je connaissais par cœur. Et que dire de son visage et de ses cheveux ? Bon sang cette coiffure me rendait dingue. Du moins, ce manque de coiffure. Ses cheveux bruns un peu trop longs depuis quelques temps, qu’il n’avait pas prit la peine de coiffer avant de venir sur le coup sans trop réfléchir. Et ses lunettes de soleil qui lui allait à merveille. Le souffle coupé, je restais totalement conne devant lui, me mordillant lentement la lèvre sans savoir que dire. « Jared … » Soufflais-je doucement en me figeant plus encore. Merde, n’étais-je pas censé me reculer pour le laisser entrer ? Si … Sans doute que si … Mais avant ça je devais redescendre sur terre, tenter de retrouver mes moyens … Au moins un minimum …

Tu es fou… Oui voilà ce que j’étais en train de me dire, je ne cessais de me répéter ces trois petits mots dans ma tête. Trois mots qui tournaient en boucle en moi. Est-ce que j’étais réellement fou ? Bien sur ! Je l’avais toujours été en fait. On ne devient pas fou, on nait fou ! La folie était un art qui se cultive oui c’était bien connu, quand on nait fou, on cultive cette folie pour l’accroitre et la développer et en faire une espèce de folie intense et puissante… Et dans mon cas, la folie que j’avais été immense et intense. Inimaginable, grandiose et j’en passe. Mais au fond j’étais habitué, j’étais fou depuis ma naissance… J’avais prit le temps de m’auto cultiver, d’apprendre à me connaitre, après tout j’avais trente neuf ans, autant dire que j’avais du passé derrière moi, du vécut, je savais de quoi était fait la vie, je savais comment elle se déroulait, comment elle marchait, j’avais de l’expérience si je puis dire. La vie est faite de haut et de bas, on le savait tous. Je ne saurais dire si tel jour est bon ou mauvais, je découpe ma vie par moment et non par jour. Et il était clair que dans le fond, j’avais beaucoup d’échecs, mes objectifs n’étaient en rien atteints, mais on apprend de la vie par ses échecs on s’en relève, on en ressort plus fort, oui. Et dans mon cas je savais que ma vie était un échec mais au fond je n’étais pas si déçu que cela, il y avait pire que moi dans la vie, je le savais parfaitement. J’avais une vie de rêve pour certains… Mais ce n’était pas le cas. Nous étions en plein procès, la dette énorme à payer, ce coup de massue sur la tête, on ne peut pas dire que ça soit réjouissant. Nous avions bossés tellement dur pour cet album pour s’en sortir, faire quelque chose de grandiose, fabuleux et nous avions réussi. Malgré que les enregistrements se soient fait dans un studio minable, nous avions obtint nos objectifs ! Dans un sens c’était réjouissant mais la partie n’était pas pour autant fini, il nous fallait un quatrième album et travailler pour cette maison de disque nous dégouté de plus en plus.

C’était ma vie, la mienne la notre je partageai ce fardeau avec mon frère et mon ami nous étions trois dans cette galère et je savais, on savait que l’on s’en sortirait un jour ou l’autre. Et beaucoup plus fort qu’auparavant ! Inspirant doucement en essayant de changer mes idées un tant soit peu trop noir à mon gout, j’essayais de repenser a ce que j’étais en train de faire. J’étais fou. Oui ! Très fou ! Un ouf comme dirait ces français. Oui c’était ça ! Je suis un ouf ! Faire ça je ne l’avais jamais fait, je n’avais jamais eu dans l’idée de sauter dans un avion pour retrouver une femme dans un autre pays pour moins d’une journée pour lui faire l’amour. Oui car nous n’allions pas nous regarder dans le blanc des yeux je le savais parfaitement. Est-ce qu’elle savait ce qu’elle faisait elle ? Ok, elle m’avait clairement avoué qu’elle me désirait qu’elle avait envie de moi, de sentir à nouveau mes lèvres sur les siennes un baiser surement passionnel, un baiser des plus torrides, chaud, tentant et j’en passe… Oui c’était cela que j’imaginais quand je pensais à un nouveau baiser. Je me voyais parfaitement la prendre dans mes bras pour déposer avec douceur mes lèvres sur les siennes si tentante si envoutante et parfaite. Sentir son essence enivrer mon corps, des frissons dans tout mon être, mon cœur qui bat la chamade, le souffle qui s’accélère, oui je voulais tout cela. Je voulais sa langue contre la mienne, je voulais l’entendre gémir de plaisir sous mon baiser ardant. Chose qui n’allait surement pas tarder au fond, il suffisait simplement que je monte dans cet avion et c’était clairement ce que j’étais en train de faire. Je montais les escaliers… Est-ce que j’avais peur ? Non, j’avais bien l’habitude de prendre l’avion mais pour le moment aucune angoisse, rien vis-à-vis de Kristen. Je savais que cela viendrait plus tard une fois dans l’hôtel. Est-ce que je faisais une connerie ? Clairement car elle avait un mec tout de même… Mais dans le fond ce Robert Pattinson, il n’était pas mon ami, ok on s’était croisé une fois, on était fatigué, on avait prit une photo et cela s’arrête là ! Rien de plus rien de moins… Il couchait avec ma Kristen, qu’il soit content que je ne lui pète pas la gueule ouais… Parce que depuis le temps que je la désire… J’avais eu le temps de voir leur relation évoluer ce qui m’énervait au pus haut point. Mais au final je n’y pouvais rien, j’avais simplement attendu inconsciemment qu’elle soit majeure je pense. Vingt et un ans. Je ne voulais pas d’histoire, déjà que je couchais avec beaucoup de fille jeune… Enfin beaucoup… N’abusons pas tout de même mais disons qu’en plus de vingt ans de vie sexuelle active…

J’avais oui couché avec beaucoup de jeunes filles. En même temps au vu de ma profession je n’avais pas franchement le temps pour une relation à longue durée loin de là même… Puis je ne voulais pas faire souffrir les filles, je n’étais pas ce genre de mec qui fait souffrir les gens. Je souffrais assez de moi-même pour faire du mal aux autres. Non autant éviter au maximum mais avec Kristen le désir, l’amour que j’avais pour elle était bien plus fort que ce que j’avais connu dans tout le reste de ma vie. J’étais littéralement amoureux d’elle, oui, comme un coup de foudre. Le fait de ne pas l’avoir vu pendant quelques années, de la quitter gamine et de la revoir maintenant en jeune femme… C’était comme une bombe qui avait explosé en moi. Des yeux vert magnifique, une chevelure sublime un sourire enfantin, Kristen était mon idéal féminin j’en restais persuadé. Rien que de penser à elle, mon corps se mit a trembler, un frisson de désir s’emparait de moi. C’était d’une violence totalement incontrôlée… Je savais que je n’allais pas tenir bien longtemps… Rien que de la voir, me demanderait un effort surhumain… Oui… Pour ne pas lui sauter dessus, l’embrasser en la plaquant sur cette porte… Ne pas la prendre debout… Elle me donnait des idées, elle m’inspirait, elle était en train de me rendre encore plus fou que ce que je ne l’étais. Dans un sens, ce n’était pas plus mal… Oh ça non ! Fermant brièvement les yeux j’inspirais longuement en tournant alors la tête vers l’hublot pour voir le soleil plus ou moins se lever dans le ciel. Je n’avais pas dormi de la nuit encore, le décalage horaire était toujours présent en moi, il était rare que je dorme aux heures dîtes normales mais on s’y habitue la aussi. Passant ma langue sur mes lèvres je fermai vaguement les yeux tout en serrant les accoudoirs dans ms mains. Nous n’étions pas nombreux dans ce vol là ce qui n’était pas plus mal. Puis de toute façon trente minutes de vol ce n’était pas grand-chose, autant dire que ça passait bien vite. Annonçant alors la fin du vol, je souriais faiblement, en sentant alors mon corps s’engourdir d’une drôle de sensation. J’aimais terriblement Kristen, je l’aimais éperdument oui. J’espérais qu’elle et moi ça puisse marcher. Est-ce que ça ne serait que le coup d’un soir ? Non, je ne pouvais pas penser cela, elle n’était pas de la sorte… Passant ma main dans mes cheveux arrangeant ceux-ci qui tombaient sur mon front ne mettant pas coiffé j’enfilais alors mes lunettes de soleil. Plissant le nez, je pris mon sac sur mon épaule, un simple sac avec des rechanges rien de plus rien de moins. Me levant je partis alors en direction de la sortie. L’air était beaucoup plus frais que sur la France. Frissonnant franchement, je descendis alors les escaliers me pressant étant tout de même pressé de la voir, de pouvoir la prendre dans mes bras.

De pouvoir l’embrasser, la toucher tout simplement. Marchant dans le hall de l’aéroport, je pris alors mon téléphone pour lui annoncer que j’étais alors sur le sol londonien. Je n’allais pas tarder a arriver dans son hôtel, le Sofitel. Me faisant accoster par quelques gens, je signais rapidement quelques autographes tout en marchant montrant que j’étais pressé, oui je voulais la voir elle et pas eux. Léchant mes lèvres je posais pour des photos avec des fans avant de voir alors l’hôtel ou Kristi résidait. Mon cœur se mettant à battre la chamade J’accélérais plus ou moins le pas. Entrant dans l’hôtel, je vis a l’accueil une femme me regarder puis me sourire. Je lui fis signe que j’avais déjà une chambre, chose fausse mais je n’allais tout de même pas lui dire que je montais dans la chambre deux cent vingt deux pour faire l’amour avec Kristen Stewart tout de même… Il serait clair que dans une heure l’information serait dans les journaux… Pas que ça me déplaise mais pour elle, vis-à-vis d’elle, elle méritait plus de respect que cela ! Prenant l’ascenseur j’appuyais sur le bouton deux pour monter forcément au second étage. Arrivant au fameux étage, j’eu tout à coup très, très chaud. Serrant mon sac dans ma main, lui envoyant alors par message que j’étais là et si je devais frapper ou pas, elle m’annonça alors que oui je devais frapper. Souriant en coin en léchant a nouveau mes lèvres je rangeai mon téléphone dans la poche de mon pantalon avant de frapper trois coups sur la pote bien prononcé pour me faire entendre. Inspirant a grande goulée je vis alors la poignée se baisser puis la porte s’ouvrir lentement dévoilant alors Kristen. Me figeant franchement en voyant son manque de tenue, je lâchais un bref gémissement a peine audible. Déglutissant longuement, je baissais un regard involontairement sur ses fines jambes bien galbé dont je rêvais chaque nuit… Oui je voulais les voir s’enrouler autour de ma taille… Me serrer sous mes coups de reins… Relevant le regard pour voir sa tunique bien moulante pratiquement inexistante même, je rêvais de passer mes mains dessous pour dévoiler ses petites fesses parfaite… Sa poitrine ressortant elle aussi j’en vins alors à son visage rencontrant plus ou moins ces yeux d’un vert magique et intense. « Jared … » ça voix me fit frissonner de tout mon long avant de je ne m’approche lentement d’elle. Gardant mon regard dans le sien, je regardais alors ses lèvres avant de prendre mes lunettes d’une main les enlevant alors avec extrême lenteur pour plonger mon regard avec sensualité dans le sien. Passant ma langue sur mes lèvres, je ne la quittais pas du regard tout en inspirant franchement comme pour me donner du courage.

« Kristen… » soufflai-je doucement en me rapprochant encore plus près d’elle. N’étant pas décidé à me laisser rentrer je souriais faiblement en collant mon corps contre le sien me baissant pour effleurer son nez du mien avant de déposer mes lèvres sur la commissure des siennes comme pour la provoquer avant de passer entre la porte et elle pour lui prendre la main et fermer la porte à sa place mettant alors le verrou l’air de rien. « Respire on dirait que tu as vu un mort ma belle… » annonçai-je l’air de rien avant de poser mon sac sur le sol m’aventurant alors dans sa chambre d’hôtel qui était on ne peut plus confortable à mes yeux. Posant mes lunettes sur un meuble, je me tournais lentement vers elle en la détaillant à nouveau du regard tout en déglutissant longuement regardant sa poitrine puis ses jambes avant de remonter à son visage si parfait et doux. « Ça va ? Sofitel pas d’homme politique dans ta chambre, juste un musicien, j’espère que ça te convient ma Kristi... » m’avançant près d’elle, je posais alors ma main sur sa joue la lui caressant très lentement nos corps se rencontrant alors enfin mes lèvres si proche des siennes prêt a l’embrasser.

Etais-je le genre de fille à faire la moindre petite folie soit-elle, dans sa vie ? Etais-je le genre de personne à agir sans trop réfléchir pour, par la suite, subir les conséquences ? Non, absolument pas. J’étais tout sauf cela, c’était certain. Au contraire même. J’étais une fille réfléchie qui prenait le temps d’analyser chaque situation avant de faire ou dire quoi que ce soit. Je ne voulais pas être embarquée dans la moindre petite galère et préférais une vie presque minutée pour que tout soit absolument parfait. Mais à présent, le doute était jeté. Ma vie était-elle parfaite ? Etais-je pleinement heureuse ? Non pas le moins du monde. Sans doute que sans Robert, comme l’avait clairement dit Jared via ses sms, je serai bien mieux. Mais je ne savais pas, ne savais plus qui j’étais, ce que je voulais, comment je le voulais. J’irais même jusqu’à dire que, dans le fond, j’ignorais totalement pourquoi j’étais en couple avec Robert. Parce qu’il avait joué à son petit jeu de séduction pendant des mois et qu’au final, je m’étais dis pourquoi pas ? J’étais stupide, à n’en pas douter. Est-ce que j’étais amoureuse de lui ? Je l’avais cru pendant longtemps mais dans le fond l’amour c’est quoi ? Je n’en savais rien. Ce que j’avais ressenti pour Michael s’en rapprochait davantage à n’en pas douter. Si … L’amour je savais ce que c’était. C’était ce putain de sentiment qui me suivait depuis très longtemps et qui me tordait le cœur de frustration à chaque fois que je voyais Jared. Durant les premières années où nous nous étions connus, j’avais été beaucoup trop jeune et impressionnable. A cette époque là, je pensais simplement comme le disait les adultes, que c’était un petit béguin de passage, que ça allait passer par la suite tout simplement. Comment une gamine de onze ans aurait-elle put être sincèrement amoureuse ? C’était impossible ! C’était du moins ce qu’avaient tenté de me convaincre ma famille au grand complet et j’avais suivis leur raisonnement sans broncher. Mais depuis un an et demi qu’il était à nouveau dans ma vie, j’avais bien du mal à me convaincre que ce n’était qu’un petit coup de cœur de passage, coup de cœur d’une adolescente pour une personne hors normes. Mais en voyant que notre relation était repartie comme dans le passé tel un frère et sa sœur, j’avais cessé de trop penser à mes sentiments qui étaient plus amoureux qu’amicaux ou fraternels, à son égard. Le tout, totalement persuadé que de son côté il me considérait simplement comme une sœur ou une simple petite protégée et rien de plus.

Comment aurais-je pu me douter un seul instant que dans le fond, il voulait plus ? Comment aurais-je pu savoir qu’il avait envie de moi ? C’était tout simplement impossible à deviner et encore plus en sachant que dans le fond, même si j’étais une actrice, je n’étais qu’une fille parmi tant d’autres. Je n’étais pas spécialement belle, pas spécialement intelligente et pas spécialement douée dans ce que je faisais. Bref, j’étais absolument basique. Je ne méritais pas un type aussi formidable que Jared Leto et je m’étais faite à cette idée depuis bien longtemps déjà. C’était sans doute même l’une des raisons qui m’avaient poussé à me jeter dans les bras de Robert. C’était très certainement une horreur que d’avouer et penser cela à présent mais dans le fond je ne doutais pas de ces pensées. Cela faisait exactement dix sept mois que Jared était à nouveau entré dans ma vie pour, de toute évidence, ne pas en ressortir de sitôt. Si durant les premiers mois j’avais tout fait pour cacher les sentiments que j’avais à son égard, semblant presque espérer et attendre qu’il en soit de même pour lui, j’avais bien du faire face au finale, au fait que pour sa part il ne m’aimait pas comme moi je l’aimais. D’ailleurs, je ne comprenais pas comment j’avais fais pour y croire ne serait-ce qu’une seule petite seconde. Il était tellement évident que Jared n’avait que l’embarras du choix parmi toutes les femmes plus belles les unes que les autres à Hollywood. Comment aurait-il put vouloir de moi ? Question existentielle … Quoi qu’il en soit, il m’avait fallut sept mois avant de retomber sur terre et de me dire que pour l’oublier un tant soit peu, je me devais de passer à quelque chose d’autre. Et pour cela, quoi de mieux que de sortir avec celui qui me faisait la cours depuis quelques petites années déjà ? Kristen Stewart et Robert Pattinson, un couple que tout le monde voulait voir se former à la rue, tout autant qu’à l’écran. Un couple très médiatisé et que les rumeurs disaient ensemble depuis le début du tournage du premier Twilight. Un couple qui avait fait parlé de lui en faisant mine de s’afficher tantôt ensemble et tantôt séparé. En trois années, nous avions gagné trois fois le prix du meilleur baiser de cinéma. La coutume voulait que nous nous embrassions sur le plateau devant les caméras et le public. Les deux premières années, j’avais refusé pour la simple et bonne raison qu’à mes yeux, nous étions un couple à l’écran mais que ça devait s’arrêter là. Je savais que Robert espérait déjà trop une relation entre nous, pour que je laisse une telle chose se faire. Je ne tenais pas à le blesser d’une quelconque façon que ce soit. Quant à la troisième année, j’en avais vaguement parlé avec lui pour le cas où le prix nous reviendrait à nouveau. Je lui avais dis que je ferais mine d’accepter mais que lui devrait plutôt aller embrasser quelqu’un d’autre histoire de faire mine de se venger des deux années précédentes.

Il avait évidemment accepté, en pensant qu’il s’agissait d’une sorte de jeux ou de petite taquinerie envers les médias et tous nos fans. Il était évidemment bien loin de se douter que j’étais à mille lieux de vouloir officialiser notre relation à présent, alors que je venais d’embrasser Jared, quelques temps plus tôt. Certes je n’avais alors plus de nouvelles de lui depuis le baiser. Mais ça ne m’empêchait pas d’être hantée par ce baiser comme jamais. Ce mur dans mon dos lorsqu’il m’avait fait reculer, ses lèvres se pressants contre les miennes avec douceur mais insistance, son souffle contre ma peau, son odeur, sa chaleur … Tout ça m’avait tué plus que de raison et je n’avais eus, dès lors, plus d’autre envie que de l’embrasser à nouveau. Mais cette fois, en répondant plus rapidement à son baiser. Car ce jour là, Shannon était entré au moment même où j’avais commencé à entrouvrir les lèvres pour lui répondre. S’agissait-il d’un signe qui signifiait que nous ne devions pas faire cela, surtout pas ? C’était bien ce que j’avais pensé ce jour là, préférant alors filer comme une voleuse plutôt que d’affronter le regard de Jared après tout cela. J’avais commencé à lui répondre, qu’avait-il pensé de moi ? Sur le coup sans doute avait-il apprécié mais par la suite … Il avait clairement du penser de moi que j’étais une salope, ni plus ni moins ! Que penser d’autre d’une fille qui est en couple depuis dix mois mais qui n’hésite pas à embrasser un ‘ami’ ? Mais bon sang que j’avais aimé son baiser et que j’aurais donné cher pour qu’il m’embrasse à nouveau de la sorte ! J’étais clairement folle de lui et cela tendait à s’agrandir de plus en plus au fil du temps. J’étais vraiment une fille stupide et naïve ! D’ailleurs … Il m’avait dit dans l’un de ses sms, que j’étais naïve. Ce n’était pas faux du tout et je devais bien le reconnaître. Il me faisait des sous entendus clairement sexuels dans ses messages et je mettais trente plombes à les voir et les comprendre. En même temps, je ne m’étais pas encore faite à l’idée qu’il puisse vraiment avoir envie de moi. Alors comment me douter une seule petite seconde, qu’il puisse s’amuser de la sorte à balancer des sous entendus à tout va. Mon cœur s’emballant de plus en plus au fil des minutes qui s’écoulaient, je regardais l’heure tourner en sachant qu’il n’allait plus tarder à arriver devant la porte de ma chambre d’hôtel. Ce que nous allions faire était absolument clair et net, aucun doute sur le sujet. Mais comment étais-je censée réagir ? Que devais-je faire ? Le saluer, le laisser entrer, lui offrir un verre ? Bon sang que j’étais stupide … Ca en devenait carrément honteux d’être de la sorte ! Je ne savais même pas ce que j’étais censé faire, ni même dire. J’osais espérer que lui au moins, saurait rester un tant soit peu calme et maitre de la situation. Avec un peu de chance, il saurait que faire et que dire et à quel moment. Je n’aurais qu’à le laisser prendre le contrôle de la situation …

Et ce, même s’il avait l’air tout aussi perdu et excité que moi-même je l’étais. Le cœur battant la chamade et mon souffle se coupant sous l’envie que j’avais de lui, je l’imaginais en train d’errer dans les couloirs de l’hôtel à la recherche de ma chambre, totalement en sueur et le souffle court et précipité. L’estomac en vrac tant j’étais en mode stress et tout ce qui s’ensuit, je sentais la panique et la peur me gagner. J’avais beau me dire qu’il ne s’agissait que de Jared, un type que je connaissais depuis dix ans, ça ne m’empêchait pas de ne plus savoir que faire et que dire. Il allait sans doute se foutre royalement de moi. Lui qui semblait toujours tout maitriser à la perfection, n’allait peut-être même pas comprendre pourquoi j’étais dans un tel état pour ma part. Pourtant cela me paraissait presque normal de réagir de la sorte en sachant que … Bon sang, j’étais sur le point de coucher avec lui alors qu’il était censé n’être qu’un frère de cœur et rien de plus. Coucher avec lui … Ce qui signifiait tromper Robert. Bon sang j’étais vraiment la dernière de garces. Je n’avais pas le droit de faire un truc pareil ! Même s’il se passait vraiment quelque chose entre Emma Watson et lui, je n’étais pas du genre à me venger en agissant de la sorte. Je n’étais pas une salope, ni même une garce. Et je refusais clairement de le devenir ! Et pourtant … Merde je ne pouvais pas dire non à Jared alors que je crevais d’envie de lui depuis bien trop longtemps ! Les coups frappés à la porte me firent brutalement retomber sur terre. Merde il était là … Inspirant et expirant à plusieurs reprises durant le court trajet jusqu’à la porte qui pourtant me parut durer une éternité, je posais enfin la main sur la poignée attendant un moment avant de l’actionner et ouvrir la porte. Prenant mon courage à deux mains, j’ouvrais la porte pour me retrouver face à lui, me figeant franchement en réalisant une nouvelle fois combien il était … Plus que beau. Bordel c’était un Dieu, il n’y avait pas d’autre mot pour le décrire ! Dieu ! Son regard caché derrière ses lunettes, je fus presque frustrée de ne pas pouvoir voir sa réaction, de ne pas savoir ce qu’il pensait de tout cela, de nous, de moi, de ce que nous étions sur le point de faire. Le regardant longuement sans ciller comme s’il aurait pu disparaître en un battement de cils, je soufflais doucement son prénom. Le regardant s’approcher de moi avec lenteur, je déglutis longuement en me figeant quelque peu presque malgré moi. Le regardant retirer ses lunettes avec lenteur, j’entrouvris les lèvres en laissant échapper un faible soupire. « Kristen… » Le souffle coupé, je le laissais se coller à moi, sentant mon cœur s’emballer comme jamais au contact de son corps parfait contre le mien. Son nez caressant lentement le sien, suivit de son lent baiser sur la commissure de mes lèvres, je fermais à demi les paupières en luttant contre l’envie de l’embrasser franchement. Le sentant se détacher de moi pour se faufiler dans la chambre en s’emparant de ma main et refermant la porte derrière lui, je lui lançais un regard perdu et surprit en haussant légèrement les sourcils, semblant ne pas trop comprendre ce qui m’arrivais. « Respire on dirait que tu as vu un mort ma belle… » Lui lançant un regard noir, malgré la lueur de désir qui y brillait, je lui tirais vaguement la langue. « Non juste Jared Leto. Je ne pensais pas que ça faisait le même effet ! » Lançais-je pour le taquiner en plissant légèrement le nez.

Le regardant entrer franchement dans la chambre après avoir posé son sac sur le sol, je croisais lentement mes bras sous ma poitrine, la remontant sans trop y penser, trop occupée à le détailler lentement du regard. Bordel, j’avais laissé entrer un Dieu dans ma chambre ! « Ça va ? Sofitel pas d’homme politique dans ta chambre, juste un musicien, j’espère que ça te convient ma Kristi... » Relevant rapidement le regard sur son visage, je rougissais quelque peu à l’idée qu’il ait put me surprendre en pleine contemplation de sa petite personne. Bon sang je devais me ressaisir avant de me ridiculiser pour de bon ! « Les politiciens sont souvent ennuyeux et rarement beaux. Je pense gagner au change oui. » Répondis-je simplement en gardant mon regard plongé dan le sien, n’arrivant toujours pas à me dire qu’il était bel et bien là avec moi … Pour moi ! « Et pour répondre à ta question … Oui ça va … J’en oublierais presque que je viens de passer une nuit blanche. Et toi ? Pas trop … Fatigué ? » Demandais-je ensuite d’une voix de plus en plus faible à mesure qu’il s’approchait de moi pour poser sa main sur ma joue. Soufflant doucement de bien être, je me figeais doucement en baissant le regard sur ses lèvres si proches des miennes. Bon sang il était en train de me tuer … Trop lent … Je voulais sentir ses lèvres se presser contre les miennes, sa langue caresser la mienne, son souffle sur ma peau. Songeant que je devais l’embrasser pour lui faire comprendre combien j’avais bel et bien envie de ce baiser et que cette fois ci je ne partirais pas comme une voleuse, je décroisais mes bras pour poser mes mains sur sa taille pour m’approcher plus encore de lui, me redressant lentement pour déposer un simple baiser sur ses lèvres. Le souffle coupé, je me reculais légèrement pour le regarder presque perdue avant de l’embrasser à nouveau, plus franchement cette fois ci, en passant mes bras dans son dos pour me coller plus encore contre lui.

Connerie ou pas connerie ? Non, ce n’était pas une connerie, mais si s’en était une ! Mais non… Non, j’agissais normalement, je devais agir de la sorte, c’était même presque normal que je fasse cela a vrai dire… Mais non, j’étais en train de perdre la tête ! Je ne savais plus ce que je pensais, je ne pensais même plus correctement en faite ! Il fallait que je me ressaisisse et que je me mette à penser correctement… Mais c’était tout bonnement impossible, surtout quand l’on voit a quel point elle me rendait complètement chèvre… Elle me tuait de désir et de plaisir… Elle ne se doutait pas une seule seconde que la nuit c’était d’elle dont je rêvais… elle que je voyais allongée sur mon lit le corps nu offert au mien, ses jambes écartés, son intimité mouillé devant mon membre durcit… Mon membre glissant en elle avec rapidité et force... Mes vas et vient, mes cris, ses cris, oui j’imaginais très bien tout cela et je le rêvais de plus en plus et c’était frustrant de se lever le matin totalement durci, obligé de se masturber comme jamais en l’imaginant me faire des choses, ou bien même l’imaginant en petite tenue comme dans son dernier film Welcome to the Rileys… Non mais vraiment j’étais devenu un accro de son corps et les rêves devenaient de plus en plus torrides ce qui avait tendance à me tuer. Il fallait que je change de pensées et vite… Si je ne voulais pas me cacher dans des toilettes de cet hôtel avant d’arriver a sa porte… J’étais totalement dur… Et je ne débanderai pas avant un très bon moment, pas tant que je la pénètrerais pas… Pas tant que je lui ferais l’amour, pas tant que je glisserai en elle… que sa soit sa bouche ou son intimité. Putain pourquoi je pensais de la sorte ? Inspirant grandement, tout en relevant un vague regard, je me stoppais alors de marcher tout en comprenant ce que j’étais en train de faire.

J’allais dans sa chambre, j’allais dans cet hôtel, a Londres la rejoindre en pleine nuit, mais pour y faire quoi ? Ah… Telle est la question… L’amour pardi ! Putain de pervers Jared ! J’avais carrément honte de penser de la sorte… Mais, en fait pas du tout ! Au diable les raisons bonjour a la déraison et a l’immoralité et aussi au plaisir tant qu’à faire ! Oui car nous allions prendre du plaisir, je n’en doutais pas une seule seconde même ! Comment ne pas en prendre ? Elle était la tentatrice dans toute sa splendeur… Je l’imaginai en petite tenue dans cette foutue chambre… Il fallait que je la vois, que je lui parle que je lui écarte les jambes et que je la prenne en force… Non, mais non ! Calme-toi Jared… Léchant mes lèvres en soupirant longuement, je vis alors la porte de sa chambre… Cette porte était… Ce qui me séparait d’elle…Oui, elle était la de couleur marron, comme beaucoup de porte que l’on pouvait trouver dans des hôtels, ou blanche, bref on s’en foutait en fait de cette putain de couleur, mais, elle allait s’ouvrir dans peu de temps, oui, elle allait s’ouvrir et me laisser voir la femme que j’aimais depuis un bon moment. Oui, tel un coup de foudre, j’avais été frappé en plein cœur sans rien demander et je ne refusais pas le moins du monde cet amour, pourquoi je le ferai d’ailleurs ? elle était parfaite à mes yeux, sublime, elle devait rester comme elle était… Je l’aimais de la sorte, folle, souriante, gentille, timide, quelque peu réservé… Mais en fait c’était une bulle qu’elle avait autour d’elle en publique pour se protéger. Je le savais, je l’avais déjà cerné cette petite fille aux allures Angeline. Inspirant fortement tout en fixant cette maudite porte qui nous séparé depuis bien trop longtemps, je la vis enfin s’ouvrir. Souriant faiblement je portais alors mon regard sur elle me figeant en constatant sa tenue si… Petite… si moulante, si… Excitante !

Passant ma langue sur mes lèvres comme un con le faisant même plusieurs fois d’affilé je ne pus m’empêcher de la contempler comme figé sur place sans pouvoir faire autre chose… Ce qui n’était pas si faux en fait… J’étais obnubilé par elle… entendant mon prénom de sa bouche, je relevais un vague regard sur son si beau visage tout en souriant faiblement. Dieu que mon prénom dans sa bouche sonnait bien… J’aimais terriblement… Oui, il n’y avait pas a redire… Inspirant franchement comme pour me donner du courage je murmurais à mon tour son doux prénom… Kristen… Un si beau prénom à mes yeux, qui lui allait a merveille. Passant ma langue a nouveau sur mes lèvres en me les mordillant par la suite j’avançais tranquillement en passant entre la porte et elle lui demandant alors si elle avait vu un mort au vu de la tête qu’elle était en train de tirer. Oui, on aurait dit que j’étais un fantôme, pourtant j’étais bel et bien vivant et devant elle… Attrapant sa main lui faisant lâcher la poignée, je fermais alors très lentement la porte prenant mon temps comme pour immortaliser ce moment si unique et si riche en émotion… Nous étions dans notre monde… Nous étions ailleurs… On était en train de vivre une sorte de rêve… Lâchant sa main une fois la porte fermé et le verrou mis, l’air de rien, je m’avançai dans la pièce contemplant alors ce qu’il y avait dedans. « Non juste Jared Leto. Je ne pensais pas que ça faisait le même effet ! » Haussant un sourcil en léchant mes lèvres, je lâchais un bref rire malgré moi lui lançant un regard alors quelque peu taquin sur le coup. Comme si je pouvais faire autant d’effet qu’un mort… Est-ce que c’était un compliment d’ailleurs ?

Je n’en savais trop rien… J’allais le prendre tout comme… Faut tout de même avouer que parfois on n’aimerait pas revoir certains morts tout de même… Inspirant longuement tout en la regardant je posais tranquillement mon sac à même le sol tout en jetant un regard circulaire sur la pièce ou nous nous trouvions. « Genre… Et qu’est ce que Jared Leto a de si particulier ? Dis-moi que je sache tiens… Je suis un tantinet curieux sur ce coup là… » soufflai-je doucement e lui lançant un regard coquin avant de la voir rougir. Souriant en coin je la détaillais rapidement du regard en m’arrêtant sur sa poitrine assez généreuse soit dit en passant franchement relevé par ses bras croisés sous sa poitrine. Léchant mes lèvres à plusieurs reprises sans trop m’en rendre compte plus par envie de lécher sa poitrine qu’autre chose, j’inspirais longuement comme pour calmer mes envies de lui sauter dessus et de la faire mienne dans un puissant coup de rein, je fermais vaguement les yeux en me rapprochant alors d’elle. Lui demandant si le Sofitel était parfait pour elle et si par la même occasion il n’y avait pas trop d’homme politique, en faisant référence à la fameuse affaire des français se déroulant sur New-York. Qui n’était pas au courant de nos jours ? On se le demande bien. Enfin bref c’était surtout pour engagé la conversation et dire quelque chose, je ne voulais pas non plus que l’on se regarde dans le blanc des yeux sans rien se dire et que je sois venu pour rien… Se serait tout de même dommage… Me rapprochant dangereusement d’elle je me collais plus ou moins à son corps en la regardant droit dans les yeux, comme pour la provoquer un tant soit peu. J’aimais en fait, la provoquer, c’était terriblement tentant surtout quand l’on pouvait voir son si joli petit minois a quelque centimètre du mien… « Les politiciens sont souvent ennuyeux et rarement beaux. Je pense gagner au change oui. »

Dans le mile ! Les politiciens sont tout de même sacrément moche même… Peut être pas Obama, il était plutôt beau gosse lui non ? Enfin, vieux, mais pas si moche… Vieux… Si lui était vieux alors moi aussi en fait… J’avais trente neuf ans quand même… Bientôt quarante… autant dire la dépression. Il parait que la crise des quarante ans est affreuse. Peut être que je deviendrai comme Shannon un sacré coureur de jupon qui saute tout ce qui bouge et qui se vante… Non, non ce n’était réellement pas moi ça. Je n’étais pas ce genre d’homme et je ne le serais jamais, je me connaissais parfaitement depuis le temps tout de même ! « Et pour répondre à ta question … Oui ça va … J’en oublierais presque que je viens de passer une nuit blanche. Et toi ? Pas trop … Fatigué ? » Passant ma langue sur mes lèvres, je baissais un vague regard vers elle avant de regarder son corps, son corps si parfait, si intense, si jolie, si jouissif… a telle point que j’en étais dur… totalement dur d’envie pour elle. Je crevais d’envie, je ne voulais qu’une chose, lui soulever cette tunique pour lui écarter les jambes et la prendre contre le mur. Oui, sentir mon membre glisser en elle avec force puis inlassablement entièrement pendant de longues minutes… Mais là pour l’instant j’étais surtout en train de me tuer, oui je crevais de désir et d’envie et je n’arrangeais absolument rien en m’imaginant la prendre contre ce putain de mur. Inspirant longuement tout en me frottant plus ou moins le visage je m’approchai lentement d’elle la regardant en cherchant mes mots pour lui répondre. J’étais comme cela… Je prenais mon temps pour répondre, pour sortir des paroles qui allaient et ainsi de suite, puis l’attente c’est bon pour la santé il parait. Voyant son regard se loger sur mes lèvres, je sentis alors ses mains à ma taille. Me figeant plus ou moins se plaisir qui m’envahissait de part et d’autre de mon corps, je la laissais faire en lui lançant un regard des plus amoureux et excité.

Sentant alors ses lèvres sur les miennes je la laissais toujours faire tout en soufflant longuement de bien être tant ces lèvres m’avaient manqués. Oui, dieu qu’elles étaient douces à souhait, parfaite, je voulais les caresser encore et encore sans cesse sans me lasser, comment pouvoir se lasser d’une aussi belle fille ? Je me le demande bien… Il fallait être aveugle… Et encore une aveugle ne voudrait pas se débarrasser d’elle ! La sentant se reculer, j’avalai lentement ma salive tout en lui lançant alors un regard des plus excité. Je me retenais pour ne pas la prendre dans mes bras et la porter jusque dans son lit pour lui écarter ses jambes parfaite… Je devais encore tenir un peu… encore… Je devais être fort et lui montrer que je n’étais pas là pour cela… Mais c’était tellement difficile. Sentant alors a nouveau ses lèvres s’écraser sur les miennes, un gémissement s’échappa alors de mes lèvres tandis que ses mains se serraient dans mon dos, comme pour me dire de me rapprocher d’elle. Sans perdre de temps, je lui rendis alors son baiser, en penchant lentement la tête entrouvrant les lèvres pour y glisser ma langue dans sa bouche et rencontrer la sienne. Me figeant sous le coup, j’inspirais alors fortement avant de l’attrapant par les hanches pour la coller franchement contre moi tout en me penchant bien en avant lui faisant cambrer le dos en arrière. Le retenant pour ne pas qu’elle tombe je l’embrassais avec fougue et passion sans me retenir, le bruit de nos souffles se faisant alors entendre, ainsi que nos langues. Poussant un soupire de bien être je la fis reculer tout en la plaquant contre le mur avant de me coller bien contre elle, écrasant l’air de rien mon membre durcit contre son bas ventre bougeant très lentement le bassin en lui faisant alors comprendre que j’avais terriblement envie d’elle et pas qu’un peu…. Oh ça non, je voulais la faire mienne et sur le champ ! Inspirant longuement tout en bougeant le bassin contre le sien je déposais de multiples baisers humides sur ses lèvres tout en la regardant avec amour et sincérité. « On s’en fout de la fatigue… Tout ce qui importe en ce moment présent… C’est toi et moi… Tu me fais rêver Kristi… Tu sens à quel point tu me fais rêver ? » Soufflai-je en donnant un coup de rein légèrement fort tout en pressant mon membre sur son bas ventre. Est-ce qu’on allait vite ? Surement… Mais le désir était en train de nous consumer, nous étions en train de crever sous le plaisir ardent… Ou du moins j’étais en train de crever… Pour ça part je ne savais pas si elle avait envie de moi comme moi j’avais envie d’elle… Passant ma langue sur mes lèvres, je plongeai alors mon visage dans son cou pour l’embrasser et la lécher longuement remontant a son oreille pour la lui mordiller. Une de mes mains posées sur ses hanches, je la descendis sur sa cuisse nue la caressant longuement remontant alors le tissu l’air de rien, je passais lentement ma main sur sa fesses en remontant a sa taille avant de remonter a son cou, glissant alors ma main dans ses cheveux pour l’embrasser a nouveau tout en glissant ma langue dans sa bouche me délectant de la sienne avec volupté. Gémissant longuement en la plaquant bien fortement contre le mur, je la regardais tout en l’embrassant, mon autre main attrapant sa cuisse avec force pour la soulever contre ma taille en donnant un franc coup de rein. « Kristi… Tu me rends fou… Je perds le contrôle… dis moi que ça ne te gène pas… Je ne veux pas te brusquer… Je ne veux pas te faire peur… Je perds mes moyens avec toi… »

Il parait que parfois, il faut laisser sa raison de côté et foncer à peu de choses près, tête baissée. Et de toute évidence, c’était bel et bien ce que j’étais en train de faire à l’instant présent. Je faisais mine d’oublier tout ce qui n’était pas Jared. Ne surtout pas penser à Robert. Oh non surtout pas lui ! Tant pis si je faisais un truc qui risquait de le foutre très mal si ça venait à se faire savoir. Tant pis si je passais pour une salope aux yeux du monde entier. Houla … Non en fait non, ça je ne pouvais pas le permettre ! Je n’étais pas une salope et loin de là même ! Dans ma vie je n’avais eus en tout et pour tout, que trois petits amis en sachant que le premier était Michael ! Et parmi ces trois petits amis, je n’avais couché qu’avec deux. En sachant cela, comment pourrais-je passer pour une salope ? Tout simplement en trompant mon petit ami actuel. Bordel j’étais sur le point de devenir exactement le genre de femmes que je détestais plus que tout. Enfin non … Dans le fond j’avais tout de mêmes mes limites. Je n’étais nullement sur le point de devenir une vraie garde qui passait d’un lit à un autre, couchant avec divers hommes plus ou moins connus. Non … La seule chose que j’étais sur le point de faire, c’était coucher … Non ! Faire l’amour, avec un homme dont j’étais tombée amoureuse comme jamais je ne l’avais été. Michael et Robert à côté, ce n’était vraiment rien, à comparé de ce que je ressentais pour lui. Je rêvais de lui, j’avais envie de lui, je fantasmais sur lui … Bon sang, il accaparait toutes mes pensées, même lorsque je me trouvais en présence de Robert. Il me trouvait souvent songeuse mais était bien loin d’imaginer que je pensais tout simplement à un autre. Un autre pour qui je n’étais ni plus ni moins qu’une amie, une sœur dans le meilleur des cas. Il ne pouvait penser autre chose de moi. Après tout il me connaissait depuis que j’étais gosse alors comment aurait-il put avoir d’autres pensées pour moi ? Et puis si vraiment notre relation avait été sur le point de changer, en un an et demi, il aurait tout de même tenté quelque chose. Or ce n’était nullement le cas. Je n’étais qu’une fille parmi tant d’autres, qui avait envie de lui. Je n’étais rien de plus que toutes celles qui espéraient avoir une chance avec lui un jour, tout en sachant parfaitement que ça ne serait absolument jamais le cas. Pour la simple et bonne raison que Jared Leto était le genre de type à pouvoir avoir dans son lit, toutes les plus belles filles du monde. Ainsi, comment aurait-il pu seulement poser un regard sur moi et envisager de coucher avec moi ? C’état bon pour les fantasmes et les rêves ça !

Les coups frappés à la porte, furent comme un roulement de tambour avant la scène finale. Scène finale de quoi ? Je n’en savais foutrement rien bon sang ! Ce n’était que le début ! Oui c’était plutôt le commencement, le levé de rideau. J’ignorais si ça serait le début d’une relation ou non mais je savais déjà qu’une longue journée nous attendait. Une journée rien que tous les deux, enfermés dans une bulle que nous allions partager rien qu’à deux, avec aucune intervention extérieure. Bon sang je donnerais cher pour que ça ne soit pas la dernière … Mais j’ignorais totalement quels étaient les sentiments de Jared dans le fond. Il me voulait, avait envie de moi … Mais pour lui qu’est-ce que ça signifiait ? Qu’il voulait juste coucher avec moi, une fois, une journée ? Qu’il voulait coucher avec moi encore et encore mais sans entrer dans une quelconque relation ? Ou est-ce qu’il voulait vraiment d’une relation ? Je n’en savais rien et j’étais de plus en plus perdue dans toute cette histoire. Mais ce n’était vraiment pas le moment de me poser mille questions car il était sur le point d’arriver et d’entrer dans ma chambre d’hôtel. Et lui comme moi, savions parfaitement ce qui allait arriver. Nous allions faire l’amour. Oh oui … Et pas qu’une fois ! Bon sang, je le voulais pour moi toute seule toute la journée. Etait-ce égoïste ? Sans doute que oui. Surtout en sachant qu’il donnait un concert ce soir là. Il allait se taper un allé retour express et tout ça pour moi. Pour me faire l’amour certes mais je doutais que ce soit uniquement pour cela. Après tout, s’il avait juste eut envie de sexe, il aurait pu trouver une femme largement mieux et bien plus expérimentée que moi sur Paris non ? Or c’était vers moi qu’il s’était tourné, moi qu’il voulait voir. Et c’était putain de plaisant ! Je le voulais. Oui, je le voulais comme jamais je n’avais eus envie de qui que ce soit jusqu’à présent. C’était sans doute une insulte pour mes ex mais … Dieu que je m’en foutais. Et de toute façon ils n’étaient pas obligés de l’apprendre. Je ne comptais pas le divulguer au monde entier. Est-ce que Jared lui-même le saurait ? Je n’en savais foutrement rien. Cela dépendrait très certainement de la suite de notre relation. J’osais espérer que je n’étais pas un simple coup d’une nuit pour lui. Dans le cas contraire, je risquais de vouloir disparaître vite et loin. Je n’oserais affronter à nouveau son regard par la suite, s’il venait à repartir et ne plus chercher à me donner de nouvelles. Mais après le mal qu’il s’était donné pour me convaincre qu’il me voulait … Je ne pouvais croire qu’il était le genre de mec enfoiré qui faisait tout pour coucher avec une fille, avant de l’abandonner l’air de rien, du jour au lendemain. Non il n’était pas réputé pour avoir ce genre de comportement. Ca se saurait ! C’était le genre d’informations qui circulait très rapidement et aisément dans le monde people.

Me retrouvant contre toute attente face à lui, je ne pu m’empêcher de me figer à sa vu, ma main se resserrant violemment autour de la poignée que je tenais toujours après avoir ouvert. Il n’était pas beau. Il était … Bien pire que ça ! Un Dieu vivant. Bon sang oui, il était un Dieu vivant. Je n’avais jamais vu homme qui soit aussi beau et tentant que lui. Le souffle coupé, le corps totalement figé par l’envie que j’avais de lui, je vis sa langue passer entre ses lèvres, ce qui eut le don de faire louper un battement à mon cœur. Le souffle coupé, je me mordillais lentement la lèvre en le regardant retirer ses lunettes avec lenteur. Ce fut avec tout autant de lenteur, qu’il entra dans la chambre en s’emparant de ma main pour me faire lâcher la porte qu’il referma et verrouilla derrière lui. Me demandant si je venais de voir un fantôme, j’eus un bref sourire en lui répondant que non, je n’avais vu que Jared Leto et j’ignorais que ça faisait le même effet. Genre… Et qu’est ce que Jared Leto a de si particulier ? Dis-moi que je sache tiens… Je suis un tantinet curieux sur ce coup là… » Souriant en coin et rougissant presque malgré moi en le voyant se tourner franchement vers moi pour me regarder, je fis mine de froncer les sourcils pour réfléchir, en posant mon index sur mes lèvres. Ce que Jared Leto avait de si particulier ? Il ne pouvait pas être sérieux. Il savait parfaitement ce qu’il avait de particulier. Il était lui tout simplement et ça suffisait amplement à expliquer telle ou telle réaction sur son passage, à n’en pas douter. « Ce que Jared Leto a de si particuler ? Tu veux dire en dehors du fait que tu es curieux ? » Demandais-je alors en lui lançant un bref regard taquin, souriant en coin avant de soupirer doucement et lever les yeux au ciel. « Tu sais très bien ce que tu as de particulier. Tu as simplement envie de m’entendre le dire. J’ai raison ? » Demandais-je ensuite en lui lançant un regard quelque peu moqueur. J’aimais le taquiner et tourner autour du pot, un tant soit peu. C’était plaisant de le tester un peu et de guetter ses réactions. Il était bien le seul d’ailleurs, en qui j’avais assez confiance pour le taquiner et le chercher un tant soit peu. Je ne craignais pas ses réactions. Loin de là même ! Mais j’osais espérer que cela ne changerais pas et que je pourrais encore et toujours le taquiner autant que je le désirais et sur les sujets que je voulais. Le voyant détailler mon corps sans la moindre gêne, j’eus un léger sourire en coin, bien que rougissant davantage encore. J’avais l’impression d’être mise totalement à nu devant lui. Mais ce que j’aimais … C’était que ça avait l’air de lui plaire. Bon sang oui je lui plaisais et je ne pouvais pas avoir le moindre doute là-dessus.

Le laissant s’approcher de moi, j’eus bien du mal à détourner mon regard de ses lèvres sur lesquelles il passait régulièrement sa langue. Se rendait-il compte comme ce simple geste avait le don de me donner chaud et de m’exciter ? Je ne rêvais que d’une chose, c’était de plaquer mes lèvres contre les siennes et de presser ma langue contre la sienne avec force et insistance. Je voulais goûter à sa bouche comme jamais. Le souffle coupé, je le regardais s’approcher plus encore en mentionnant alors les hommes politiques. Riant doucement, je me contentais de dire qu’il n’y avait pas d’homme politique dans ma chambre mais juste un chanteur et que je gagnais bel et bien au change. Oh bon Dieu oui ! Frissonnant doucement à la distance tout bonnement inexistante qu’il y avait entre nous à cet instant là, je me forçais à le regarder, regard plongé dans le sien, pour répondre à sa question quant à savoir si j’allais bien. Sans même attendre qu’il réponde à la question que je venais de lui retourner, je posais mes mains sur sa taille en baissant alors le regard sur ses lèvres si proches des miennes. Déposant un simple baiser sur ses lèvres, je frissonnais doucement en sentant son souffle sur ma peau lorsqu’il lâcha un long soupir. Reculant à peine le visage pour le regarder avec envie, je plaquais à nouveau mes lèvres sur les siennes, plus franchement cette fois. Excitée plus que de raison par son gémissement, je pressais mes lèvres contre les siennes avec ardeur en passant mes mains dans son dos pour me coller tant bien que mal contre lui. Ses lèvres s’entrouvrant contre les miennes, je lâchais à mon tour un faible gémissement en sentant sa langue se faufiler entre les miennes pour trouver et presser franchement la mienne. Ses mains empoignant fermement mes hanches pour me plaquer totalement contre lui, je me figeais légèrement en sentant son membre durcit contre mon bas ventre, ce qui eut le don de me faire perdre définitivement la tête et mes moyens. Cambrant le dos en arrière en le sentant se pencher pour m’embrasser avec plus d’ardeur et de fougue, je montais mes mains à sa nuque, nouant mes doigts à ses cheveux pour m’y accrocher un tant soit peu, mon cœur battant la chamade sous la montée du désir. Notre baiser se faisant parfaitement audible, je lâchais un nouveau léger gémissement en penchant la tête pour plaquer totalement mes lèvres contre les siennes, glissant totalement ma langue dans sa bouche en soupirant doucement de plaisir et d’excitation. Reculant lentement sans même m’en rendre compte lorsqu’il avança, je lâchais un long soupir de bien être en sentant le mur dans mon dos et son corps totalement collé au mien. Son membre contre mon bas ventre, je tirais plus franchement sur ses cheveux à ses lents coups de reins, nos corps étroitement serrés l’un contre l’autre.

Reculant la tête pour la poser contre le mur en lui lançant un regard qui paraissait perdu tant il était fiévreux et remplis de désir pour lui, je soupirais doucement à ses lents baisers, caressant lentement l’arrière de son crâne en enroulant mes doigts autour de ses cheveux un brin trop longs. « On s’en fout de la fatigue… Tout ce qui importe en ce moment présent… C’est toi et moi… Tu me fais rêver Kristi… Tu sens à quel point tu me fais rêver ? » Lâchant un fort gémissement parfaitement involontaire à son coup de reins plus pressant contre mon bras ventre, j’entrouvris les lèvres en soupirant longuement, me mordillant la lèvre avec insistance en le regardant avec envie. « Oh oui je le sens … Comment ne pas le sentir hm ? Bon sang Jared t’es en train de me rendre complètement folle ! Je ne suis pas fatiguée … Absolument pas ! T’es plus efficace que de la caféine et de la vitamine C réunis. » Soufflais-je à voix basse comme par peur de détruire l’enchantement du moment présent, si je venais à parler trop fortement. Le laissant enfouir son visage dans mon cou, je fermais les yeux en penchant légèrement le visage pour profiter pleinement de sa langue sur ma peau, caressant et empoignant ses cheveux avec avidité en bougeant légèrement le bassin l’air de rien, pour presser mon ventre contre son membre et l’exciter davantage encore, si tant est que ce soit possible. Ses dents mordillant lentement mon oreille, je lâchais un doux gémissement en gardant les yeux fermés. Le cœur battant la chamade comme jamais, je me mordillais lentement la lèvre en sentant l’une de ses mains se poser sur ma cuisse pour la remonter avec lenteur en repoussant le tissu de ma tunique pour passer sur l’une de mes fesses. Redressant lentement la tête lorsque sa main remonta dans mon cou pour se perdre dans mes cheveux, j’entrouvris les paupières en tournant un regard fiévreux vers lui au moment où ses lèvres se posaient à nouveau sur les miennes et que sa langue se glisser dans ma bouche avec envie. Le sentant me plaquer contre le mur avec plus de fermeté, j’éprouvais plus d’excitation qu’autre chose, oubliant le fait que je devrais davantage m’énerver pour cela. Mais … Non. Pas avec lui, bien au contraire. Il pouvait bien me faire ce que bon lui semblait, je ne pouvais qu’aimer et même en redemander ! Sa main remontant ma cuisse contre sa taille, je gémissais à nouveau en l’enroulant autour de son corps, mon corps se figeant à son fort coup de reins plus qu’équivoque. « Kristi… Tu me rends fou… Je perds le contrôle… dis moi que ça ne te gène pas… Je ne veux pas te brusquer… Je ne veux pas te faire peur… Je perds mes moyens avec toi… » Gémissant doucement et sans lui répondre, je lui lançais un regard fiévreux. Prenant appuie de mes avant bras sur ses épaules et du fait que j’étais bloquée entre le mur et lui, je me soulevais de terre pour enrouler mes jambes autour de sa taille, le serrant avec force contre moi sans le quitter du regard. Enroulant un bras autour de son cou, je descendis l’autre pour faufiler ma main sous son haut, caressant son torse, sa taille, avant de se perdre dans son dos que je griffais légèrement en me mordillant la lèvre. Gémissant longuement, je déposais de lents baisers humides sur ses lèvres, en bougeant lentement le bassin contre le sien pour lui faire perdre totalement les pédales. « Je ne veux pas que tu te contrôle. Jared je suis à toi. Toute à toi … Tu as l’impression que je suis en mesure de te faire arrêter ou ralentir alors que je crève d’envie pour toi ? » Demandais-je doucement contre ses lèvres en les caressant lentement de ma langue avant d’y déposer des baisers appuyés et humides, le souffle coupé. « Bordel je veux que tu perdes totalement le contrôle, que tu perdes tes moyens, que tu deviennes complètement fou. J’ai envie de toi comme jamais j’ai eus envie de qui que ce soit Jared ! »

Toc, toc, bonjour, c’est le réparateur du lave linge… Je viens pour vous réparer… Bonne blague si je lui disais cela non ? C’était un genre de porno français… Non elle fermerait surement la porte en ayant peur de me voir lui faire ce genre de blague. Une blague surement a la Jared Leto, mais pour le coup et dans ce genre de situation, mieux valait éviter de lui faire cela… Elle était plus jeune, plus stressée, moins expérimenté… Je ne voulais pas la brusquer et lui faire peur… Non… je voulais au contraire lui montrer qu’elle pouvait avoir confiance en moi… pleinement confiance même et que je ne jouerais jamais d’elle… Non, ce n’était pas un plan cul pour moi. Elle était bien plus et j’osais espérer qu’elle larguerait ce putain de Robert pour moi… Mais est ce que je rêvais de trop ? Peut être bien oui… Mais au fond, le rêve c’était bien pour vivre, la vie était faite de rêve… Il me fallait rêver encore et encore pour me sortir de ces échecs permanents que je vivais… Est-ce que Kristen serait un échec ? J’espérais que non, je mettrais un sacré moment à m’en remettre… Inspirant longuement en frappant franchement trois coups à la porte, je me sentis euphorique tout a coup a l’idée de la voir ouvrir cette porte qui nous séparé. Passant ma langue sur mes lèvres, je la vis alors ouvrir la dite porte et me figer franchement en la voyant enfin. Cette tenue… Nom d’un chien, elle voulait me tuer ! Elle voulait que je la viole ! Que je la pousse ferme cette porte et la prenne contre en la faisant hurler de plaisir … La coquine… Passant a nouveau ma langue sur mes lèvres je la détaillais du regard avant de murmurer son prénom après qu’elle ait murmurer le mien. M’avançant pour entrer chez elle ou du moins dans sa chambre d’hôtel, je pris sa main et fermis la porte et mit le verrou tout en lui demandant si elle avait vu un mort. Non juste Jared Leto… Je ne pus alors m’empêcher de lui demander ce qu’avait ce fameux Jared Leto de si particulier pour faire ce genre d’effet…

« Ce que Jared Leto a de si particulier ? Tu veux dire en dehors du fait que tu es curieux ? » Haussant un sourcil, me tournant bien vers elle en la regardant faussement méchamment, je la détaillais de haut en bas en me mordillant lentement les lèvres sous l’afflux de plaisir qui montait de plus en plus en moi. Je la voulais vraiment, j’étais en train de crever et je m’en rendais compte… Je m’en rendais terriblement compte en voyant a quel point sa tenu me rendait fou… Oui, je voulais la faire mienne glisser inlassablement en elle, je voulais juste lui faire l’amour de façon torride comme jamais elle et moi avions pu le faire… « Tu sais très bien ce que tu as de particulier. Tu as simplement envie de m’entendre le dire. J’ai raison ? » souriant en coin, cette fille allait réellement me rendre fou, ce n’était qu’une question de minutes, ou peut être même de secondes… qui sait… Kristen avait le chic pour me faire tourner la tête dans tous les sens… Inspirant fortement tout en léchant lentement mes lèvres je baissais un vague regard sur son corps enveloppé d’une tenue bien trop moulante pour être gardé sur son petit corps parfait… Frissonnant longuement tout en avalant ma salive je me rapprochais lentement d’elle en lui lançant un regard des plus sauvage. « Peut être que oui, peut être que non… Dis-moi ce que j’ai de particulier, petite beauté… » murmurai-je doucement en me collant plus ou moins contre elle pour la provoquer plus que de raison. J’aimais tellement me retrouver près d’elle, notre premier et dernier baiser avait été intense… Oui…Si seulement mon frère n’était pas rentré dans la pièce juste à ce moment là…

Mais le passé était le passé aujourd’hui était aujourd’hui et a priori personne ne viendrait nous déranger… Non nous ne serions que tous les deux, seuls, dans cette chambre ou nous allions faire l’amour, je n’en doutais pas un seul instant même… Elle et moi, moi et elle, moi en elle, mes coups de reins, sont dos qui s’arque sous chaque coup de reins… Oui je voulais la voir jouir, l’entendre hurler mon prénom, me supplier d’arrêter alors que j’accélère au maximum mes coups de reins… Oui je voulais tout ceci et maintenant… M’embrassant d’un baiser d’abord, timide, elle vint alors me faire un magnifique baiser plus enflammé que jamais. Réagissant au quart de tour, je la fis se pencher en arrière tout en l’embrassant longuement nos langues se percutant avec désir, envie et passion. Je la voulais, je la désirais, je la voulais de plus en plus… La poussant lentement contre le mur, je perdis réellement patiente en la plaquant plus franchement contre en collant mon corps tout contre le sien, mon membre écrasé sur son bas ventre pour bien lui faire comprendre que je la désirais que j’étais fou d’elle et pas qu’un peu… Oh non je bandais bien trop pour ne pas avoir envie d’elle au point de crever ! Sans perdre de temps, je ne pu m’empêcher de lui demander… Oui lui demander si elle sentait bien a quel point je la désirais, a quel point j’étais fou d’elle et que ce n’était pas prêt d’arrêter… non, je la désirais, je l’aimais, oui et c’était un amour intense, une sorte de coup de foudre à retardement… J’aimais Kristen… « Oh oui je le sens … Comment ne pas le sentir hm ? Bon sang Jared t’es en train de me rendre complètement folle ! Je ne suis pas fatiguée … Absolument pas ! T’es plus efficace que de la caféine et de la vitamine C réunis. »

Riant doucement a ses paroles je ne pus m’empêcher de plonger mon visage dans son cou, tout en inhalant sa douce fragrance qui me faisant on ne peut plus rêver depuis trop longtemps. M’enivrant de son essence même, j’inspirais à grande goulée tout en me figeant plus ou moins tant le désir et l’envie était de plus en plus présente en moi. Posant mes mains sur sa taille j’essayais tant bien que mal de me contrôler pour ne pas péter un câble et la prendre sauvagement contre ce putain de mur en déplaçant juste de quelques centimètres sa putain de culotte qui barrer le barrage. Mordillant sa peau si douce une peau de petit bébé, je la léchais en laissant des trainés de salive. « Ah oui ? Plus efficace ? Hum… tu me plais de plus en plus toi… Vraiment… Bientôt… Bientôt tu vas sentir a quel point je te désir… Mais de l’intérieur ! » soufflai-je doucement en mordillant son oreille tout en poussant un faible gémissement comme pour la rendre folle. J’aimais la tuer, j’aimais la rendre folle et j’étais en train d’y prendre gout comme jamais je n’y avais prit gout. Tremblant contre son corps, j’attrapais sa cuisse tout en la soulevant lentement contre mon corps, en donnant de faible coup de reins pour frotter mon membre contre son intimité. Tournant lentement mon visage pour rencontrer alors ses lèvres je glissais sans attendre et avec franchise ma langue dans sa bouche. Tout en l’embrassant comme jamais je n’avais embrassé… Non elle m’inspirait, elle me donnait des envies totalement nouvelles… Sentant ses bras prendre appuie sur moi, elle enroula rapidement ses jambes autour de ma taille. Me sentant trembler encore plus, j’entrouvris la bouche en caressant ses lèvres des miennes lui lançant alors un regard des plus sauvages. Lui murmurant que je ne tiendrais pas longtemps, j’étais à deux doigts de craquer et je ne voulais pas lui faire de mal, je ne voulais pas la choquer, je ne voulais pas lui faire peur et lui donner envie de me jeter dehors… Je l’aimais tellement, je ne voulais pas la perdre alors que je venais simplement de l’avoir… Tant pis pour son Robert… On serait discret… Le temps qu’elle le largue… Il fallait qu’on en parle, mais après… Après avoir fait redescendre ce putain de désir qui était en train de me consumer comme jamais …

« Je ne veux pas que tu te contrôle. Jared je suis à toi. Toute à toi … Tu as l’impression que je suis en mesure de te faire arrêter ou ralentir alors que je crève d’envie pour toi ? » Fermant a moitié les yeux sentant son souffle s’écraser sur mes lèvres, j’inhalais longuement son odeur, comme pour me délecter d’une chose que je n’aurais plu bientôt… alors que je savais que Kristi serait a moi pour toute la journée à venir … oui elle serait entièrement à moi… Je ne voulais pas la quitter et je ne la quitterai pas, surtout pas après ce qu’elle venait de me dire… Oh ça non, j’avais encore les paroles et le son de sa voix dans ma tête, tant j’étais heureux de l’avoir entendu me dire de telle chose… Mienne… Je voulais la faire mienne, je voulais simplement lui faire l’amour longuement, lentement, fortement, sauvagement, je voulais lui faire l’amour dans tous les sens lui faire comprendre que c’était moi qui dominait et que j’allais franchement la faire crier comme jamais elle n’avait crié. Oh oui… Je voulais la faire crier, lui faire cambrer son joli petit dos…Je voulais la voir s’adonner a moi comme jamais elle ne s’était adonné a quelqu’un… est ce que sexuellement avec Robert c’était le pied ? Non, il ne fallait pas que je me pose ce genre de question, surtout maintenant… Non, surtout pas… Inspirant doucement tout en léchant mes lèvres, j’essayais d’oublier le fait qu’elle crevait d’envie de moi… Non, car si j’y pensais maintenant il était clair que j’allais la faire mienne sous peu et ce n’était pas forcement bon tout autant pour elle comme pour moi. « Bordel je veux que tu perdes totalement le contrôle, que tu perdes tes moyens, que tu deviennes complètement fou. J’ai envie de toi comme jamais j’ai eus envie de qui que ce soit Jared ! » Lui lançant un regard totalement sauvage, je passais très lentement ma langue sur mes lèvres ne sachant pas quoi faire. L’écouter, ne pas l’écouter, craquer et lui faire violemment l’amour ? Lui arracher cette petite tunique qui rendait son corps bien trop parfait a mes yeux et qui me rendait déjà assez fou… Oui, je devais faire ce genre de chose…

Inspirant longuement je plaquais doucement mes lèvres sur les siennes pour l’embrasser avec lenteur tout en profitant de ce moment si parfait et intense. Caressant lentement sa joue du bout de mes doigts, je me sentis terriblement bien, même si mon membre était trop serré à mon gout et qu’il ne voulait qu’une chose se libérer pour rentrer en elle et lui faire l’amour. Oui mes envies me jouaient des tours, mais pas n’importe quel tour… Je savais que je n’avais envie que d’une seule personne et c’était d’elle dont j’avais envie. Juste elle et personne d’autre depuis beaucoup de mois, depuis plus d’un an et demi a vrai dire… Inspirant longuement en posant mes mains sur ses cuisses la poussant plus franchement contre le mur pour qu’elle soit tenue, je caressais ses cuisses dénudées du plat de mes mains, profitant de sa peau si douce et exquise. Elle était sublime et parfaite… Mon souffle se coupant sous le désir ardant qui m’empoignait les entrailles, je lui lançai un regard des plus sauvages tout en me mordillant la lèvre avec délicatesse et lenteur pour ne pas me couper, tant l’envie était là. Posant mon front contre le sien, je plongeai mes yeux bleus dans les siens si vert et intense. « Tu veux que je perde le contrôle ? Kristen... Tu n’as pas idée dans quoi tu t’engages… Tu me donnes des envies que je n’avais jamais eu auparavant … Je suis dingue de toi… Jai terriblement envie de te faire mienne a un point… La violence ne serait rien a côté de ce que j’ai envie de te faire ! » soufflais-je doucement en lui écartant franchement les cuisses pour donner un coup de rein avec envie et sauvagerie. Plaquant mes lèvres sur les siennes, l’embrassant dans un baiser ardant et sauvage a souhait, je glissais ma langue dans sa bouche la pressant contre la sienne avec envie et volupté. Mes mains remontant sur ses cuisses je remontai par la même occasion sa tunique sur son ventre découvrant alors ses fesses. Mes mains se logeant dessus, j’empoignai son fessier si sublime et parfait en enfonçant bien mes mains dans sa chair attrapant sa culotte pour la tirer de toutes mes forces essayant de la lui enlever. Bougeant toujours mon bassin, j’entendis légèrement sa culotte craquer alors qu’elle était juste sous ses fesses. Déglutissant franchement je la fis dérouler ses jambes de ma taille pour les lui poser au sol. Me collant contre elle, je baissais alors sa culotte le long de ses jambes la lâchant pour qu’elle tombe à ses chevilles. Attrapant sa tunique, je la lui soulevais très lentement passant alors l’air de rien mes mains a plat sur ses seins en les empoignant doucement avant de lui enlever lentement sa tunique, la laissant alors nue contre le mur. La regardant lentement je me baissais très lentement pour lui faire enlever sa culotte de ses chevilles la prenant pour la jeter a son tour a travers la pièce. Sans perdre de temps je plaquais ma bouche sur son intimité lui attrapant son point sensible pour le mordiller et le suçoter franchement en donnant un long coup de langue sur son intimité avant de poser ma main dessus la caressant avec extrême lenteur, glissant un doigt en elle voyant qu’elle était clairement prête je me hâtais de défaire mon pantalon le baissant et l’enlevant aussi vite que jamais je ne l’avais enlevé pour me relever tout en lui écartant les jambes sans prévenir la soulevant pour alors entrant franchement en elle, entièrement en poussant un franc cri de plaisir en penchant la tête en arrière. Démarrant des coups de reins des plus rapide et brutaux faisant claquer contre corps contre le mur, je tenais ses cuisses en enfonçant mes doigts dedans, la marquant sans aucune gène en venant alors mordre son cou.

Avoir Jared Leto dans sa chambre, pour sois et personne d’autre, sur le point de nous faire l’amour comme jamais, devait être le rêve de nombreuses filles. Qui n’en rêvait pas d’ailleurs ? Il suffisait de le voir ne serait-ce qu’une petite minute ou le temps de quelques secondes en photo, pour avoir envie de lui. Il était tellement … Tout simplement … Beau, merveilleux, excitant et tout ce qui s’ensuit. C’était un Dieu vivant ! Et Robert à côté de lui, pouvait parfaitement aller se rhabiller et plus vite que ça. Toutes les filles semblaient vénérer le vampire de Twilight et accessoirement petit ami de Kristen. Mais je ne doutais pas que si on leur demandait lequel entre Jared et lui était le plus beau et excitant … Aucun doute qu’elles répondraient toutes Jared. Enfin … C’était là ce que je pensais dur come fer. Mais sans doute était-ce du au fait qu’il me faisait un effet fou et que je le voulais depuis très longtemps ? Peut-être que mes pensées à son encontre étaient totalement faussées par le désir des plus violents et insistants qu’il provoquait en moi. Oui c’était parfaitement possible et ça se comprenait véritablement. Mais honnêtement … Qui pourrait lui résister ? C’était tout bonnement impossible ! Il avait un corps d’apollon, un regard à faire frémir n’importe quelle femme dotée d’yeux pour voir, une voix parfaite et excitante, un talent fou, un humour décalé, une intelligence sans limites … Bref cet homme était parfait et j’en étais plus que consciente. Et cet homme en question, qui semblait regrouper toutes les qualités du monde, était en train d’entrer dans ma chambre d’hôtel après une arrivée fracassante. Une série de sms enflammés avaient eut le don de nous exciter plus que de raison et de nous faire totalement et définitivement perdre la tête. Au point qu’en le voyant enfin, devant ma porte, je ne pu que mourir d’envie pour lui, le laissant entrer et refermer la porte sans broncher le moins du monde. J’étais bien trop subjuguée par lui pour pouvoir penser un tant soit peu rationnellement. Totalement envoûtée et hypnotisée, je l’observais sans pouvoir m’en empêcher, souriant en coin lorsqu’il me demanda ce qu’avait Jared Leto de si particulier. Bon sang cette question ne se posait même pas ! Jared Leto était un Dieu, c’était aussi simple que cela. Et le pire dans tout cela, c’était qu’il ne pouvait qu’en avoir parfaitement conscience. Comment lui, pouvait-il douter de sa perfection ? Non c’était tout bonnement impossible !

Lorsqu’il me posa la question, je commençais par lui demander s’il voulait savoir ce qu’il en était à part le fait qu’il était curieux, le taquinant sans la moindre gêne en lui lançant un regard quelque peu taquin. Croisant son regard faussement méchant, je mentionnais donc le fait qu’il savait parfaitement ce qu’il en était vraiment et qu’il désirait simplement me l’entendre le dire. Souriant en coin, je lui demandais alors si j’avais raison, ne le quittant pas un seul instant du regard tant j’étais envoutée et fascinée par lui comme jamais je ne l’avais été par qui que ce soit jusqu’à présent. « Peut être que oui, peut être que non… Dis-moi ce que j’ai de particulier, petite beauté… » Riant doucement en l’entendant me dire cela, je souriais par la suite en coin en lui adressant un long regard moqueur et … Amoureux. Bon sang que j’étais folle de lui ! Il me rendait complètement dingue il n’y avait pas d’autre mot pour décrire tout cela. Et il le savait … Du moins, il devait avoir parfaitement conscience de son putain de pouvoir de séduction. Et à mes yeux, il était plus que clair et évident, qu’il en jouait. Et dans le fond il avait parfaitement raison car je ne doutais pas qu’il pouvait parvenir à ses fins, quel qu’elles soient. « Jared tu aimes faire tourner la tête des filles … C’est dingue ! » Soufflais-je doucement avant de me mordiller la lèvre en le voyant si près de moi, son corps collé au mien et son regard plongé dans le mien. Soupirant doucement je le regardais sans broncher bien que le souffle totalement coupé par le plaisir que cette proximité provoquait en moi. Tentant tant bien que mal de garder une once de contrôle sur mes émotions et tout ce qui s’ensuit, je soufflais doucement sans le quitter du regard. Je tentais de faire mine de rien mais je luttais atrocement pour ne pas lui sauter directement dessus, avant même qu’il n’ait le temps de dire ouf. « Ce que tu as de particulier hm ? Tu es beau comme pas permit, tu as un humour bien à toi, tu es intelligent, cultivé, intéressant, tu es doué pour la comédie mais plus encore, tu es un musicien de talent, avec une voix … Absolument divine et tu sais jouer de tous tes atouts comme personne pour envouter toutes les filles même les plus difficiles à séduire. Bref … Tu es absolument irrésistible et tu en as parfaitement conscience ! » Finis-je par souffler d’une voix basse mais de façon très rapide, comme si j’étais littéralement en train de vider mon sac. Ce qui, d’ailleurs, n’était pas bien loin de la vérité. En effet, je réalisais tout juste que c’était bien la seule fois où je lui faisais clairement comprendre qu’il me plaisait plus que de raison, à part un bref sms quelques instants plus tôt pour lui dire simplement qu’il me plaisait. Je venais donc tout simplement de lui donner toutes les raisons pour lesquelles c’était le cas. Et étrangement, ça faisait un bien fou de lui dire tout cela !

Finissant par craquer littéralement, je me redressais légèrement pour déposer d’abord un simple baiser sur ses lèvres en les voyant si proches des miennes, avant de soupirer presque de frustration et les plaquer plus franchement contre les siennes pour l’embrasser franchement. Avant même que je n’ai eus le temps de comprendre ce qui m’arrivais, il empoigna franchement mes hanches pour me faire pencher en arrière, répondant à mon baiser sans me faire attendre, ses lèvres totalement plaquées sur les miennes et sa langue se pressant et se jouant de la mienne sans la moindre hésitation. Totalement emportée et excitée par le jeu de nos langues l’une contre l’autre, je nouais mes mains autour de son cou pour me maintenir à lui alors qu’il me faisait dangereusement pencher en arrière pour m’embrasser avec passion, avant de me faire reculer jusqu’à un mur contre lequel il me plaqua sans la moindre hésitation. Sentant son membre totalement durcit plaqué contre mon bas ventre, je gémissais doucement de plus en plus excité à l’idée de la suite à venir, l’embrassant avec plus de fièvre sans la moindre hésitation. Parlant par la suite de la fatigue mais surtout répondant à sa question concernant le fait de savoir si je sentais combien je le faisais rêver, j’eus un bref rire qui se transforma bien vite en gémissement de plaisir et d’excitation, lui demandant comment j’étais censée ne pas le sentir et ajoutant qu’il était plus efficace que de la caféine et de la vitamine ajoutés l’un à l’autre, pour m’empêcher d’être fatiguée. Souriant en coin à son léger rire que je perçus, je fermais à demi les paupières en le laissant enfouir son visage dans mon cou, remontant mes mains dans ses cheveux pour y entremêler lentement mes doigts, les enroulant lentement autour de ceux-ci avant de les relâcher avec lenteur. Même ses cheveux me rendaient complètement folle. Sa langue sur ma peau me fit franchement frissonner de plaisir et de bien être, entrouvrant les paupières pour lui lancer un long regard excité, le laissant totalement maitre de la situation tant j’étais absolument et complètement à sa merci, sans le moindre doute possible. Il pouvait bien faire ce qu’il voulait de moi, que j’étais complètement et définitivement pour ! « Ah oui ? Plus efficace ? Hum… tu me plais de plus en plus toi… Vraiment… Bientôt… Bientôt tu vas sentir a quel point je te désir… Mais de l’intérieur ! » Surprise par ses paroles mais étrangement pas le moins du monde gênée, je me mordillais doucement la lèvre inférieure en frissonnant de plaisir sous ses dents qui se jouaient lentement du lobe de mon oreille. La lenteur et la douceur de nos échanges après nos sms enflammés et notre baiser passionné, me paraissait être le simple calme avant la tempête, doutant qu’il soit capable de rester calme et doux par la suite, ce qui n’était franchement pas pour me déplaire. Dans l’immédiat, j’avais beaucoup trop envie de lui pour me soucier d’y aller avec lenteur et tendresse, ce qui ne m’était absolument jamais arrivé. Entendant son gémissement, je ne pu m’empêcher de gémir à mon tour en tremblant de tout mon long, le cœur battant la chamade. « Hm de plus en plus ? A quel point ? » Demandais-je d’une voix rendue faible par le désir grandissant et mon souffle coupé. « Oh … Bordel oui je veux sentir ça et vite ! »

Sa main s’emparant de ma cuisse pour la soulever contre sa taille donnant en donnant un bref coup de reins pour presser son membre contre mon intimité, je lâchais un long soupir de bien être au contact de ses lèvres contre les miennes, frissonnant franchement à l’intrusion de sa langue dans ma bouche. Le soufflé coupé, je répondis à son nouveau baiser sans me faire prier une seule seconde en plaquant totalement mes lèvres contre les siennes et glissant ma langue inlassablement contre la sienne, le bruit de nos souffles et de notre baiser, étant parfaitement audible et excitant à souhait. Sans perdre une seconde, je pris appuie sur ses épaules pour me soulever et enrouler fermement mes jambes autour de sa taille, signe que j’étais totalement excité malgré ses dernières paroles, alors qu’il venait de me souffler qu’il était à deux doigts de craquer mais qu’il ne voulait pas me faire peur ou me faire le moindre mal. Le voir ainsi attentionné à mon encontre alors qu’il ne rêvait que d’une chose, à savoir me faire l’amour de façon sauvage et débridée, avait le don de m’exciter plus que de raison encore. J’aimais qu’il se comporte ainsi à mon encontre, même si dans l’immédiat ses inquiétudes n’avaient véritablement pas lieu d’être. J’étais beaucoup trop excitée et tout ce qui s’ensuit pour me formaliser de quoi que ce soit. Il pouvait se montrer sauvage et tout ce qu’il voulait, j’étais pour et encore pour ! Sans attendre, pour qu’il ne s’arrête pas de me désirer une seule seconde et d’avoir envie de moi comme jamais on n’avait eut envie de moi, je soufflais doucement contre ses lèvres que je ne désirais pas qu’il se contrôle, insistant sur le fait que j’étais sienne. Oui j’étais sienne … Pour les quelques heures à venir, voir toute la journée. Mais par la suite ? Dans l’immédiat j’ignorais totalement ce que lui envisageais de son côté mais j’étais prête à attendre pour en parler avec lui ensuite. Sentant qu’il réfléchissait beaucoup trop à mon goût au vu de la situation présente, je serrais avec plus de force mes jambes autour de sa taille en bougeant lentement le bassin pour l’exciter plus que de raison, lui soufflant doucement que je voulais qu’il perde tous ses moyens avec moi, ajoutant que je le désirais comme jamais je n’avais désiré de ma vie jusqu’à présent. Croisant son regard totalement sauvage qui semblait encore hésitant, je donnais un bref coup de bassin contre le sien l’air de rein, frémissant d’envie au contact de son membre durcit contre mon intimité qui n’attendait que lui, qu’il se décide enfin à unir nos corps dans un moment des plus parfaits. Gémissant faiblement à son lent baiser, je descendis une main dans son cou pour le griffer avec lenteur en lui répondant avec tout autant de lenteur que lui. Frémissant sous la douce caresse de sa main sur ma joue, je laissais échapper un long soupir de contentement, mon souffle venant chatouiller sa joue.

Le souffle presque coupé par la force qu’il employait à me plaquer fermement contre le mur en me bloquant totalement entre celui-ci et son corps, je frissonnais longuement au contact de ses mains douces à souhait sur la peau nue de mes cuisses. Le laissant interrompre son baiser pour poser son front contre le mien, je plongeais mon regard dans ses pupilles bleues et absolument parfaites, déglutissant longuement sans le quitter du regard. « Tu veux que je perde le contrôle ? Kristen... Tu n’as pas idée dans quoi tu t’engages… Tu me donnes des envies que je n’avais jamais eu auparavant … Je suis dingue de toi… Jai terriblement envie de te faire mienne a un point… La violence ne serait rien a côté de ce que j’ai envie de te faire ! » Son souffle caressant doucement mes lèvres, je les entrouvris comme pour cueillir son souffle avant de déglutir longuement à ses paroles, sans le quitter du regard, resserrant mes mains dans son cou pour l’empêcher de se reculer si cette idée stupide lui était venue à l’esprit. « Qui a dit que c’était pour me déplaire ? Tu me donnes des envies que je n’ai jamais eus auparavant alors stp … Stp tais toi et fais moi l’amour ! » Soufflais-je dans un dernier souffle, totalement consciente de chacun des mots que je laissais échapper et de mon comportement. On ne pourrait pas dire qu’il ne m’avait pas prévenu ! J’avais parfaitement bien saisis le fait qu’il allait très certainement me faire l’amour de façon sauvage et violente et pourtant, ça ne m’empêchais pas de presque le supplier de le faire tant j’en rêvais. J’avais beaucoup trop envie de lui pour pouvoir accepter une seule seconde qu’il se retienne de son côté. Je lâchais un faible cri étouffé à son puissant coup de reins, serrant les dents sous l’excitation rien qu’à l’idée des coups de reins bien plus plaisants et jouissifs à venir. Totalement excitée, je lui lançais un regard sauvage et brillant de plaisir en bougeant lentement mon bassin, frottant mon intimité contre son membre pour lui faire perdre définitivement la raison en l’excitant plus qu’il ne le faudrait. Son nouveau baiser me coupa littéralement le souffle, ma langue se pressant contre la sienne avec fougue sans attendre, me délectant de ses lèvres et de sa bouche telle une désespérée qui en avait besoin pour vivre. Sentant ses mains remonter sur mes cuisses en repoussant sans la moindre hésitation ma tunique, je tentais de ne pas trop y penser par peur de perdre définitivement la tête, lâchant un fort gémissement excité mais étouffé par notre baiser, lorsque ses mains se refermèrent avec force sur mes fesses, ne me laissant pas le moindre doute quant au fait que je serais marquée d’ici à quelques heures, étant du genre à marquer très facilement. Entendant un craquement des plus sonores, je mis plusieurs secondes avant de comprendre qu’il s’agissait simplement de ma culotte qu’il cherchait à me retirer avec sauvagerie.

Perdant définitivement la tête, j’empoignais son tee shirt pour le remonter sur son torse sans attendre, le lui retirant entre deux baisers, tout en dénouant mes jambes de sa taille lorsqu’il m’invitant à le faire. Une fois debout, je fis glisser mes mains à plat sur son torse nu et merveilleusement doux et parfaitement sculpté, tandis qu’il se colla à moi pour faire glisser ma culotte le long de mes jambes. Me mordillant lentement la lèvre, je ne le quittais pas un seul instant du regard, comme si je craignais de le voir disparaître en un battement de paupières. Ses mains repoussant à nouveau ma tunique, je lâchais un doux gémissement de plaisir en frissonnant longuement, lorsque ses mains se refermèrent sur mes seins, avant de me retirer mon dernier vêtement. M’adossant au mur en lui lançant un regard taquin, je ne me fis pas prier pour lever mes pieds l’un après l’autre lorsqu’il se pencha pour retirer définitivement ma culotte. Sentant ses lèvres se refermer sur mon intimité sans que je ne m’y attende, je lâchais un nouveau fort gémissement de surprise et de plaisir mêlé, fermant les yeux en passant une main dans ses cheveux, tremblant avec force sous le plaisir que suscitait cette caresse en moi. Gémissant longuement le temps que dura son baiser suivit de ses suçotements et mordillements, je me mordillais lentement la lèvre en sentant sa main remplacer ses lèvres. Son doigt glissant en moi, je ne pu m’empêcher de contracter mon intimité sous cette douce intrusion, décontractant presque aussitôt dans un soupir de plaisir. L’esprit totalement embrumé par le désir et la brusque flambé d’excitation, je mis quelques secondes avant de réaliser qu’il s’était détaché de moi, le regardant alors se déshabiller en toute hâte. Avant même que je n’eus le temps d’admirer son corps nu et parfait dans les moindres détails, il se redressait en empoignant mes cuisses pour me relever contre le mur, entrant en moi sans prévenir et avec sauvagerie. Son cri excitant ajouté au plaisir d’une telle entrée si parfaite, je lâchais presque au même moment un fort cri de plaisir et de surprise, me fichant royalement de savoir si la chambre était assez isolée pour que les occupants voisins ne soient pas dérangés. Tout comme je me foutais de tout ce qui n’était pas Jared et ce que nous étions en train de faire dans l’immédiat. Presque choquée par le plaisir qui grandissait rapidement en moi sous ses coups de reins des plus rapides et brutaux, je ne pris pas la peine d’enrouler mes jambes à sa taille, les gardant franchement écartées pour faciliter ses coups de reins des plus jouissifs. Lâchant de faibles gémissements de plaisir, le souffle totalement coupé, je lâchais un bref cri de plaisir à sa franche morsure, griffant sans la moindre gêne son cou pour le marquer à mon tour, me foutant de savoir si quiconque verrait les marques par la suite tant seul l’instant présent comptait. Hurlant franchement de plaisir, je mis un moment à réaliser que je hurlais des oui en cascade sans pouvoir m’en empêcher, songeant à peine au fait que c’était la première fois que je hurlais dans un tel moment. Enroulant quelque peu mes jambes autour de sa taille en gémissant de plaisir sous la force de ses mains resserrées autour de celles-ci, je resserrais mes mains derrière son cou pour m’accrocher à lui, bougeant lentement le bassin à contrario de ses violents coups de reins, contractant alors mon intimité avec force presque malgré moi, tant le plaisir était puissant et destructeur, me faisant perdre définitivement la raison.

« Jared tu aimes faire tourner la tête des filles … C’est dingue ! » Lui lançant un regard des plus provocateurs tout en la regardant de haut en bas, je ne pus m’empêcher de détailler longuement son corps qui était d’un sublime parfait… Oui, cette petite tenue lui allait a merveille… il n’y avait pas a redire, elle était la tentation de tout homme ! Elle me faisait bander comme jamais, elle me rendait totalement accroc a elle, elle me rendait juste dépendant d’elle a un point qu’elle n’imaginait pas… Je l’aimais et j’en étais putain de fier dans le fond de l’aimais autant ! Elle me connaissait mieux que ce que je ne pensais ! C’était un avantage dans un sens ! Elle savait que j’aimais bien faire ce genre de chose aux filles… Les rendre folles, alors que pourtant je me trouvais moche, banale, pour moi je n’avais rien d’exceptionnel… Vraiment rien, pourquoi les filles flashé sur moi ? Je me le demande bien… Qu’est ce que j’avais de spécial ? A part des yeux bleus alors que j’étais brun et non blond, c’était surement cela qui contrastait… Oui à tout les coups, les filles étaient bien trop compliqués parfois pour que je les comprenne réellement… Mais sans elles ont s’ennuieraient bien vite… « Ce que tu as de particulier hm ? Tu es beau comme pas permit, tu as un humour bien à toi, tu es intelligent, cultivé, intéressant, tu es doué pour la comédie mais plus encore, tu es un musicien de talent, avec une voix … Absolument divine et tu sais jouer de tous tes atouts comme personne pour envouter toutes les filles même les plus difficiles à séduire. Bref … Tu es absolument irrésistible et tu en as parfaitement conscience ! » Ecarquillant les yeux, choqué de voir ce qu’elle pensait de moi, j’entrouvris lentement les lèvres ne sachant pas quoi répondre réellement, je ne m’attendais pas réellement a ce qu’elle me dise ce genre de chose, c’était très plaisant encore plus quand ça venait de la femme que l’on aime… elle ne s’en rendait pas compte mais j’étais en train de mourir clairement… J’avais plein d’atouts, j’étais intelligent et cultivé… J’avais une belle voix, bref, entendre tout ceci de la bouche de celle qu’on aime, c’était clairement un énorme cadeau, un miracle si je puis dire… Oui, Kristen était follement en train de me tuer sans même s’en rendre compte…

« Kristen… Tu… tout ce que tu dis sur moi c’est… intense, fort, magique, tu me rends fou… J’ai envie d’hurler, j’ai envie de tout avec toi… Kristen… je n’aurais jamais cru que tu puisses penser tout cela de moi si j’avais su je serais venu te parler bien plus tôt… J’ai attendu pensant que… Je m’en fous des filles, je te veux toi ! Je veux te séduire, je veux te conquérir ! Kristi… » soufflai-je doucement sans finir ma phrase alors qu’elle m’embrassait d’abord lentement avant de plaquer a nouveau mes lèvres sur les siennes. Je venais clairement d’ouvrir mon cœur, en quelque sorte… Je venais de lui dire que je l’a voulais… Oui, je la voulais et j’espérais de tout cœur qu’elle ne serait pas du genre a m’envoyer balader… La plaquant contre moi dans un baiser torrides et intense tout en lui faisant cambrer le dos, je la plaquais alors avec sauvagerie contre le mur, tout en collant mon corps contre le sien sans aucun scrupule faisant même des vas et vient pour la rendre encore plus folle. Oui folle de moi, folle de mon corps, folle tout cour de moi. Inhalant doucement son odeur tout en l’embrassant comme jamais, le bruit de nos langues se faisant entendre, je ne perdis pas de temps l’embrassant toujours avec insistance, je voulais clairement lui faire comprendre que je l’aimais et que je la désirais, elle le savait au vu de mon membre sur son bas ventre. Lui demandant alors si elle sentait a quel point je la désirais, elle me répondit que oui. Oui elle ne pouvait que la sentir de toute façon… Elle ne passait pas inaperçu… Vraiment pas… Lui annonçant que bientôt elle la sentirait de l’intérieur et qu’elle me plaisait de plus en plus, je ne pu m’empêcher de lui lancer un regard des plus sauvageon tout en l’embrassant en donnant a nouveau des coups de reins comme pour la tuer plus que de raison. J’aimais la tuer, je voulais l’achever comme elle venait de le faire il y a quelques secondes en me déballant tout ce qu’elle pensait de moi, je voulais lui faire comprendre à ma façon que moi aussi je pouvais être le genre de type à tuer les gens… « Hm de plus en plus ? A quel point ? » au point de te défoncer… Non je ne pouvais pas lui dire ce genre de chose tout de même se serait tout de même inconcevable de lui dire cela… inspirant longuement tout en léchant mes lèvres j’essayais tant bien que mal de me rationner et de ne pas perdre la tête en lui balançant des phrases bien trop irréfléchi dite sans réfléchir qui pourrait vraiment la faire fuir…

« Oh … Bordel oui je veux sentir ça et vite ! » Entrouvrant la bouche en la regardant plus que choquée, cette fille allait littéralement me rendre dingue ! Elle ne se doutait pas une seul instant pour le moment que j’étais totalement fou amoureux d’elle et elle ne s’imaginait pas une seule seconde que la moindre parole un peu trop osé de sa part pouvait me rendre totalement fou… Non, bien sur que non, car je cachais bien mon jeu, oui j’avais apprit avec les mois qui s’étaient passé que je pouvais bel et bien cachet mon désir pour elle, mais ce n’était pas de tout repos… J’avais franchement du mal a faire tout cela… beaucoup de mal, combien de fois j’avais bandé en la voyant a la télévision lors des MTV movis award ? Ou bien même aux césars… Ou tout simplement dans un film, tout comme ce fameux film ou elle joue une pute… Une belle pute soit dit en passant et une belle strip-teaseuse… Cette fille me rendait dingue, elle allait avoir ma peau dans pas longtemps et je m’en rendais compte … Peut être qu’elle aussi s’en rendait compte, je n’en savais trop rien mais pour le coup nous étions tous les deux en train de nous consumer à petit feu l’un contre l’autre. « De plus en plus… De façon à crever de désir pour toi… Kristen… Tu me plais dans tous les sens du terme… Je m’attache à toi… Je veux plus que du sexe avec toi… Je veux beaucoup plus… Tellement plus tu n’as pas idée… Ma Kristi d’amour… » soufflai-je doucement en me demandant si elle comprendrait ce que je voulais dire dans cette phrase… Est-ce qu’elle comprendrait que je l’aimais éperdument et que par conséquent je la voulais auprès de moi dans ma vie, en tant que petite amie… Oui c’était cela que je voulais ! Je voulais sortir avec elle, lui prendre la main en publique ne pas me cacher vivre pleinement ma relation avec elle, simplement une relation simple, remplit d’amour et de dispute malheureusement, comme tout couple… Léchant lentement mes lèvres tout en la plaquant a nouveau contre le mur cherchant a lui faire comprendre que je la voulais sur le champ et que je me retenais plus que de raison je lui lançai un regard totalement destructeur. « Tu vas bientôt sentir mes vas et vient… Tu vas hurler sous les glissements inlassables dans ton intimité ma belle… Crois moi… tu te rappelleras toujours de ce moment… » murmurai-je doucement comme pour la provoquer tout en donnant alors un franc coup de rein contre son intimité, mon membre frottant franchement son intimité.

Je n’en pouvais plus, j’étais avide de la faire mienne, je ne rêvais que d’une chose, de la pénétrer avec violence, de la faire hurler de plaisir, entendre mon prénom sortir de sa bouche, de la voir perdre le contrôle sous chacun de mes coups de reins, de la voir me supplier d’arrêter alors que je ne m’arrêterai pas avant de jouir plusieurs fois… Je me rendais totalement fou rien que d’imaginer ce que cela pourrait donner, mais moi je voulais voir ! Je voulais le faire, la sentir au chaud en elle, je voulais lui faire l’amour la remplir d’amour de semence, je voulais tout d’elle, j’étais en train de péter les plombs, de me rendre dingue mais elle valait le coup, oh ça oui, elle valait amplement le coup d’avoir attendu autant de temps et de craquer ce soir. Lui murmurant alors contre ses lèvres fines après un baiser tumultueux que j’étais sur le point de craquer, je ne voulais pas lui faire de mal, non je ne voulais pas lui faire peur en la prenant de façon sauvage… Elle méritait tellement mieux, j’aurais peut être du me contrôler plus que de raison… J’aurais du faire en sorte de ne pas flancher et de ne pas la plaquer contre ce putain de mur pour me l’accaparer et la prendre la contre ce mur… J’aurais au moins pus allé dans un lit… au moins… Mais non… Non… Je ne le pouvais pas… Lui murmurant rapidement qu’elle ne savait pas dans quoi elle s’engageait et que j’allais être plus que sauvage, je ne pus m’empêcher de lui lancer un regard des plus tendre et désolé. « Qui a dit que c’était pour me déplaire ? Tu me donnes des envies que je n’ai jamais eus auparavant alors stp … Stp tais toi et fais moi l’amour ! » La regardant longuement tout en me mordillant la lèvres, je ne pus m’empêcher de sourire faiblement. Cette fille était une douce tentatrice… Oui c’était bien cela, elle était clairement en train de me chauffer de me faire perdre la tête, la raison, tout ce qui pouvait me faire perdre tout court… Oui c’était ça, elle était comme dans les dessins animés… Le petit diable assis sur l’épaule gauche qui pousse a la tentation, qui pousse à céder à toute tentation illicite… Oui elle était cela, elle était une petite diablesse qui était clairement en train de me tuer et j’aimais cela, je ne pouvais pas y cracher dessus, comment le pourrais je en même temps ? C’était impossible… Kristen était mon fantasme depuis tellement de temps, elle était a elle seule la beauté incarné ! Ses jambes longues fines, musclé, bien galbé…

Longues à l’infini surtout quand elle mettait de jolis talons aiguilles… Et son corps de rêve, je rêvais de son corps constamment, jour et nuit, je ne pouvais que fantasmer sur elle, comment ne pas fantasmer ? Elle était créatrice de fantasme et je doutais même être le seul à fantasmer, ça c’était un autre problème… Un problème qu’il faudrait que je résolve tout de même… Je n’avais jamais été prêteur et je n’allais pas commencer après pratiquement quarante ans de vie ! Oh ça non ! Je ne voulais en aucun cas partager ma petite Kristen avec quelqu’un et encore moins avec l’autre débile de Robert Pattinson ! Inspirant longuement essayant de ne plus penser à ce rouquin de pacotille j’inspirai longuement la douce fragrance de ma chère et tendre qui se trouvait entre le mur et moi, prête a m’offrir son corps dans tous les sens du terme et qui me l’offrait même… Effleurant mes lèvres des siennes, je lui lançais un regard des plus sauvage et torrides cherchant plus ou moins a la rendre totalement folle à ma façon, je voulais lui montrer que je pouvais bel et bien la tuer sur place, oui je voulais lui faire voir a quel point Jared Leto pouvait tuer… tuer sexuellement, tuer en provoquant simplement avec du sexe et un regard. Léchant lentement ses lèvres du bout de ma langue, lui lançant cette fois un regard pétillant d’envie, j’inhalais son souffle tout en frissonnant longuement collant mon corps contre le sien avec désir et envie. « Kristi chérie… Redis le moi encore ! Redis le moi que tu veux que je te fasse l’amour… T’as pas idée comment t’es en train de me rendre fou pour le coup… » soufflai-je doucement d’une voix totalement rauque a cause du plaisir que je ressentis pour elle en ce moment même. Léchant lentement mes lèvres en la regardant de façon sauvage, j’empoignais alors ses cuisses pour les caresser avec lenteur Remontant très lentement sa tunique, je la sentie alors empoigner mon t-shirt pour le relever. Voulant me l’enlever, je relevais lentement les bras la laissant faire en me retrouvant alors torse nue, les frissons s’emparant de moi je me collais alors plus contre elle, tout en lui enlevant la tunique qu’elle portait bien trop encombrante à mon gout. Je voulais la voir nue, je voulais la voir naturelle, sans vêtements sans rien ! Passant l’air de rien mes mains sur ses seins en l’entendant alors gémir sous le coup, je jetais au loin le bout de tissu pour voir sa culotte la lui tirant la déchirant au passage tant j’étais excité de pouvoir enfin lui faire l’amour.

Frissonnant longuement en lui faisant poser les pieds par terre sans plus attendre, je lui baissais alors avec franchise sa putain de petite culote qui faisait barrage a mon gout tout en remontant alors pour l’embrasser. Frissonnant de plaisir sous l’envie forte de pouvoir lui faire l’amour, je me mis plus ou moins accroupi devant elle en lui faisant sortir sa culotte la jetant au loin en plaquant alors mes lèvres sur son intimité la léchant franchement en suçotant son point sensible. Ma main venant se loger a cet endroit, je mis rapidement deux doigts en elle pour voir a quel point elle était prête a se faire pénétrer, a quel point elle s’adonnait a moi, elle était tellement excitée… que ça ne pouvait que glisser parfaitement en elle sans avoir besoin de capote, ou bien même de lubrifiant ! C’était parfait, elle était parfaite ! Réellement parfaite ! Me relevant pour rapidement enlever mon pantalon et mon boxer les poussant d’un coup de pied, je l’attrapais alors par les cuisses les lui écartant franchement tout en glissant alors en elle avec brutalité et passion. Poussant un long cri en me figeant plus ou moins, Je me mis alors sans perdre de temps a démarrer de franc coup de rein, en tenant ses cuisses écarter tout en plongeant ma tête dans son cou pour la mordre avec franchise. L’entendant pousser de long cri mon corps fut parcouru de frisson intense alors que je tremblais de plus en plus en enfonçant mes doigts dans la chair de ses cuisses la mordant plus fort qu’au début. L’entendant pousser des gémissements et des séries de oui, je me mis a trembler de plus en plus en la faisant frotter contre le mur tout en faisant plus ou moins claquer nos corps, le bruit de ceux-ci se faisant franchement entendre tout en poussant de long cri de plaisir rauque pour ma part. Sentant ses jambes s’enrouler plus ou moins à ma taille, je frissonnais en amplifiant mes coups de reins en faisant glisser mon membre en elle avec franchise le sortant presque pour le rentrer plus entièrement. Remontant lentement une main a sa taille pour bloquer son corps, l’empêchant plus ou moins de bouger contre le mur je me mis a mordre ses lèvres tout en l’embrassant par la suite avec franchise et envie, ma langue se heurtant avec la sienne, le bruit de nos salives, de nos langues se faisant plus qu’entendre. Remontant ma main a ses cheveux, l’empoignant franchement en lui faisant penchant la tête en arrière je me mis alors a lécher son cou de ma langue laissant des forte trainées de bave avant de mordre sa peau avec force et envie, la plaquant plus contre le mur pour ne pas qu’elle glisse sans cesser mes coups de reins. « Kristi… Je suis fou de toi, dis moi que tu aimes… Dis-moi que tu aimes ! DIS-LE! » Hurlai-je sans pouvoir me retenir attrapant alors ses deux cuisses avec force et poigne les lui relevant en les plaquant contre sa poitrine lui faisant poser ses mollets sur mes épaules. La rendant encore plus étroite que ce qu’elle n’était déjà, je poussais un franc cri de plaisir, en sentant la sueur perler sur mon corps. Ne pouvait pas m’en empêcher je claquais l’une de ses fesses en mordant alors sans aucune retenu un de ses mollets.

Pour la première fois de ma vie, je n’étais pas vraiment sûre de moi face à un homme avec lequel une relation semblait être possible, voir même sur le point de commencer. Avec Michael je n’avais jamais ressenti la moindre gêne ou autre, concernant le fait d’une rencontre puisque nous étions tous les deux adolescents en ce temps. Autant dire que le courant ne pouvait que passer normalement entre deux jeunes adolescents qui apprennent à se connaître et plus si affinité par la suite. Jamais je ne m’étais inquiétée de savoir ce qu’il pensait et attendait de moi, ce qui lui plaisait chez moi et pourquoi. Ni même s’il me trouvait jolie, s’il comptait m’embrasser ou autre. Bref, n’étant qu’une gamine à cette époque là, je ne m’étais pas prise la tête pour un oui ou pour un non à tout bout de champ. A cette époque, je me foutais bien de savoir si j’étais belle, si un peu de maquillage m’embellirait un tant soit peu et si certains vêtements ne me donneraient pas une plus jolie allure ou féminité. Bref à treize ans, âge que j’avais lors de notre rencontre, je n’avais pas la tête à m’inquiéter de tout cela. Et puis notre relation avait duré quatre années, le temps d’une adolescence tout simplement. Du coup, il avait connu tous les changements de mon corps, m’avait aussi bien connu gamine que presque femme. Ainsi, aucune gêne n’avait pu prendre sa place dans notre relation. Par la suite, j’avais eus une très brève relation avec un acteur sans que cela ne soit le moins du monde rendu publique, et même là je n’avais nullement été gênée ou autre en sa présence, pour la simple et bonne raison sans doute, que notre relation était restée platonique et donc plus ou moins inutile et sans intérêt. Il fallait dire les choses telles qu’elles étaient ! Et enfin Robert … Robert ! Pourquoi être gênée ou peu sûre devant lui alors que je savais parfaitement qu’il me voulait, n’ayant absolument jamais caché l’attirance et tout ce qui s’ensuivait, qu’il avait pour moi depuis le casting pour le premier volet de la saga twilight ? Cela ajouté au fait que de toute façon durant les tournages nous étions bien forcés de nous montrer très proche l’un de l’autre lors de certaines scènes, jamais je n’avais eus matière à manquer d’assurance à son encontre. Au contraire même. J’avais été parfaitement maitresse de moi-même et sûre de ce que je faisais, le jour où j’avais finalement accepté de céder sous ses avances. Mais là … Là à l’instant présent tout était tellement compliqué et simple à la fois, que j’avais l’impression de perdre totalement la raison avec Jared.

Comment un type tel que lui … Non … Comment Jared Leto lui-même, pouvait-il s’intéresser un tant soit peu à moi, autrement que comme une petite sœur ou autre lien de ce genre ? Je n’avais pourtant rien pour moi à part le fait que j’étais physiquement potable et à peu près bonne actrice. Et puis il était bien connu que Jared Leto aimait les blondes ! Jamais on ne l’avait vu s’afficher au bras d’une brune. Ca devait bien vouloir dire quelque chose non ? Quelque chose comme … Le fait que les brunes ce n’était pas son genre. Alors cela me faisait encore et toujours revenir à ma principale question : Pourquoi moi ? Sans parler du fait que j’étais vraiment une gamine à côté de lui qui était un homme, un vrai. Et ce, malgré le fait que parfois son âge mental semblait ne pas être bien plus élevé que mon âge à moi, il fallait bien le reconnaître ! Lorsqu’il me demanda ce qu’il avait de si spécial pour que je sois dans un tel état devant lui, je crus l’étrangler sur place tant j’étais intimement convaincue qu’il cherchait juste à récolter quelques compliments de ma part et sans doute, dans le fond, s’assurer que je m’intéressais vraiment un tant soit peu à lui et qu’il me plaisait comme j’avais pu le lui apprendre durant la série de sms que nous nous étions envoyés, durant la soirée et la nuit qui venaient de s’écouler. Finissant par lui dire clairement tout ce que je pensais de lui, du début à la fin sans rien omettre, si ce n’est le fin mot sur mes sentiments que j’avais à son égard, je fus surprise de le voir écarquiller les yeux. J’avais dis une connerie ? J’avais trop parlé ? Ok j’étais miss la gaffe, j’étais trop stupide et je ne savais plus que faire ni que dire en sa présence tant il me troublait démesurément. Rougissant quelque peu sous le coup de la gêne que je ressentais franchement tant j’étais perdue et inquiète d’avoir dit une chose que j’aurais du garer pour moi, je me raclais discrètement la gorge sans savoir où me mettre. Voici le seul homme qui parvenait à me gêner sans rien avoir à faire, si ce n’est être lui et être devant moi. A savoir, être un homme sur son putain de piédestal tant il était parfait et tout ce qui s’ensuit. Un homme que je voulais mais que je doutais de pouvoir avoir un jour, pour tout un tas de raisons toutes plus évidentes les unes que les autres mais que je ne désirais pas étaler à tout va. « Kristen… Tu… tout ce que tu dis sur moi c’est… intense, fort, magique, tu me rends fou… J’ai envie d’hurler, j’ai envie de tout avec toi… Kristen… je n’aurais jamais cru que tu puisses penser tout cela de moi si j’avais su je serais venu te parler bien plus tôt… J’ai attendu pensant que… Je m’en fous des filles, je te veux toi ! Je veux te séduire, je veux te conquérir ! Kristi… »

Le souffle coupé par de telles révélations, je restais un moment silencieuse, passant lentement ma langue entre mes lèvres. Bon sang il me voulait … Il voulait me conquérir. Est-ce que j’allais lui laisser cela aussi aisément ? Certainement que non ! Je ne voulais pas que tout soit trop simple pour lui. Je ne voulais pas être comme toutes les minettes qu’il avait pu se taper jusqu’à présent, le genre qui n’avaient besoin que d’un claquement de doigts pour accourir et se jeter à ses pieds. Je voulais le tester, le faire tourner en bourrique, faire mine de ne pas vouloir de lui et de vouloir lui échapper. Bref tout cela pour m’assurer qu’il me voulait vraiment sans l’ombre d’un doute ! Et il avait plutôt intérêt de me rattraper et même de me punir pour avoir eus le moindre doute et d’avoir cherché à le tester. Non je ne parlais pas de me punir sexuellement. Mais … L’idée était tentante. Vraiment ! « Jared … » Murmurais-je doucement avant de me redresser pour déposer un simple baiser sur ses lèvres en le regardant longuement presque choquée d’avoir trouvé le courage de faire une chose pareille. « T’aurais vraiment du venir me parler plus tôt. » Soufflais-je en plongeant mon regard vert dans le sien d’un bleu envoûtant. Sans attendre de réponse de sa part, je plaquais plus franchement mes lèvres contre les siennes, manquant défaillir sous la perfection du baiser qui suivit. Le baiser prenant de plus en plus d’ampleur, je le laissais me plaquer fermement contre le mur, gémissant longuement en sentant ses brefs coups de reins, son membre totalement durcit contre mon bas ventre ce qui eut le don de me faire perdre totalement la raison. Apprenant que je lui plaisais de plus en plus, je ne pus que lui demander à quel point, bien que je n’écoutais qu’à moitié tant j’étais emportée ailleurs par ses baisers, son odeur, son corps parfait contre le mien et son membre des plus imposants totalement durcit par son envie de moi. L’entendant me dire que j’allais bientôt la sentir de l’intérieur, je lâchais un bref gémissement excité rien qu’à l’idée, ne prenant alors même pas la peine d’être choquée par de tels propos alors qu’en tant normal, je le serais très certainement. Ce n’était pas le genre de choses que je disais pour ma part, c’était certain. Je n’étais peut-être pas une petite sainte mais je n’avais pas pour habitude de me lâcher totalement. « De plus en plus… De façon à crever de désir pour toi… Kristen… Tu me plais dans tous les sens du terme… Je m’attache à toi… Je veux plus que du sexe avec toi… Je veux beaucoup plus… Tellement plus tu n’as pas idée… Ma Kristi d’amour… » Gémissant longuement à ces mots, réalisant que ce n’était pas uniquement du désir qu’il ressentait pour moi, je le détaillais longuement du regard en caressant doucement ses cheveux, profitant de leur longueur qui me fascinais, pour y enfouir mes doigts et les tirer avec lenteur. Que répondre à cela ? Je n’allais pas non plus lui avouer clairement que j’étais folle de lui et que je l’aimais comme une dingue. Je ne risquais pas de le lui avouer alors que je n’étais même pas certaine que lui-même m’aimait. Je ne voulais pas prendre le risque de le lui dire et me prendre le vent du siècle. Et puis merde c’était lui qui semblait vraiment vouloir me séduire. « Alors prouve-le moi … Je veux le voir, le savoir … Prouve-moi que tu me veux dans tous les sens du terme Jared. » Demandais-je doucement, mon souffle venant lentement caresser ses lèvres tant nos visages étaient proches l’un de l’autre.

« Tu vas bientôt sentir mes vas et vient… Tu vas hurler sous les glissements inlassables dans ton intimité ma belle… Crois moi… tu te rappelleras toujours de ce moment… » Mes jambes enroulées franchement autour de sa taille, je ne pu que sentir son violent coup de reins qui venaient confirmer ses dires. Un coup de reins remplis de promesses quant aux coups de reins à venir, ses vas et vient qui seraient, je n’en doutais pas un seul instant, violents, puissants et intenses. Aucun doute que j’allais hurler de plaisir comme jamais ça ne m’étais arrivé jusqu’à ce jour. « Oh je te fais confiance pour ça oui. » Soufflais-je d’une voix étranglée par l’envie des plus violents que j’avais de lui, lui faisant clairement comprendre que je me doutais parfaitement ce qui m’attendais et que je ne doutais pas un seul instant qu’il n’allait nullement me décevoir. Comment être déçue par Jared Leto ? C’était tout bonnement impossible ! J’en étais intimement convaincue ! Même ses défauts me rendaient totalement folle. Un exemple ? Son impatience. Je trouvais ça trop … Choux et excitant à la fois. Comme tout le reste de sa personne à dire vrai. Gémissant de frustration lorsqu’il sembla vouloir calmer un tant soit peu le jeu tant il avait peur de me faire peur et mal, je ne pu que lui dire de se taire et de me faire l’amour. Je me foutais de m’emballer et de le voir s’emballer lui-même. Je le voulais comme jamais je n’avais eus envie d’un homme et il avait plutôt intérêt de répondre à ce putain de désir qui nous consumait l’un comme l’autre et vite ! Croisant son regard totalement fou et remplit de désir, je me passais lentement la langue sur les lèvres sans trop y penser et lui lançant un regard franchement aguicheur. J’avais envie et besoin de le sentir unir nos corps dans un mouvement franc et puissant avant de donner de violents et rapides coups de reins pour nous mener l’un à l’autre à une jouissance des plus parfaites. Pourquoi attendait-il ? Bon sang je le voulais sur le champ ! « Kristi chérie… Redis le moi encore ! Redis le moi que tu veux que je te fasse l’amour… T’as pas idée comment t’es en train de me rendre fou pour le coup… » Souriant en coin, je lui adressais un regard franchement coquin en me mordillant lentement la lèvre inférieure sans la quitter du regard. Sa voix rauque totalement changée tant le désir semblait vraiment le tuer sur place, je ne pouvais qu’être de plus en plus excitée et envoûtée par l’instant présent. « J’ai envie de toi Jared ! J’ai envie … Que tu me prennes contre ce putain de mur et sur le champ ! » Finis-je par lâcher d’une voix presque trop forte tant j’étais excitée et emballée. Bon sang c’était la première fois de ma vie que je parlais de la sorte, sans le moindre tabou et je ne parvenais pas encore à me choquer moi-même. Mais sans doute que par la suite, une fois l’excitation retombée, je serais choquée et gênée par mes propos … Est-ce que je choquais Jared ? Est-ce que ça l’effrayait ? Le dégoûtait. Peut-être qu’il ne supportait pas qu’une fille puisse parler de la sorte. Mais dans l’immédiat je n’étais vraiment pas en état de penser à tout cela.

Le sentant remonter ma tunique le long de mon corps pour découvrir mes fesses, je frissonnais d’envie sous la caresse de ses mains, empoignant alors doucement son tee-shirt pour le lui retirer avec lenteur, me figeant presque à la vu de son torse encore plus excitant et parfait qu’en photo. Bordel il n’avait pas besoin de faire retoucher ses photos lui ! Ses mains passant sur mes seins, je gémissais doucement en caressant moi-même son torse du plat de mes mains en frissonnant longuement, le laissant me retirer ma tunique pour me laisser en simple culotte et ne tardant pas à s’attaquer à ce dernier rempart, la faisant craquer sous sa sauvagerie. Plutôt que de trouver le courage d’être outrée par cela, ça ne fis qu’exacerber mon désir si tant est que ce soit possible. Me retrouvant à nouveau debout devant lui, je le laissais me retirer totalement mon sous vêtement avant de passer sa langue sur mon intimité, ce qui eut le don de me faire gémir de plaisir, avant de contracter mon intimité sur ses doigts tant j’étais excitée, lorsqu’il en glissant deux en mois. Avant même d’avoir eut le temps de comprendre quoi que ce soit, il s’était relevé en m’attrapant par les cuisses pour me soulever et entrer en moi avec brutalité. Presque choqué par la vague violente de plaisir qui déferla en moi, j’eus peur que l’orgasme n’arrive sur le champ tant c’était intense et violent. Autant le fait que ce soit lui, que le fait qu’il agisse ainsi et que le fait que son membre était … Impressionnant me semblait être le mot exact. Bref, c’était presque trop d’un coup et je ne pus que lâcher un puissant cri de plaisir en penchant la tête en arrière et me mordant fortement la lèvre inférieure en empoignant ses épaules, mes ongles s’enfonçant franchement dans sa chaire sur le coup. Un nouveau cri s’échappa de mes lèvres lorsqu’il enfouit son visage dans mon cou pour me mordre avec violence. Penchant légèrement la tête de côté pour lui faciliter sa morsure, je déglutis longuement en sentant mon corps se recouvrir de sueur sous l’afflux du plaisir. Ses doigts s’enfonçant dans mes cuisses, je lâchais de brefs oui de plaisir tout en gémissant longuement, presque choquée de ressentir à ce point du plaisir. Comment était-ce physiquement possible de ne pas crever sous tant de plaisir ? Je me le demandais ! Le sentant retirer pratiquement son membre de mon intimité pour ensuite entrer totalement et avec violence, je ne pu retenir de lâcher de faible cri à chaque fois, me foutant que mon dos frotte et heurte avec force le mur. Je m’en foutais le plaisir était bien plus important que tout le reste ! Enroulant mes jambes autour de sa taille pour bouger tant bien que mal le bassin malgré notre position qui me le permettait peu, je sentis sa main empoigner ma taille pour empêcher mon corps de bouger, ses coups de reins se faisant plus franc et intense.

Ses lèvres se pressant contre les miennes, j’enroulais mes bras autour de son cou pour l’embrasser avec insistance, ma lèvre caressant longuement la sienne, aimant entendre le bruit de notre baiser ajouté à celui de nos corps claquant avec force l’un contre l’autre. Sa main empoignant mes cheveux pour tirer franchement ma tête en arrière, je le laissais faire en fermant les yeux, en signe de total abandon, remontant même mes doigts dans ses cheveux pour presser plus encore son visage contre ma gorge sur laquelle il donnait un long coup de langue. Ses nouvelles morsures me firent gémir doucement de plaisir et d’excitation. « Kristi… Je suis fou de toi, dis moi que tu aimes… Dis-moi que tu aimes ! DIS-LE! » Lâchant un doux cri de plaisir devant la façon qu’il avait de s’emballer à notre étreinte sexuelle passionnée et débridée, j’empoignais franchement ses cheveux en gémissant longuement, le laissant soulever mes cuisses pour les plaquer contre ma poitrine et poser mes mollets sur ses épaules, son membre glissant plus profondément en moi encore. Sa main claquant ma fesse avec force et sa morsure sur mon mollet, je lâchais un franc cri de plaisir. « Oh putain .. Oh … Oui ! Oui Jared j’aime … J’aime ! Dieu que c’est bon … Merde … Jared je vais … Je vais … » Sans parvenir à terminer ma phrase, je sentis l’orgasme arriver rapidement et me couper littéralement le souffle sous son intensité et sa violence, entrouvrant les lèvres pour hurler mais aucun son n’en sortant tant c’était violent et intense, finissant par fermer les yeux en laissant échapper de brefs gémissements étranglés, la sueur perlant sur mon corps.

« Jared » Ce prénom, le mien, sortant de sa bouche, il ne pouvait que me faire un bien fou, j’aimais qu’elle puisse m’appeler, qu’elle puisse prononcer mon prénom, tout simplement. Encore, encore, oui j’en voulais encore, je voulais qu’elle me dise mon prénom tout simplement, c’était surement le truc le plus con que je puisse penser mais pour le coup ça me rendait totalement fou. Jared, Jared, encore Jared sortant de sa bouche… Frissonnant longuement, lui lançant un regard des plus sauvages, un sourire léger sur mes lèvres, je passais rapidement ma langue dessus. Son doux baiser sur mes lèvres ne fit qu’amplifier mon désir pour elle et mon envie de l’entendre encore me dire mon prénom, tout simplement. « T’aurais vraiment du venir me parler plus tôt. » Oh que oui, j’aurais dû venir bien plus tôt, j’aurais dû lui parler bien plus tôt aussi… J’aurais dû faire beaucoup de chose bien plus tôt, mais est ce que je pouvais le regretter ? Non, il n’y avait rien a regretter il fallait prendre la vie comme on nous la donnait simplement. Mais bon dans le fon, si j’avais agis bien plus tôt elle ne serait surement pas avec l’autre rouquin, elle serait pleinement célibataire et elle ne serait pas obligé de le tromper en ce moment précis. Elle n’avait pas l’air pourtant de culpabiliser pour autant, mais une fois l’euphorie redescendue, elle serait surement un peu plus lucide, je pense… Oui, elle ne pouvait que redescendre sur terre une fois que nous aurions finis, ou que je serais tout simplement parti de sa chambre. C’était toujours comme ça…Inspirant longuement en m’approchant d’elle, le regard totalement enflammé de désir, un sourire ravageur au bout des lèvres je la poussais quelque peu vers le mur. « J’aurais dû oui… Comme j’aurais dû te rattraper lorsque tu es parti de ma loge… J’aurais dû te courir après pour t’embrasser a en perdre haleine… Mais ce qui est fait, est fait… profitons du moment présent… » soufflai-je doucement en la plaquant alors contre le mur pour l’embrasser franchement sous la forte envie d’elle. Une envie incontrôlable, une envie bien trop lourde a porter encore en moi. Je voulais la faire mienne, je voulais lui faire l’amour, je voulais l’entendre crier, entendre mon prénom sortir de sa bouche tout simplement. Je voulais tellement de chose venant d’elle… L’amour me rendait dingue, il fallait bien que je l’avoue, j’étais fou d’elle, de cette fille, de Kristen tout simplement. Ne tardant pas à le lui dire je lui murmurais contre ses lèvres que j’étais fou d’elle et qu’elle me rendait totalement fou.

A un point qu’elle ne pouvait pas imaginer. Oui, elle me plaisait, je l’aimais, je la désirais, je la voulais dans ma vie et pas qu’en simple coup d’un soir non. Je la voulais comme petite amie, compagne, femme, fiancée, épouse, merde je serais prêt a tout pour elle ! Quitte a souffrir lors de mes tournées et d’attendre patiemment et de déprimer l’attente… L’attente de la voir enfin… Car entre nos deux métiers il était clair que nous aurions du mal… Inspirant fortement en lui lançant un regard des plus amoureux et sauvage à la fois, je frottais son nez du mien tout en souriant. Kristen était tout simplement parfaite en tout point… « Alors prouve-le moi … Je veux le voir, le savoir … Prouve-moi que tu me veux dans tous les sens du terme Jared. » Frissonnant longuement à sa phrase, je la regardais de façon amoureuse, mon regard totalement planté dans le sien, son souffle effleurant mon visage avec volupté, je voulais déposer mes lèvres sur les siennes mais, je ne bougea pas. Non, je ne voulais pas bouger, je voulais simplement la regarder, la contempler, l’admirer, voir à quel point elle était tout simplement magnifique. Kristen était une des rares filles de ce monde à être si belle, son regard si envoutant, ses petites lèvres si fines, sa voix, son visage, son corps, tout lui allait à merveille, oui absolument tout, elle me rendait fou et pas qu’un peu. Qu’elle continue, car j’aimais terriblement être fou d’elle. Posant mon front contre le sien en la regardant longuement en sourire sur mes lèvres, je déposais un doux baiser sur ses lèvres en léchant lentement celle-ci du bout de ma langue tout en fermant alors les yeux. « Kristen… Je vais te le prouver, je vais te prouver, le sexe n’est pas mon seul but avec toi… Il est loin d’être le premier aussi… crois moi. » murmurai-je contre ses lèvres sans la quitter du regard un seul instant. Parlant alors par la suite de mes coups de reins a venir et du fait qu’elle allait bien les sentir, je ne pus que lui donner un franc coup de rein pour confirmer mes dires… Oui, elle allait clairement les sentir, et entendre nos corps fortement claquer aussi… Ce n’était qu’une petite question de temps. « Oh je te fais confiance pour ça oui. » souriant en coin, en voyant qu’elle me faisait parfaitement confiance sur ce plan là, je lui lançai un regard totalement remplit de désir aimant la voir s’adonner a moi de cette façon. Elle aurait pu me dire clairement qu’elle ne voulait pas de moi, qu’elle n’avait pas envie de faire l’amour avec moi, et encore moins sachant qu’elle sortait avec l’anglais de Robert Pattinson. Elle aurait très bien pu me repousser, mais en sachant que je prenais l’avion, elle devait bien se douter que je ne venais pas pour faire la discussion… J’avais les messages gratuits autant la faire par téléphone dans ces cas là. Non elle savait parfaitement pourquoi j’étais venu, même s’il n’y avait pas que ça tout de même… J’étais loin d’être un pervers aussi, il ne fallait pas abuser pour autant…

Mais Kristen réveillait en moi des désirs que je n’avais pas connu jusqu’à présent, des envies forte, des envies perturbantes par moment… Ce n’était pas facile de la regarder à la télévision et de s’apercevoir que l’envie est de plus en plus présente au point de vous en faire mal. Passant ma langue sur mes lèvres avec délectation sans la quitter du regard, un franc sourire s’élargissant sur mon visage. « J’aime que tu puisses m faire une telle confiance… Mais tu as raison, fait moi confiance ma belle. » murmurai-je doucement contre ses lèvres l’embrassant doucement en effleurant très légèrement ces lèvres, douces tentatrices et créatrice de fantasme à elles seules. L’embrassant pleinement sans attendre plus longtemps, je ne pu que lui dire que j’avais envie d’elle et qu’elle créait en moi des envies bien nouvelles et bien forte. Me provoquant en me disant clairement de me lâcher plus ou moins, je m’excusais en avance du fait que je pouvais clairement péter les plombs et lui faire mal… Je retenais le plaisir depuis bien trop longtemps… Trop longtemps même… Elle était si jeune, elle ne devait pas connaitre, tout ce que je connaissais moi. Dans un sens ce n’était pas plus mal, j’aimais bien l’idée de la cultiver sexuellement parlant. « J’ai envie de toi Jared ! J’ai envie … Que tu me prennes contre ce putain de mur et sur le champ ! » Elle était en train de me rendre totalement fou, oui, il n’y avait pas d’autre mot pour désigner ce que je ressentis au fond de mes entrailles. Cette forte envie de la faire mienne, de la plaquer avec force et non retenue contre ce mur, l’entendre gémir de douleur comme de plaisir… On dit que la douleur amène une once de plaisir lorsque l’on sait y faire, surtout lors des rapports sexuels. On le savait tous, c’était surement pour cela qu’il y avait des masochiste et j’en passe. Je n’étais pas de cette catégorie là loin de là, même si depuis le clip Hurricane, beaucoup de personnes m’associé à ce groupe. Ok, j’aimais peut être dominer de temps en temps la fille mais ça s’arrêtait là, rien de plus rien de moins. Je n’étais qu’un homme après tout, un homme avec des désirs, des envies et qui fallait que j’assouvisse… Même si pour le coup ce n’était pas qu’une pulsion sexuelle que j’allais assouvir avec elle mais plutôt un fantasme, un rêve, coucher avec Kristen était pour moi… quelque chose de terrible, de parfait de tout… Je l’a désirais depuis bien trop longtemps à présent pour pouvoir faire marche arrière. J’étais en plein engrenage. Est-ce que j’allais regretter par la suite ? bien sur que non ! Sans rien répondre, quoi dire de toute façon dans ce genre de moment ? Rien, j’agissais simplement, oui il fallait que j’agisse simplement. Chose que je fis sans perdre de temps. Contre ce mur l’embrassant avec envie, passion et désir, je lui hottais lentement sa tunique, la contemplant du regard, un corps fin, musclé, parfait, un corps de jeune femme, elle avait un corps de rêve, on ne pouvait pas passer à côté, beaucoup d’hommes devaient fantasmer sur elle… Et moi je l’avais contre moi et aller la faire mienne. Regardant par la suite sa culotte, il fallait que je l’enlève et sur le champ.

Sans perdre de temps tout en la tirant avec force, je la déchirais rapidement sans trop m’en rendre compte pour la lui enlever, tandis qu’elle, faisait de même avec moi. Léchant rapidement son intimité, tout en enlevant mon pantalon et mon boxer je la soulevai alors en lui écartant bien franchement les jambes pour rentrer en elle avec une violence déconcertante. Mienne, elle était mienne… Bougeant alors franchement le bassin, ne me retenant pas pour les coups de reins, je la voyais prendre du plaisir, chose que j’aimais, oui j’aimais lui donner du plaisir, et la voir jouir sous mon membre glissant inlassablement en moi. Oui c’était plaisant et on ne peut plus gratifiant de voir qu’elle s’adonnait totalement à moi de la sorte me laissant la prendre pour notre première fois contre un putain de mur du Sofitel…La mordant franchement dans le cou perdant patiente, n’ayant qu’une envie la mordre et la mordre encore, je la sentis pencher la tête en arrière signe qu’elle me laissait faire ce qui eut le don de me rendre encore plus fou, accélérant alors mes mouvements comme jamais, tout en relevant ses cuisses pour poser ses mollets sur mes épaules. La regardant, perdant totalement les pédales je lui hurlais clairement de me dire qu’elle aimait ce que nous étions en train de faire, oui je voulais qu’elle me le dise, qu’elle me dise qu’elle aimait mes coups de reins, que l’on puisse faire l’amour, qu’elle prenait tout simplement du plaisir, c’était là ce que j’attendais d’elle. Lui mordant le mollet sans aucune retenu, je fis pratiquement sortir mon membre de son intimité tout en faisant claquer nos corps dans une violence totalement débridé. « Oh putain .. Oh … Oui ! Oui Jared j’aime … J’aime ! Dieu que c’est bon … Merde … Jared je vais … Je vais … » Tremblant de tout mon long, le corps totalement recouvert de sueur, le souffle coupé, je ne pouvais pas m’arrêter, non je ne le pouvais pas. Le fait qu’elle me dise ce genre de chose ne faisait qu’accroitre un désir bien trop retenu a mon gout. J’allais exploser j’étais une sorte de bombe a retardement et là, c’était le moment ou jamais d’exploser si je puis dire. La sentant jouir pleinement la voix totalement coupé par le désir intense que je lui procurai je me redressai pour la voir jouir tout en jouissant en même temps. Poussant un long râle rauque suivit d’un soupire j’enfonçais mes doigts dans ses cuisses les marquant sans aucune gène. La sueur coulant à flot sur mon front, collant mes cheveux sur celui-ci, je passais lentement ma langue sur mes lèvres le corps tremblant comme jamais, j’inspirais longuement sans cesser mes coups de reins, les rendant cependant plus lent, tout en me collant bien contre elle lui faisant tomber ces cuisses doucement pour qu’elle soit dans une position plus confortable.

Déglutissant longuement cherchant à reprendre l’air, j’inspirais goulument tout en enfouissant mon visage dans son cou déposant de multiple baisers dans son cou remontant alors à son visage ou la je lui fis plusieurs baisers humides et bruyant sur son visage léchant par endroit sa peau humide de sueur. [color:a874=a67a7a]« Kristi… » murmurai-je doucement en frottant mon nez du sien tout en la décollant du mur la collant contre moi allant alors sur le lit pour l’allonger, me mettant alors sur elle en bougeant doucement le bassin ne voulant pas rompre ce moment si parfait que nous venions d’avoir. C’était tellement intense et pleinement jouissif… Ce n’était pas tous les jours que l’on couchait avec la femme que l’on aimait. Certains eux, ne couchaient jamais avec celle qu’ils aimaient… Frissonnant fortement en la regardant longuement, je pus constater qu’elle était terriblement belle naturellement comme toujours d’ailleurs. Souriant en coin, en déplaçant ses cheveux en arrière glissant mes doigts dedans, je me mis à sourire mon regard se voilant de bien être. Elle me rendait tellement heureux, oui c’était ça, elle me rendait réellement heureux. Déposant un dernier baiser sur ses lèvres je me redressais pour me laisser tomber à ces côtés, regardant alors le plafond tout en souriant franchement fermant les yeux pour profiter et graver ce moment dans ma tête a tout jamais. Ma vie était faite de haut et de bas et la, il était clair que ce moment était fait de haut ! Il était parfait en tout point. Posant ma main sur son ventre le lui caressant du bout de mes doigts je tournais lentement la tête vers elle tout en soufflant longuement mon cœur reprenant un rythme tout à fait normal. « Désolé d’avoir… était si rapide mais… J’en pouvais plus… Mais bon je suppose que je m’excuse pour rien en vue de tes envies et de tes cris de jouissance. » soufflai-je doucement pour la taquiner en lui claquant très doucement l’une de ces cuisses laissant ma main dessus pour la caresser, regardant alors la marque rougeâtre de mes mains dessus, j’y étais allé un peu fort, peut être qu’elle m’en voudrait pour cela… Surtout si elle devait tourner son fameux film blanche-neige… Ben là elle serait plus très blanche la petite … Me redressant quelque peu en m’asseyant, je passais ma main dans mes cheveux les tirant en arrière, ceux-ci s’ébouriffant allant dans tous les sens. En ce moment j’aimais bien avoir les cheveux long, j’avais ma période, tout comme l’an dernier j’avais eu ma période crête. Me frottant vivement le visage bien trop en sueur à mon goût je posais ma main sur son genou fin et pale, elle était tellement blanche de peau. « Douche ? Tu viens avec moi ? J’en peux plus, il fait une chaleur… Et puis rien de tel après ce qu’on vient de faire… » annonçai-je doucement en souriant me relevant sans lui laisser le choix l’attrapant alors par la taille la relevant pour la poser par terre en la poussant vers la salle de bains. Toutes ces chambres, je les connaissais par cœur, qu’on soit dans un pays ou un autre la compagnie était pareille… On vivait dans des chambres d’hôtel, j’étais un vagabond. « Allez ma mignonne, hop, hop, hop, une bonne douche… Fraiche ou… Chaude ? » Susurrai-je doucement a son oreille tout en collant mon bassin contre le sien, mes mains a sa taille remontant lentement a ses seins. Est-ce que le mot chaud était pour une partie de jambe en l’air. Pas forcément, nous venions de finir, ce n’était pas chose aisé pour recommencer, surtout pour un homme…

« J’aurais dû oui… Comme j’aurais dû te rattraper lorsque tu es parti de ma loge… J’aurais dû te courir après pour t’embrasser a en perdre haleine… Mais ce qui est fait, est fait… profitons du moment présent… » Sentant un frisson me parcourir sous ses paroles qui me donnaient terriblement envie qu’il réalise tout cela, je lui lançais un regard taquin tout en reculant lorsqu’il me plaqua contre le mur pour m’embrasser sauvagement. Gémissant faiblement, j’enroulais mes bras autour de son cou pour me coller pleinement à lui. « J’aime tout autant la façon dont ça se déroule aujourd’hui. » Soufflais-je contre ses lèvres en tremblant franchement d’envie alors que le baiser prenait de l’ampleur et que l’excitation et l’envie de lui montaient de plus en plus en moi. Entre deux baisers, je ne pu m’empêcher de lâcher de francs gémissements de plaisir et de ravissement à l’entendre me dire qu’il était fou de moi et avait terriblement envie de moi. Le souffle totalement coupé par l’excitation, je me contentais de lui dire de me le prouver. Je voulais qu’il me le prouve encore et encore, qu’il me fasse l’amour comme jamais on ne m’avait fait l’amour. Je voulais le voir perdre totalement la tête tout en me faisant perdre la mienne. Je voulais qu’il hurle de plaisir tout autant que moi, qu’il devienne complètement fou et incontrôlable tant tout cela serait presque trop bon et trop beau pour être vrai. Croisant son regard, je plongeais le mien dans le sien, le regardant de façon attendrie en passant lentement une main dans ses cheveux un brin trop longs mais que j’aimais terriblement. Comme totalement envoûtée par son regard d’un bleu perçant, je fus totalement incapable de détourner le regard, le regardant longuement sans broncher, yeux verts dans yeux bleus. Ses lèvres se déposant lentement sur les miennes, je soupirais faiblement de bien être sans le quitter du regard, entrouvrant les lèvres en sentant sa langue les retracer lentement. « Kristen… Je vais te le prouver, je vais te prouver, le sexe n’est pas mon seul but avec toi… Il est loin d’être le premier aussi… crois moi. » Souriant quelque peu de ravissement à ses paroles, j’empoignais doucement ses cheveux en déposant de brefs baisers du bout des lèvres, sur les siennes sans le quitter du regard, profitant pleinement de ce moment des plus envoûtants et magiques. A croire qu’il avait un pouvoir certain pour rendre les moments plus beaux encore, qu’ils n’y paraissaient. A moins que ça ne soit une question de sentiments. Dans ce cas là, tout pouvait s’expliquer en effet. Etais-je amoureuse de lui ? La question ne se posait plus. Ca me semblait des plus évidents à présent plus que jamais. « J’ai confiance en toi Jared … » Soufflais-je doucement, d’une voix des plus sincères et sérieuses.

M’apprenant par la suite que j’allais bien sentir ses coups de reins, je ne pu m’empêcher de rire doucement tout en frissonnant sous son puissant coups de reins des plus prometteur, me contentant de lui répondre que j’avais bien confiance en lui pour cela en effet et que je ne doutais pas de ses capacités sur ce plan là. Croisant son regard brillant de désir, j’en frissonnais quelque peu de désir sans le quitter du regard, aimant terriblement qu’il puisse me regarder de la sorte. Un regard plein de promesses et d’envie réelle. A me rendre complètement folle. J’avais l’habitude d’entendre que j’étais belle et parfois désirable. Surtout par les médias à vrai dire. Mais le constater de la part d’un homme qui me rendait complètement folle depuis bien longtemps, c’était presque trop gros pour être vrai. Et ça me plaisait démesurément à vrai dire. « J’aime que tu puisses me faire une telle confiance… Mais tu as raison, fait moi confiance ma belle. » Soupirant de plaisir sous ses lèvres des plus tendres et douces contre les miennes, j’empoignais plus fermement ses cheveux tant tout cela avait le don de me faire perdre totalement pied. Fermant les paupières en inspirant longuement, je tentais de graver chaque petite seconde dans mon esprit, pour ne rien perdre et ne rien oublier de tout ce qui était en train de se dérouler à l’instant présent, dans cette chambre d’hôtel et avec cet homme hors du commun que j’avais la chance d’avoir dans l’immédiat. J’ignorais jusqu’à quand mais je préférais ne pas même me poser la question tant je préférais profiter sans me soucier de quoi que ce soit d’autre. « Ce serait presque désolant si tes coups de reins n’étaient pas à la hauteur de tes promesses … » Dis-je d’un ton des plus taquins en haussant un sourcil tendrement moqueur pour le taquiner comme jamais, aimant terriblement cela. Ca faisait presque parti de notre relation, de nous taquiner constamment de la sorte. Et j’étais on ne peut plus ravie de voir que le fait que nous étions sur le point de coucher ensemble, ne changerait rien à cela. J’en avais presque besoin tant j’aimais ce côté-là de notre relation. Je ne voulais en rien que ça change. Le baiser prenant rapidement de l’ampleur, j’y répondais sans me faire prier, une flambée de désir me submergeant de part en part. Frémissant à l’idée des minutes à venir, je tremblais d’envie, me foutant royalement qu’il puisse s’emballer et me faire mal. J’avais trop envie de lui pour penser à des choses pareilles. Clairement trop envie de lui en effet ! Je voulais simplement qu’il me fasse l’amour comme jamais, qu’il nous libère de ce désir violent qui nous consumait petit à petit l’un comme l’autre.

Lâchant alors que je voulais qu’il me prenne contre ce putain de mur, je trouvais le moyen de me choquer moi-même devant de tels propos. C’était bien la première fois de ma vie que je perdais la tête au point de parler presque crûment. Allait-il être choqué lui aussi et m’en tenir rigueur ? J’osais espérer que non. J’osais espérer que mes propos ne le choquerait et ne le dégoûterait en rien. Après tout, il avait lui-même tenu des propos assez spéciaux qui, plutôt que de me choquer, m’avaient terriblement excité. J’osais espérer que ça serait la même chose pour lui. Je ne tenais vraiment pas à le choquer ou à lui faire changer un tant soit peu d’avis à mon sujet. Ca serait trop dommage au vu de la situation actuelle et du changement dans notre relation. Gémissant de plaisir, de douleur et d’excitation lorsqu’il me plaqua plus franchement contre le mur, je cru perdre pied pour de bon tant j’étais emportée dans un tourbillon d’excitation et d’envie. Mes vêtements quittant rapidement mon corps tout en continuant d’échanger des baisers enflammés et passionnés, je lui retirais rapidement son tee-shirt pour caresser et griffer longuement son torse des plus parfaits et excitants. Ses lèvres se refermant brièvement sur mon intimité, je gémissais longuement en le regardant se déshabiller et se relever en empoignant mes cuisses pour me soulever contre le mur et entrer en moi sans attendre une seconde, dans un seul mouvement, des plus jouissifs. Une violente onde de plaisir déferla sur moi aussitôt, rapidement secouée et amplifiée par les coups de reins qui ne tardèrent pas de sa part. Des coups de reins rapides et brutaux qui secouaient littéralement mon corps tant ils étaient puissants, me faisant gémir et hurler de plaisir presque malgré moi. Sentant sa forte morsure dans mon cou, je ne pu m’empêcher de pencher légèrement la tête en arrière pour l’inciter à continuer cette douce torture, me fichant de la violence et de l’urgence avec laquelle il me prenait. La douleur que je pouvais ressentir sous cette morsure et sous la force avec laquelle mon dos heurtait le mur, ne faisait qu’amplifier davantage encore, le plaisir que je ressentais déjà de manière violente. Le laissant par la suite poser mes mollets sur ses épaules, je lâchais un fort cri de plaisir en sentant la sueur recouvrir mon corps, le sentant entrer plus rapidement et profondément en moi ce qui me fit lâcher de brefs gémissements de plaisir, celui-ci grandissant bien trop vite en moi. Serrant mes mains dans son cou pour ne pas glisser, je lâchais de plus en plus de cris de plaisir, obéissant sans broncher lorsqu’il me hurla de lui dire que j’aimais cela. Comment ne pas aimer de toute façon ? C’était tout bonnement impossible ! Perdant presque totalement la voix sous la violence de l’orgasme qui me submergea bien rapidement, je ne pu que lâcher un faible cri de plaisir en penchant davantage la tête en arrière, le souffle totalement coupé par l’afflux important du plaisir. Le sentant jouir presque aussi rapidement en moi, je ne pu m’empêcher de lâcher un long gémissement de plaisir en tremblant fortement, la sueur coulant sur mon corps. Déglutissant longuement, je glissais lentement mes jambes le long de son corps, les enroulant faiblement autour de sa taille en me collant pleinement à lui.

Sentant son visage s’enfouir dans mon cou, j’eus un léger sourire en soupirant doucement de plaisir sous ses baisers sur ma peau, gémissant par la suite en sentant ses lèvres remonter sur mon visage pour y déposer des baisers humides. Frissonnant longuement de bien être, je remontais mes mains à ses cheveux pour les caresser longuement en y enfouissant franchement mes doigts et souriant en coin et tremblant quelque peu de plaisir et de bien être. J’avais un mal fou à croire que tout cela était réel. Si je devais choisir entre le moment où il m’avait prit sauvagement contre le mur et les instants de tendresse qui étaient en train de suivre, je serais bien incapable de faire un choix. Et ce, pour la simple et bonne raison que le tout était diablement bon et parfait ! L’un sans l’autre c’était tout bonnement impossible. A mes yeux du moins ! La tendresse après la sauvagerie c’était … Foutrement bon, pour résumer la chose ! « Kristi… » Gémissant faiblement en le regardant longuement alors qu’il frottait lentement mon nez du sien, je déposais un lent baiser sur ses lèvres sans le quitter du regard et en frissonnant longuement de plaisir. « Hm … Jared Joseph … Leto … » Soupirais-je doucement contre ses lèvres en lui lançant un regard malicieux. « Seph … » Soufflais-je doucement en enroulant mes bras autour de son cou lorsqu’il me détacha du mur pour me soulever. Resserrant quelque peu mes jambes autour de sa taille, je soupirais de bien être en enfouissant mon visage dans son cou. Sentant le lit dans mon dos, j’eus un léger sourire, laissant échapper un doux gémissement en sentant ses légers coups de reins. Passant lentement ma langue sur mes lèvres en frissonnant de plaisir lorsqu’il repoussa doucement mes cheveux pour y enfouir ses doigts, j’eus un léger sourire de bien être en glissant mes mains dans son cou, détaillant inlassablement son visage du regard. « Quand tu me regardes avec insistance comme ça, tu me fais fondre …. » Soufflais-je en rougissant quelque peu bien malgré moi, devant mes propres paroles. Le regardant basculer sur le côté pour s’allonger sur le lit, je tournais un bref regard vers lui en souriant en coin, ma peau frissonnant quelque peu lorsqu’il posa une main sur mon ventre. Soupirant longuement de bien être en souriant franchement, je me tournais à mon tour vers le plafond en gardant le silence, me contentant de profiter comme jamais de cet instant des plus parfaits, sachant que même si notre relation perdurait dans le temps, nous ne pourrions pas être l’un avec l’autre tous les jours, ayant tous les deux des métiers qui nous poussaient à nous éloigner physiquement l’un de l’autre. Il suffisait de regarder. Certes actuellement nous nous trouvions tout deux en Europe. Mais d’ici à une semaine ou deux, pour ma part, je retournais à Los Angeles pour me préparer pleinement pour le tournage à venir, de Blanche-Neige et le chasseur. Autant dire que même si nous le voulions vraiment, nous ne serions pas totalement libres de nous voir aussi souvent que l’envie nous prendrait. Malheureusement c’était ainsi et il faudrait bien nous en accommoder que nous le voulions ou non.

« Désolé d’avoir… était si rapide mais… J’en pouvais plus… Mais bon je suppose que je m’excuse pour rien en vue de tes envies et de tes cris de jouissance. » Choquée, je tournais la tête vers lui, le regardant longuement sans savoir que répondre, me contentant de le regarder, lèvres entrouvertes sous la surprise. Finissant par rire doucement tout en rougissant, je mis une claque douce mais ferme sur son bras qui était en train de me caresser la cuisse. « Tu sais que c’est vraiment pas chic de faire remarquer ce genre de choses ? Ce qui se passe dans ces moments là … Restent dans ces moments là ! Tu mériterais que je serre les cuisses pour le restant de la journée. » Dis-je l’air de rien en lui lançant un regard sérieux avant de détourner le regard en soupirant doucement de bien être et fermant à demi les paupières. Le sentant s’asseoir sur le lit, je tournais le regard vers lui pour le détailler longuement du regard, regardant alors ses cheveux qu’il ébouriffa quelque peu d’une main. J’aimais terriblement ses cheveux longs pas coiffés de la sorte. Ca lui donnait un petit côté enfantin et gamin que je trouvais atrocement beau et plaisant à souhait. « Douche ? Tu viens avec moi ? J’en peux plus, il fait une chaleur… Et puis rien de tel après ce qu’on vient de faire… » Alors que j’ouvrais la bouche pour lui répondre, il ne me laissa pas le temps de le faire, se relevant en m’entrainant directement avec lui et me faisant à mon tour quitter le lit. Riant doucement, je levais les yeux au ciel en lui lançant un regard moqueur. « T’es sûr que j’ai le choix ? J’ai l’impression que non moi ! » Dis-je d’un ton taquin en reculant vers la salle de bains sans le quitter du regard en posant mes mains sur son torse pour le griffer doucement en me mordillant inconsciemment les lèvres. J’avais toujours un mal fou à croire que dans l’immédiat il m’appartenait. Au moins pour quelques heures. Je ne parvenais pas à croire qu’il puisse réellement être là en cet instant, avec moi, beau et tentant comme jamais. « Allez ma mignonne, hop, hop, hop, une bonne douche… Fraiche ou… Chaude ? » Sentant ses mains se poser sur mes seins, je baissais instinctivement le regard pour les voir, déglutissant longuement en soufflant faiblement, posant mes mains sur les siennes pour lui faire les caresser doucement en lui lançant un regard coquin. « Chaude … Très très chaude … » Soufflais-je doucement l’air de rien en lui lançant un regard des plus aguicheurs avant de me détourner et m’éloigner de lui l’air de rien, filant dans la salle de bains pour m’engouffrer dans la cabine de douche des plus spacieuses et mettre l’eau en route le temps qu’il me rejoigne. Laissant l’eau couler librement sur mon corps, je penchais la tête en arrière pour ramener mes cheveux trempés dans mon dos. Une fois fait, je récupérais le savon pour en prendre dans mes mains en me retournant vers Jared, me redressant pour déposer de brefs baisers sur ses lèvres sans pouvoir m’en empêcher, entreprenant alors de le savonner avec lenteur, prenant tout mon temps pour caresser longuement son corps, le parcourant du plat de mes mains en me mordillant lentement la lèvre, n’arrivant toujours pas à croire qu’il était là avec moi, pour moi. « Bon sang … Pas besoin de photoshop pour faire croire que ton torse est parfait toi … Puisque c’est clairement le cas … » Ne pus-je m’empêcher de dire en rougissant quelque peu devant toute les libertés que je me permettais en sa présence. Ce qui n’était pourtant pas dans mes habitudes, avec qui que ce soit.

« J’aime tout autant la façon dont ça se déroule aujourd’hui. » Souriant en coin en inspirant quelque peu, je penchais lentement la tête pour la contempler de plus en plus, scrutant alors son visage si parfait. Nous étions deux à aimer le déroulement de la journée. « Alors profitons… » Soufflai-je doucement contre ses lèvres en l’embrassant alors longuement pour profiter pleinement de ses lèvres et de ce moment. Oui nous voulions profiter, et moi le premier ! Rapidement je lui annonçais alors que je la voulais plus que sexuellement, je ne la voulais pas que sur le plan cul non.. Je voulais vivre avec elle, vivre une histoire d’amour et rien d’autre ! Je la voulais pour toujours… « J’ai confiance en toi Jared … » Souriant en coin je déposais un doux baiser sur ses lèvres avant de donner un puissant coup de reins pour lui montrer ce qui allait lui attendre ! Oui elle pouvait me faire confiance ! Elle allait en recevoir des coups de reins ! Léchant rapidement mes lèvres je lui annonçais alors que oui, elle allait bien sentir mes coups de reins ! Oh que oui… « Ce serait presque désolant si tes coups de reins n’étaient pas à la hauteur de tes promesses … » Lui lançant un regard franchement sauvage, en léchant mes lèvres laissant quelque peu de bave dessus je la scrutais du regard en frissonnant longuement de plaisir, j’avais qu’une envie la faire mienne et ce rapidement ! Je la voulais, j’avais fait tout le trajet pour la voir et maintenant qu’elle était en face de moi je ne voulais qu’une chose faire l’amour avec elle avant de parler. Oui, parler, parler et parler mais avant le sexe ! Oui nous devions faire l’amour ! « T’inquiète pas pour ça ! Ils vont être à la hauteur ! Ils vont l’être ! » Lâchais-je d’une voix pressé signe que je ne voulais qu’une chose faire l’amour. La plaquant plus franchement contre le mur avec envie et désir notre baiser se fit enflammé, je la voulais, et je l’aurais ! Coute que coute !

Nos langues se percutant avec intensité et envie, le baiser devenant de plus en plus sauvage je commençai lentement à la déshabiller alors qu’elle enlevait rapidement mon haut. Me baissant pour lui enlever sa culotte et son pantalon je léchais rapidement son intimité avant de me lever pour lui attraper les cuisses et les lui écarter. Entrant violemment et rapidement en elle, je me mis à faire des coups de reins puissants, faisant fortement claquer nos deux corps avec intensité. Nos cris se mêlant l’un à l’autre, mon buste frottant alors sa poitrine, je faisais en sorte d’y aller de plus en plus vite. Ses cris me rendant totalement fou, je cru mourir sur place tant lui faire l’amour était totalement parfait. Perdant patiente en lui remontant une jambe a mon épaule j’accélérai encore plus en mordant son mollet lui demandant alors de me dire à quel point elle aimait que je lui fasse l’amour. Sans plus attendre, je jouissais en elle, en même temps qu’elle. Un perfect. Oui, un perfect, un putain de parfait de fou. Ralentissant peu à peu mes coups de reins le plaisir étant devenus bien trop fort, je cessais totalement avant de l’embrasser doucement murmurant alors doucement son surnom, Kristie, celui que je lui donnais, mon petit surnom pour elle et personne d’autre n’avait besoin de le lui donner. « Hm … Jared Joseph … Leto … » Fermant lentement les yeux sous mon nom et prénom en entier, un sourire se logea alors sur mon visage, il était rare que l’on utilise mon second prénom. Joseph. Et le prénom sortant de sa bouche me faisait un effet de fou… Oui j’aimais terriblement cela. Je voulais encore et encore qu’elle me nomme de la sorte, elle était la seul à me faire de l’effet rien qu’en m’appelant. C’était tout de même fou… Déglutissant longuement je fermais alors les yeux. « Seph … » Seph ? C’était quoi ce surnom ? je me le demandais bien ? Diminutif de Joseph ? J’en avais bien l’impression, oui… Cette fille allait réellement me tuer… nous venions de nous retrouver depuis quoi ? vingt minutes ? Plus ? Moins ? Je n’en savais rien, notre relation s’était déroulée tellement vite, l’envie, le désir, les pulsion, nous n’avions pas tenu longtemps, autant dire que c’était le meilleur vite fait bien fait de toute ma vie.

« Seph ? Pour Joseph ? Je t’inspire ma petite brunette ? » soufflai-je doucement en la serrant bien fortement dans mes bras. La sortant de contre le mur pour venir vers le lit, j’enfouissais lentement mon visage dans son cou en l’allongeant alors sur le lit avec douceur tout en bougeant très, très lentement le bassin faisant alors glisser longuement mon membre en elle. Sans la quitter du regard je la contemplais alors longuement, ne pouvant pas m’en empêcher tellement je la trouvais sublime et parfaite. Oui c’était bien ce qu’elle était dans le fond… Parfaite. « Quand tu me regardes avec insistance comme ça, tu me fais fondre …. » Passant très lentement ma langue entre mes lèvres a plusieurs reprises de façon très, très lente, je la regardais alors toujours avec autant d’envie. J’aimais la faire fondre et encore plus le savoir de la sorte. Savoir que je lui faisais un effet fou, oui c’était plaisant. Je n’aurais jamais cru que Kristen puisse me désirer, puisqu’elle était avec Robert… Robert que je n’avais jamais spécialement aimé… Il était inintéressant, il était… Plat, oui, c’était un anglais quoi ! Il n’avait rien à voir avec moi… Même si pour m’amuser lors de certaines interviews j’avais dit pour rire que j’étais son oncle, chose fausse, j’étais loin de l’être et je ne souhaitais pas l’être pour rien au monde… Inspirant doucement en la regardant longuement je scrutais longuement son visage en déposant un doux baiser sur ses lèvres avant de mordiller celle-ci en fermant alors les yeux pour profiter pleinement de ce moment, inspirant sa douce fragrance, fruité, intense, délicieuse. « Ah oui ? Je vais alors continuer de te regarder de la sorte… Hm… » susurrai-je contre ses lèvres en déposant une multitude de baisers dessus tout en poussant un faible soupire de plaisir. Mordillant ses lèvres je me laissais tomber alors sur le côté tout en la regardant longuement posant ma main sur son ventre avant de tourner mon visage vers le plafond, inspirant fortement pour reprendre ma respiration tout en gémissant me sentant cruellement bien. Elle me rendait heureux, oui totalement, rien que par de sa présence… ça me suffisait amplement. Essayant de récupérer mes capacités à réfléchir et agir, mais surtout a reprendre un souffle des plus normal je passais lentement ma main sur on front pour l’essuyer la sueur y perlant depuis un petit moment à présent. Sans perdre de temps, je lui annonçai alors que je m’excusais plus ou moins que ça soit allé si vite… Mais le désir était tellement puissant, je la désirais depuis bien trop longtemps pour pouvoir me contenir aussi longtemps…

De plus je n’étais pas le genre d’homme à me soulager non stop par manque… J’étais arrivé à un stade ou … Ma main ne suffisait plus… Après vingt ans de relation sexuelle il était clair que mes besoins avaient évolués… Chose tout à faire normal… « Tu sais que c’est vraiment pas chic de faire remarquer ce genre de choses ? Ce qui se passe dans ces moments là … Restent dans ces moments là ! Tu mériterais que je serre les cuisses pour le restant de la journée. » Tournant lentement le visage vers elle, un léger sourire aux lèvres, je la regardais alors de bas en haut, pour bien détailler son corps. Elle était d’une pâleur… Je n’étais pas le genre bronzé, mais elle, elle était vraiment pale ! Pale mais belle, terriblement belle. Regardant ses cuisses avec envie, je passais rapidement ma langue sur mes lèvres en regardant alors son intimité. Posant ma main sur son corps je le caressais lentement du bout de mes doigts, passant sur ses cuisses j’allais a l’intérieur de celle-ci contournant son intimité tout en me rapprochant d’elle, lui lançant alors un regard des plus taquin et malicieux. Comme si elle pouvait fermer ses cuisses… non, elle n’avait pas le droit… Je lui refusais de le faire… « Tu n’oserais pas… Tu ne peux pas fermer tes cuisses, pas après avoir fait l’amour avec moi… Et puis se serait bête de faire autant de déplacement pour dormir toute la journée et partir sans avoir assouvie toutes ces envies qui nous rongent ma belle… » soufflai-je doucement en lui lançant un regard encore plus taquin souriant en coin, en léchant lentement mes lèvres. Me redressant quelque peu je la regardais encore et toujours avant de lui proposer alors une douche, une bonne douche car pour le coup j’étais en nage et j’en avais terriblement besoin…sentir l’eau ruisseler sur mon corps la fraicheur de celle-ci… Oui, il fallait qu’on se douche. Sans perdre de temps je lui proposais alors une douche sans trop lui laisser de choix, elle devait me suivre, une douche c’était toujours mieux à deux quand même… « T’es sûr que j’ai le choix ? J’ai l’impression que non moi ! » Souriant en coin ne haussant les épaules l’air de rien, je baissais un vague regard sur sa magnifique poitrine que j’aimais déjà, tant elle était bien ronde et bien galbé. Elle avait un corps magnifique, rien était a refaire… Non, Kristen était la femme parfaite. Il n’y avait pas mieux c’était même impossible. La faisant quelque peu reculer pour se diriger plus ou moins vers la salle de bains. « Non tu n’as pas réellement le choix… Douche ! Obligatoire ma mignonne… Tu vas l’aimer cette douche, ne t’en fait pas pour ça ! » soufflai-je en posant alors mes mains sur ses seins l’air de rien, les empoignant doucement pour en profiter au maximum.

Dieu ils étaient faits pour moi ! Sentant ses mains se poser sur les miennes, je la laissais faire en souriant en coin malaxant alors sa douce poitrine en passant mes pouces sur ses tétons l’air de rien, les titillant lentement pour les faire durcir. Sans perdre de temps, je lui demandais alors comment elle voulait prendre sa douche. Fraiche, ou chaude, elle avait le choix. « Chaude … Très très chaude … » Interceptant son regard des plus aguicheur, un sourire au bout de mes lèvres je la détaillais longuement en la scrutant du regard léchant alors lentement mes lèvres tout en inspirant fortement. Une bouffée de chaleur m’envahissait tout a coup, elle allait me rendre fou cette fille… Kristen était à mes yeux la femme typiquement parfaite. Oui c’était bien cela. Parfaite était le mot qui lui convenait le plus. La regardant partir je restais quelques minutes là à la regarder avant de ne plus la voir. Douche, oui, douche, il fallait que je prenne ma douche avec elle et c’était même vital tout court… La suivant lentement je m’engouffrais dans la salle de bains avant de la regarder un long moment. Sous l’eau la tête penchait en arrière, une déesse sous son haut. Une sirène avec des jambes et des pieds… Passant a plusieurs reprises ma langue entre mes lèvres en lançant un regard quelque peu affamé, je m’avançai avec lenteur en posant mes mains sur la paroi de la douche. « Douce tentatrice… Tu es au courant que même un mort pourrait bander en te voyant ? » Soufflai-je l’air de rien avant d’entrer sous la douche, sentant alors l’eau chaude couler le long de mon corps. La voyant se tourner vers moi, un léger sourire au bout de mes lèvres, je la détaillais de haut en bas avant de sentir ses lèvres sur les miennes. La laissant faire je sentis alors ses mains laver lentement et doucement mon corps. Nom d’un chien, oui !!! « Bon sang … Pas besoin de photoshop pour faire croire que ton torse est parfait toi … Puisque c’est clairement le cas … » Inspirant profondément cherchant a prendre de l’air comme je le pouvais, je fermais brièvement les yeux cherchant alors a contrôler mon cœur, et mon corps par la même occasion. Elle était en train de me tuer… ses mains sur mon corps me tuer littéralement tellement c’était on ne peut plus plaisant. Kristen avait les mains douces… Terriblement douce, et le fait qu’elle soit en train de me laver l’air de rien en me complimentant me rendait fou. Passant lentement ma langue sur mes lèvres j’inspirais longuement en fermant alors les yeux, penchant ma tête en arrière cherchant a ne pas flancher sous la forte envie de la plaquer contre le mur pour l’embrasser des plus sauvagement. L’envie était là, terriblement là, tout comme l’envie de lui faire l’amour encore alors que nous venions de terminer. C’était impossible, il me fallait plus de temps pour recommencer, c’était ainsi, je n’étais pas un warrior ou dieu sais quoi. Posant mes mains lentement sur ses épaules j’inspirais fortement en venant me coller à elle la prenant alors dans mes bras avec lenteur et envie. J’étais fou de cette fille je ne pouvais plus le nier, non plus après ce que nous venions de faire à présent dans cette chambre d’hôtel. Souriant en coin en déposant un doux baiser sur ses lèvres je restais un petit moment contre profitant de la douceur de sa bouche avant de faire quelques baisers dessus plus ou moins bruyant avant de passer ma main sur sa joue la lui caressant du bout des doigts. « Qui a dit que j’avais besoin de photoshop ? Je vais porter plainte ! Je suis naturel et parfait… » Dis-je doucement en riant quelque peu déposant a nouveau quelques baisers sur ses lèvres gémissant fortement sous l’afflux de plaisir la plaquant contre la paroi de la douche passant alors ma main sur sa cuisse la montant a sa taille puis son sein, son cou et enfin son visage tout en collant mon bassin contre le sien. « Douce tentatrice… T’es au courant que tu me rends fou ? » soufflai-je d’une voix douce et sensuelle pour la rendre quelque peu folle.

« Alors profitons… » Oui profiter … C’était clairement ce que nous étions en train de faire depuis un bon petit moment déjà. Plus précisément, depuis la première tournée de messages que nous nous étions envoyés, à n’en pas douter. Et ce, pour la simple et bonne raison que nous voulions profiter tout simplement. Certes nous ne pensions nullement aux conséquences et encore moins au fait que nous n’avions sans doute pas le droit. Mais nous nous en fichions bien dans le fond. J’étais en couple avec Robert mais il était certain que ce que nous étions en train de faire à cet instant tous les deux, remettait absolument tout en question. Je n’étais finalement pas si amoureuse de Robert que j’aurais bien aimé à le croire en tout premier lieu. Sans doute même étais-je avec lui par dépit, parce que Jared n’avait jamais semblé me remarquer, ce qui dans le fond était parfaitement normal au vu du fait que je n’étais qu’une jeune parmi tant d’autres sans le moindre intérêt. Pourquoi le Jared Leto, aurait pu s’intéresser à moi autrement que comme il s’intéressait à moi depuis des années, à savoir comme une sœur ? C’était ainsi que nous nous comportions l’un avec l’autre depuis le tournage de Panic Room. Certes nous avions cessés de nous voir le temps de quelques petites années. Mais nos retrouvailles avaient laissés place au même lien, à peu de choses près. Certes j’étais devenue, enfin, une femme, et de son côté il était un chanteur de plus en plus adulé et désiré par toutes les filles aux quatre coins de la planète. J’avais quelques acteurs à mes pieds et lui des milliards de filles qui donneraient leur vie pour passer une nuit dans son lit. Autant dire que tout semblait nous séparer. Et pourtant il était grandement parvenu à me surprendre avec tous ces sms qui visaient à me dire qu’il avait envie de moi. Et qu’aurais je pu faire d’autre que craquer alors que j’avais tout autant envie de lui et le voulais depuis des années ? Rester de marbre aurait été tout bonnement impossible. Aucune fille normalement constituée n’aurait pu rester de marbre devant Jared Leto. Le Jared leto. Cet homme à la beauté presque choquante et exceptionnelle. Cet homme à la voix envoutante et excitante. Alors que nous étions en train de nous exciter et nous tuer mutuellement, je lâchais un bref cri de surprise et de désir en sentant son puissant coup de reins visant à me démontrer que je ne serais pas déçue par ceux-ci. Ce dont je ne doutais pas un seul instant. « T’inquiète pas pour ça ! Ils vont être à la hauteur ! Ils vont l’être ! » Gémissant fortement à ses paroles, je n’eus pas le temps de répondre quoi que ce soit, que déjà il me plaquais avec vigueur contre le mur en m’embrassant sauvagement et ardemment.

La suite se passa très vite, entre moi qui lui retirais rapidement son haut et lui qui me déshabillait en toute hâte, nous finîmes totalement nus avant qu’il n’empoigne mes cuisses pour me relever contre le mur et entrer violemment et totalement en moi, me décrochant un franc cri de plaisir. Démarrant de rapides et violents coups de reins, je le laissais faire en me serrant fortement contre lui, nos cris se faisant franchement entendre sous l’afflux intense du plaisir. Gémissant et hurlant de plaisir comme jamais, je le laissais attraper l’une de mes jambes pour poser mon mollet sur son épaule et le mordre fortement, provoquant de nouveaux cris en moi. Sans tarder, alors que je hurlais que oui j’aimais terriblement cela, je ne pus m’empêcher de jouir rapidement, hurlant plus encore de plaisir lorsqu’il jouit à son tour en moi. L’entendant murmurer doucement ce petit surnom qu’il était le seul à me donner, j’enroulais lentement mes jambes autour de sa taille en soupirant longuement de bien être et murmurant doucement ses prénoms et son nom. Enfouissant quelque peu mon visage dans son cou, j’improvisais par la suite un surnom sans trop y penser. Pas de Jay pour éviter de faire comme tout le monde ni de Jaja pour la même raison. Son second prénom me semblait donc être une bonne idée pour l’utiliser et en faire un surnom. Pas de Jojo c’était ridicule donc ça serait Seph. J’osais espérer que j’étais la première, et serait la dernière, personne à l’appeler de la sorte. Ce n’était pas trop mal selon moi. « Seph ? Pour Joseph ? Je t’inspire ma petite brunette ? » Souriant en coin, j’enfouissais plus pleinement encore, mon visage dans son cou en le serrant fortement contre moi tandis qu’il me détachait du mur pour filer en direction du lit. « Hm moui. » Répondis-je simplement, mes lèvres contre sa peau. « Ca te plais pas comme surnom ? » Demandais-je ensuite en souriant quelque peu en coin, le sentant me poser lentement sur le lit en restant allongé sur moi, son corps pressé contre le mien. Sentant son bassin se bouger lentement pour glisser en moi avec lenteur, je soupirais doucement de plaisir en reposant mes pieds sur le lit, plongeant mon regard dans le sien tandis qu’il semblait occupé à me contempler longuement. Un regard parfait et envoûtant dans lequel j’aimais terriblement me plonger sans la moindre hésitation. Souriant en coin, je finis par lui souffler que son regard me faisait fondre, chose on ne peut plus vraie. Regardant sa langue passer à plusieurs reprises et avec lenteur entre ses lèvres, je laissais échapper un involontaire gémissement d’envie en me redressant pour refermer lentement mes lèvres sur sa langue et la suçoter doucement, me laissant par la suite retomber sur le lit l’air de rien et sans la quitter du regard. « Ah oui ? Je vais alors continuer de te regarder de la sorte… Hm… » Riant doucement, je frissonnais quelque peu de bien être sous ses multiples baisers qu’il déposait sur mes lèvres. « Hm t’as raison t’arrête pas. » Soufflais-je doucement contre ses lèvres.

Alors qu’il se laissait tomber sur le lit pour s’allonger à mes côtés, je tournais la tête vers lui en souriant quelque peu, laissant sa main se poser sur mon ventre. Riant quelque peu lorsqu’il mentionna le fait que je n’avais nullement eut l’air de ne pas aimer sa sauvagerie et sa violence, je le taquinais en lui faisant remarquer que ça ne se faisait pas de faire ce genre de remarque et qu’il mériterait que je ferme mes cuisses pour la peine. Bien entendu, je disais cela sans trop y penser dans le fond puisque je ne me sentais nullement capable d’une telle chose. Serrer mes cuisses alors qu’il était là pour moi et que nous avions l’occasion de faire l’amour encore et encore ? C’était tout bonnement impossible et c’était d’une évidence imparable ! Sentant sa main se poser sur mon corps pour glisser sur ma cuisse, je la suivais du regard en frissonnant longuement en cambrant instinctivement le dos sous la caresse lente et douce de sa main. Le sentant se rapprocher de moi alors qu’il contournait lentement mon intimité de ses doigts, je tournais la tête vers lui en laissant échapper un bref soupir de plaisir. « Tu n’oserais pas… Tu ne peux pas fermer tes cuisses, pas après avoir fait l’amour avec moi… Et puis ce serait bête de faire autant de déplacement pour dormir toute la journée et partir sans avoir assouvie toutes ces envies qui nous rongent ma belle… » A ces paroles, je laissais échapper un faible rire en levant une main pour passer lentement le bout de mes doigts sur le côté de son visage en le regardant longuement et souriant quelque peu. « Oh vraiment ? Tu sais qu’il faut se méfier de ce genre de propos ? Les femmes adorent avoir l’esprit de contradiction … Je pourrais bien le faire uniquement pour te prouver que je le peux … » Dis-je l’air de rien en lui lançant un regard franchement taquin et coquin. Par la suite, il se redressa légèrement en me proposant alors une douche, sans trop me laisser le choix, ce qui amena un lent sourire sur mes lèvres. Plutôt que de polémiquer sur le fait que je n’avais de toute évidence pas le choix, je lui fis simplement remarquer la chose en souriant en coin et d’une voix taquine comme j’aimais déjà à le faire, le taquiner encore et encore. Me levant à mon tour sans broncher, je le regardais en souriant tandis qu’il me faisait lentement reculer jusqu’à la salle de bains. « Non tu n’as pas réellement le choix… Douche ! Obligatoire ma mignonne… Tu vas l’aimer cette douche, ne t’en fait pas pour ça ! » Souriant en coin en le regardant longuement sans broncher, je hochais doucement la tête. « Hm je te fais confiance alors … Comme pour tes coups de reins qui étaient à la hauteur de la promesse. » Dis-je l’air de rien en souriant en coin avant de me figer légèrement en sentant ses mains empoigner mes seins avec force. Laissant échapper un faible gémissement de plaisir, j’entrouvris les lèvres en baissant le regard sur ses mains, me mordillant la lèvre en relevant le regard vers lui, posant alors mes mains sur les siennes pour l’inciter à continuer, déglutissant longuement en sentant ses pouces se poser sur mes tétons et les titiller, les faisant rapidement durcir sous le coup du plaisir.

« Hey ! C’est pas … Du jeu ça ! Est-ce que moi je te fais … Ca !? » Demandais-je alors en glissant une main entre nous corps pour empoigner franchement son membre de ma main, haussant un sourcil en lui lançant un regard moqueur et lui adressant un sourire sensuel. Profitant de sa demande quant à savoir si je voulais prendre une douche froide ou chaude, je lui répondis d’une voix taquine et sensuelle, que je la voulais chaude, très chaude, le sous entendu étant alors plus qu’évident. Sans rien dire de plus, je m’éloignais par la suite l’air de rien pour filer dans la douche comme convenu. Une fois là, je prenais tranquillement place sous le jet d’eau en allumant celle-ci pour qu’elle soit un poil chaude, penchant la tête en arrière pour ramener mes cheveux trempés dans mon dos. « Douce tentatrice… Tu es au courant que même un mort pourrait bander en te voyant ? » Surprise, je baissais à nouveau quelque peu la tête pour la regarder en souriant faiblement, parcourant lentement son corps du regard en haussant vaguement les épaules. « Hm … C’est bon à entendre … Et moi il n’y a que toi que j’ai envie de faire bander. » Dis-je l’air de rien en souriant quelque peu et le laissant entrer dans la cabine de douche avec moi, me tournant alors vers lui en prenant du savon en main pour commencer à le laver avec lenteur, prenant tout mon temps pour parcourir son torse et ses bras du plat de mes mains avec douceur. Souriant quelque peu, je lui fis alors remarquer qu’il n’avait vraiment pas besoin de photoshop pour être parfait, contrairement à bien des gens de notre milieu. Souriant quelque peu en sentant son cœur battre rapidement sous ma main, je fis mine de rien pour continuer de le laver avec extrême lenteur, le regardant pencher la tête en arrière. Le laissant me prendre dans ses bras pour déposer ses lèvres sur les miennes, je le laissais faire en souriant en coin et frissonnant de bien être, caressant lentement son dos du plat de mes mains en le regardant amoureusement tandis qu’il déposait de brefs baisers plus ou moins sonores sur mes lèvres. « Qui a dit que j’avais besoin de photoshop ? Je vais porter plainte ! Je suis naturel et parfait… » Riant doucement en lui lançant un regard taquin, je pressais ma poitrine contre son torse avec force en prenant une long inspiration de bien être et me redressant quelque peu sur la pointe des pieds pour suçoter doucement sa lèvre inférieure. « Si un autre que toi avait dit ce genre de chose, je me serais foutu ouvertement de lui. Mais toi … Toi … Je suis d’accord avec toi ! Tu es naturel et naturellement parfait ! Au point même, d’être trop beau pour être vrai. » Soufflais-je contre ses lèvres en souriant quelque peu en coin. Le sentant me plaquer avec franchise contre la paroi de la douche, je le laissais faire en laissant échapper un bref gémissement d’excitation, entrouvrant les lèvres sur le coup, le souffle court tandis que sa main parcourait lentement mon corps, son bassin pressé contre le mien. Déglutissant longuement et sans le quitter du regard, je remontais lentement une jambe le long de la sienne, la caressant longuement et doucement de ma cuisse sans le quitter de mon regard brillant de désir. « Douce tentatrice… T’es au courant que tu me rends fou ? » Souriant faiblement en fermant les yeux et me mordillant longuement la lèvre, je glissais une main entre nos corps pour empoigner à nouveau son membre, avec plus de franchise cette fois, pour faire de lents vas et vient de ma main. « Je crois que je m’en serais doutée oui. » Soufflais-je doucement en enfouissant mon visage dans son cou pour y déposer des baisers humides, descendant avec lenteur sur son épaule, caressant alors son torse de ma main libre pour le parcourir sans me lasser, de mes doigts.

« Hm moui. » Inspirant longuement, mon corps frissonnant quelque peu je la regardais longuement, frottant alors mon nez au sien. « Ca te plais pas comme surnom ? » Souriant en coin, je déposai un doux baiser sur ses lèvres, bien sur que ce surnom me plaisait, non seulement il était d’elle, mais en plus personne ne m’avait surnommé ainsi de toute ma vie, elle avait donc trouvé un surnom rien que pour elle… Elle avait fait fort, ça prouvait bien à quel point je l’inspirais pour trouver un surnom pour moi… J’aimais atrocement qu’elle puisse faire ce genre de chose. « Tu rigoles ? Bien sur qu’il me plait ! Il est unique ! Tu es bien la seule à me donner un surnom original que personne jusqu’à présent ne m’avait donné. Il est très bien croit moi Kristie d’amour… » Murmurai-je doucement contre ses lèvres en déposant de doux baiser bruyant sur ses lèvres avant de la décoller sur mur pour la porter vers le lit sans aucune difficulté. L’allongeant, en me mettant sur elle pendant un moment, je la contemplais alors avec amour, celle-ci me disant qu’elle aimait atrocement que je puisse la regarder ainsi. Sans perdre de temps je lui murmurais alors que je ne comptais pas m’arrêter de si tôt… « Hm t’as raison t’arrête pas. » souriant en coin en sortant de sur elle, m’allongeant alors a ses côtés, je frissonnais fortement en fermant alors les yeux de bien être. Ce moment était unique, parfait, sublime, il n’y avait pas assez de qualificatif pour désigner ce moment qui venait de se dérouler entre nous. Caressant longuement ses cuisses sans rien répondre, n’ayant qu’une envie la faire mienne à nouveau mais sachant pertinemment que ce n’était pas possible, elle m’annonça qu’elle pouvait très bien me fermer les cuisses si elle le voulait. Passant ma main sur son entre jambe contournant tout de même son intimité pour la faire craquer, je lui annonçai alors qu’elle ne pouvait pas me faire ça a moi… Non vraiment pas … « Oh vraiment ? Tu sais qu’il faut se méfier de ce genre de propos ? Les femmes adorent avoir l’esprit de contradiction … Je pourrais bien le faire uniquement pour te prouver que je le peux … » La fixant longuement en m’asseyant bien sur le lit, je baissais longuement mon regard sur son corps, fixant alors ses cuisses un long, très long moment avant de monter une main sur son visage la caressant faiblement un sourire au bout des lèvres.

« Les femmes, en effet, peuvent se montrer machiavélique et terrible… Mais tu regretterais d’avoir fermer tes cuisses… Avoue qu’elles sont mieux ouvertes avec moi entre celle-ci pour te donner le meilleur plaisir qu’il soit… » soufflai-je doucement en me levant l’air de rien lui proposant alors une douche, sans même lui laisser le choix à la vérité, j’aimais bien ne pas lui laisser le choix, de toute façon et que je tiens bien mes promesses et même ce que je dis… « Hm je te fais confiance alors … Comme pour tes coups de reins qui étaient à la hauteur de la promesse. » Gémissant a cette affirmation, je lui lançai un regard des plus explicite, souriant alors en coin en voyant que je l’avais clairement satisfaite du coté cul sans avoir fait grand-chose, mais il fallait tout de même dire qu’elle m’avait inspiré et que j’y était franchement sauvage… je n’avais pas lésiné sur ma force et ma puissance pour lui faire l’amour… Empoignant franchement ses seins l’air de rien, plus par envie qu’autre chose, je lui lançai un regard des plus taquin en léchant longuement mes lèvres sans la quitter du regard. « Je tiens toujours mes promesses… Tu le sauras pour la prochaine fois… » Est-ce qu’il y aurait une prochaine fois ? Je me le demande bien… J’espérais bien que oui… Passant mes pouces avec franchise sur ses tétons l’air de rien, les faisant durcir, je pu voir sa surprise, souriant en coin de voir que je lui faisais un sacré effet. « Hey ! C’est pas … Du jeu ça ! Est-ce que moi je te fais … Ca !? » Haussant un sourcil en sentant rapidement sa main se poser sur mon membre avec poigne et force, je grognais faiblement avant de lâcher un franc gémissement de plaisir. Sa petite main se logeant là me rendait fou. Poussant un faible soupire en déglutissant avec difficulté, je la regardais longuement en baissant un vague regard sur son corps, léchant fortement mes lèvres en fermant alors les yeux. « C’est pas pareil… Vraiment pas pareil… Je t’ai simplement touché les seins, les tétons plus précisément… Je ne t’ai pas non plus… »[/color] Sans finir ma phrase je glissai a mon tour ma main entre nos corps pour poser ma main sur son intimité, glissant alors franchement trois doigts en elle touchant rapidement son poing g les faisant alors glisser a plusieurs reprises l’air de rien, avant de les retirer l’air de rien.

« fait ça… » Murmurai-je l’air de rien avant de la voir s’éloigner pour filer alors sous la douche. La regardant filer, je souriais en coin avant de me relever a mon tour pour la suivre, marchant lentement dans la chambre allant alors dans la salle de bains m’appuyant sur la paroi de la douche sans pour autant y entrer la détaillant longuement du regard, ayant l’impression d’avoir une déesse devant moi, ce qui a la vérité vrai. Sans attendre, je lui murmurais alors qu’elle était une douce tentatrice et qu’elle était bel et bien capable de faire bander un mort tellement elle était parfaite… « Hm … C’est bon à entendre … Et moi il n’y a que toi que j’ai envie de faire bander. » Mordillant ma lèvre en voyant son regard se perdre vers mon entre jambe, je passais rapidement à plusieurs reprises, ma langue entre mes lèvres, mon souffle s’accélérant comme ayant du mal à respirer, sous ces paroles si plaisante à entendre. « Est-ce une sorte de sous entendu pour dire que tu ne veux plus que moi dans ton lit ? » Demandai-je en entrant alors dans la douche, fermant la paroi derrière moi avant de la voir s’approcher de moi pour me laver plus ou moins avec lenteur, s’occupant bien de mon corps. J’en rêvais depuis tellement de temps, Kristen avec moi sous la douche, ses mains sur mon corps, tout était parfait, il n’y avait strictement rien a redire. Penchant ma tête en arrière sous l’afflux de plaisir, je pris une profonde inspiration avant de revenir vers son visage déposant de doux baiser sur ses lèvres quelque peu sonore, avant qu’elle ne m’annonce que je n’avais nullement besoin de photoshop contrairement a d’autre. Riant faiblement, me la jouant plus que de raison, je lui lançai un regard taquin avant de lui dire que je n’avais jamais eu besoin de photoshop et que j’allais porter plainte contre celui, ou celle qui dirait cela. « Si un autre que toi avait dit ce genre de chose, je me serais foutu ouvertement de lui. Mais toi … Toi … Je suis d’accord avec toi ! Tu es naturel et naturellement parfait ! Au point même, d’être trop beau pour être vrai. »

Souriant en coin en l’entendant dire cela, chose que j’aimais atrocement, je lui lançai un regard totalement sauvage en passant lentement ma langue entre mes lèvres sans la quitter du regard, comme pour la provoquer plus que de raison. Kristen était une femme totalement envoutante, désirante, sensuelle et surtout putain de bandante… Je l’avais pourtant connu petite… Enfin petite, dix ans, et j’en avais juste vingt de plus soit trente ans… Mais il faut croire que de nous retrouver était fabuleux et je ne regrettais vraiment rien, absolument rien même… Kristen était la femme idéale, elle était a mes yeux celle qu’il me fallait, certes elle était actrice et serait beaucoup prise, tout comme moi, mais ne dit on pas que l’amour rend plus fort et que rien ne peut le briser ? Je pouvais bien le croire, je n’avais rien à y perdre de toute façon… Mordillant longuement mes lèvres en venant frotter mon nez au sien je déposai alors un doux baiser bruyant sur ses lèvres. « Naturellement parfait ? C’est ce que je suis à tes yeux ma Kristie ? Trop beau pour être vrai ? Tu sais que venant de toi ça me rend totalement fou ? Dingue, j’ai envie de te prendre à nouveau contre un mur là tout de suite… Malheureusement… Mon corps ne suit pas. Désolé. » soufflai-je doucement avant de la plaquer franchement contre la paroi de la douche, l’embrassant alors fortement comme pour me donner du peps et pouvoir me rendre actif sexuellement pour pouvoir la prendre dans cette putain de douche. Sentant une jambe a elle monter contre la mienne, je lâchais un bref cri de plaisir en posant alors ma main sur cette cuisse la pressent fortement avant de passer ma main sur sa fesses la remontant sur sa taille puis son sein allant poser ma main sur sa gorge, sentant alors sa main sur mon membre. Grognant de plaisir en tremblant fortement, j’avais l’impression de crever, lui murmurant alors qu’elle était à mes yeux une douce tentatrice comme jamais je n’en avais connu… « Je crois que je m’en serais doutée oui. »

Souriant en coin en posant mes mains sur la paroi de la douche, de part et d’autre de son corps, je baissais un vague regard sur son visage avant de reculer lentement mon corps, touchant toujours le sien du mien. Je voulais simplement voir sa main sur mon membre, je voulais la voir faire, je voulais voir sa petite main tenir mon membre. Inspirant longuement en penchant ma tête en arrière, je poussais un franc soupire de bien être. Je ne pouvais pas… Faire l’amour à nouveau, j’aurais vraiment aimé le pouvoir, mais jusqu’à présent, ça ne m’était jamais arrivé, il me fallait tout de même de longues heures pour y arriver. Par exemple, le temps de me doucher, de manger, de faire quelques petits trucs, et hop c’était bon, je n’étais pas un robot, j’étais loin de l’être… Je pouvais faire des miracles au lit au vu de l’expérience que j’avais et des femmes avec lesquelles j’avais couché, mais de là a me faire passer pour un robot, non, malheureusement ce n’était pas possible. Soufflant longuement en me concentrant, je m’approchais doucement de son visage, penchant le mien un peu sur le coté afin de bien déposer mes lèvres sur les siennes. L’embrassant tout en douceur, ms lèvres effleurant lentement les siennes, bougeant a peine, dans un souffle léger, je passai lentement ma langue sur ses lèvres avant de la glisser dans sa bouche avec une once de timidité, comme pour rendre ce baiser si intense en émotion et sensuelle à souhait. Poussant un faible gémissement de plaisir je posais alors doucement une main sur son sein avec envie, le malaxant alors lentement en passant mon pouce sur son téton le faisant alors durcir lentement tout en souriant en coin. Attrapant sa lèvre de mes dents je la lui tirais doucement en déplaçant alors mon visage dans son cou embrassant doucement sa peau, l’eau coulant toujours sur nous. Caressant sa taille si fine, pressent bien mes doigts contre sa peau en gémissant longuement. « Tu es si délicieuse… » Marmonnai-je doucement en descendant le long de son corps enfouissant rapidement ma tête entre ses seins les lui mordillant chacun a leur tours les lui suçotant longuement faisant quelques suçons dessus avant de glisser mes mains entre ses cuisses les lui écartant l’air de rien avant de poser une main sur son intimité frottant la pomme de ma main sur son point sensible avec douceur. Mordant franchement son sein en glissant rapidement deux doigts en elle, je bougeais très lentement ceux-ci sans laisser ses seins tranquilles avant de me relever pour l’embrasser franchement glissant mes doigts plus fortement en elle en caressant son point sensible de mon pouce avant d’attraper sa main la lui posant sur mon membre. « Je te veux ! Je te veux, tu me rends fou mais… Merde, on vient de le faire… » Soufflai-je comme pour lui dire qu’il fallait vraiment qu’elle m’aide a durcir rapidement…

« Tu rigoles ? Bien sur qu’il me plait ! Il est unique ! Tu es bien la seule à me donner un surnom original que personne jusqu’à présent ne m’avait donné. Il est très bien crois moi Kristie d’amour… » Souriant en coin, je lui adressais un regard taquin, en enroulant bien mes bras autour de lui pour le serrer vivement contre moi et enfouir mon visage dans son cou, sans répondre quoi que ce soit. Kristie d’amour … Amour … Serais-ce faire preuve de sottise et de naïveté que d’oser espérer qu’il était bel et bien question d’amour entre nous ? Avais-je le droit de songer un seul petit instant, que Jared puisse être sincèrement amoureux de moi ? Je ne doutais pas qu’il n’était pas du genre à venir ici pour me faire l’amour simplement parce qu’il avait eut envie de sexe. Non seulement j’avais été une sorte de petite sœur pour lui durant de longues années et il n’aurait donc pas prit le risque de tout briser juste pour une histoire de cul. Mais en plus, il y avait tout un panel de femmes qui n’attendaient qu’un signe, un geste, une parole de sa part, pour sauter dans son lit et connaître avec lui ce qu’était le paradis sur terre. Mais surtout, tout un tas de femmes toutes plus belles les unes que les autres. Non décidément, je ne doutais pas qu’il n’était pas avec moi uniquement pour le sexe. C’était quelque chose d’autre. J’en étais convaincue ! Le laissant me décoller de mur sans me relâcher, je frissonnais de bien être en le sentant m’allonger sur le lit et rester un moment sur moi avant de se laisser tomber à mes côtés. Pour le taquiner un tant soit peu comme j’aimais à le faire, je lui fis remarquer que je pourrais bien serrer mes cuisses, juste pour l’ennuyer. Comme il ne m’en pensait pas capable, je lui fis remarquer que les femmes avaient l’esprit de contradiction et que, par conséquent, je pourrais bien le faire uniquement pour lui donner tort. Le voyant s’asseoir sur le lit, je tournais la tête vers lui, le détaillant longuement du regard et admirant encore une fois sa beauté si parfaite et unique à lui. Il n’y avait aucun doute que Jared Leto était à mes yeux le plus bel homme qui soit. « Les femmes, en effet, peuvent se montrer machiavéliques et terribles… Mais tu regretterais d’avoir fermé tes cuisses… Avoue qu’elles sont mieux ouvertes avec moi entre celles-ci pour te donner le meilleur plaisir qu’il soit… » Frissonnant longuement à ces propos si excitants en soit, je me mordillais fortement la lèvre pour ne pas gémir d’envie que l’on reprenne nos ébats. « Hm … Dire le contraire serait mentir. Toi entre mes cuisses, qui glisse inlassablement en moi, longuement, sauvagement, nos corps en sueur, nos cris mêlés, nos jouissances simultanées … » Lâchais-je alors doucement, sans le quitter du regard, me tuant moi-même tant je me donnais envie de lui à cet instant là. Un désir que je ne contrôlais pas et que je n’avais pas l’habitude ressentir pour qui que ce soit.

Par la suite, il quitta le lit en m’entrainant avec lui pour que nous filions rapidement prendre une douche ensemble. Comprenant que ce n’était pas une proposition mais bien un ordre, nous en arrivâmes à parler de ses promesses. L’air de rien, je précisais qu’il avait bel et bien tenue celle concernant ses coups de reins qui avaient été tout bonnement divins et destructeurs. Ses mains empoignant fermement mes seins, je me figeais doucement et le laissais faire, le souffle franchement coupé tant ceci était plaisant comme pas permit. « Je tiens toujours mes promesses… Tu le sauras pour la prochaine fois… » Souriant faiblement tant mes pensées étaient obnubilées par ses mains posées sur mes seins, je hochais faiblement la tête en le regardant longuement sans me lasser. « Je sais que tu es un homme de parole. » Soufflais-je doucement avant de gémir quelques peu lorsque ses pouces caressèrent mes tétons, les faisant franchement durcir. Surprise par son culot, je lui fis remarquer que ce n’était pas du jeu, avant de lui demander si moi je lui faisais ça, empoignant alors fermement son membre. Son faible grognement suivit d’un franc gémissement, j’eus un sourire en coin en lui adressant un regard taquin, voyant combien je pouvais lui faire de l’effet. L’air de rien, je relâchais son membre sans le quitter du regard, déjà en train de savourer ma victoire. « C’est pas pareil… Vraiment pas pareil… Je t’ai simplement touché les seins, les tétons plus précisément… Je ne t’ai pas non plus… » Avant que je n’ai eus le temps de comprendre ce qu’il me réservait, il posa une main sur mon intimité pour y glisser franchement trois doigts. Sursautant doucement devant son culot, je me figeais fortement en contractant mon intimité par pure réflexe tant c’était bon. Sentant alors ses doigts atteindre mon point g pour le titiller fortement, je lâchais un franc cri de surprise et de plaisir, me laissant alors submerger par un orgasme aussi soudain que violent et dévastateur. Il le fut tant d’ailleurs, que je sentis mes jambes flancher sous le plaisir, me rattrapant à ses épaules pour ne pas tomber tant mon équilibre me faisait soudain défaut. « fait ça… » Le souffle court et précipité en raison d’un plaisir bien trop intense pour rester sans conséquence, je restais collée à lui sans le quitter du regard, le corps tremblant encore fortement de plaisir. « Bon sang ! Je … Suis morte, assassinée, tuée, exterminée … On m’avait jamais … Fais un truc pareil … »Soufflais-je d’une voix faible, encore sous le choc. Par la suite, encore totalement sonnée et presque perdue par tant de plaisir, je me détournais de lui et filais seule dans la salle de bains, pour m’engouffrer dans la douche.

Lorsque Jared me rejoignit dans la salle de bains, je le regardais s’arrêter devant la cabine de douche en me faisant remarquer que même un mort banderait devant moi. Souriant quelque peu tant c’était plaisant d’entendre celui, je lui répondis sans hésiter, que je ne voulais plus faire bander que lui et personne d’autre. « Est-ce une sorte de sous entendu pour dire que tu ne veux plus que moi dans ton lit ? » Oui … Clairement oui ! Au diable Robert Pattinson et son amour. Et bonjour à Jared Leto qui était sans doute la personne de laquelle j’étais la plus proche en dehors de ma famille. J’avais bien quelques meilleurs amis. Mais ce n’était franchement rien à comparer de ce que je pouvais bien ressentir pour lui. Lui, il pourrait très aisément devenir mon tout. C’était aussi simple que cela. « Si je suis la seule dans ton lit alors je veux que tu sois le seul dans mon lit … » Répondis-je calmement sans le quitter de mon regard des plus sincères que je plongeais dans le sien. J’étais clairement en train de lui dire que je le voulais, lui seul et rien que lui, dans ma vie. En tant que petit ami ? Ca y ressemblait fortement en tout cas. Certes il me faudrait quand même le temps de laisser tomber Robert puis laisser le temps au temps pour éviter que je ne passe pour une salope qui va de bras en bras. Ma réputation avait déjà été mise bien à mal lorsque les journaux avaient affirmés que j’étais avec Robert, aussitôt ma séparation avec Michael rendue officielle. Alors que tout cela était entièrement faux car à cet époque, si Robert me voulait, ses sentiments n’étaient en rien partagés. Mais pour le coup, ce que je lui faisais à présent, me ferait clairement passer pour une salope aux yeux du monde entier. Ce qui ne m’empêchait pas de continuer car j’étais trop bien avec Jared, pour mettre tout ça en stand by. Une fois qu’il fut dans la douche avec moi, j’entrepris de laver longuement son corps avec lenteur, pour en profiter pleinement, lui faisant alors remarquer que contrairement à bien des gens, lui n’avait pas besoin de Photoshop. Le voyant apprécier mes gestes, je souriais en coin en le laissant alors déposer de brefs baisers sonores sur mes lèvres, qui me firent frissonner doucement. « Naturellement parfait ? C’est ce que je suis à tes yeux ma Kristie ? Trop beau pour être vrai ? Tu sais que venant de toi ça me rend totalement fou ? Dingue, j’ai envie de te prendre à nouveau contre un mur là tout de suite… Malheureusement… Mon corps ne suit pas. Désolé. » Riant doucement en lui lançant un regard taquin, je posais mes mains sur sa taille sans le quitter du regard et déposant un lent baiser sous sa bouche, pour le taquiner un tant soit peu. « Naturellement parfait ! Divinement parfait ! Pourquoi venant de moi plus que venant de quelqu’un d’autre ? » Demandais-je l’air de rien en caressant lentement sa taille de mes mains. « Hmpf tant pis … Je me débrouillerais toute seule. A moins que je ne parte à la recherche d’un homme politique dans l’hôtel ? J’aurais peut être un peu de chance … » Lâchais-je l’air de rien et le plus sérieusement possible malgré mon regard amusé, reprenant alors ses propres plaisanteries balancées dans ses messages avant son arrivée ici. Sans attendre une minute, il me plaqua alors fermement contre le mur, me lâchant un bref cri excité, avant qu’il ne plaque vivement ses lèvres sur les miennes pour m’embrasser sauvagement. Sans me faire prier, j’y répondis avec tout autant de fougue que lui-même en mettais. Frissonnant longuement, je remontais doucement une jambe le long de son corps, sentant alors sa main se poser dessus pour remonter sur ma fesse et continuant son parcours pour s’arrêter sur ma gorge, après être passée aussi sur ma taille et ma poitrine. Posant alors une main sur son membre, j’enroulais mon autre bras autour de son cou pour le serrer contre moi en frissonnant longuement d’envie.

Ses mains se posèrent de part et d’autres de mon corps, sur la paroi de la douche, semblant alors me maintenir prisonnière contre lui. Et plutôt que de ressentir une certaine sensation d’étouffement ou de peur, je n’en n’éprouvais qu’une intense sensation de réconfort, de protection et même, d’excitation. Son corps frôlant le mien, je ne retirais pas sa main de son membre, alors que je venais de le laver de mes mains, de la tête aux pieds. C’était un réel plaisir que de ressentir sa peau si douce sous mes mains, ses muscles parfaitement dessinées, son corps tout simplement. Le détaillant longuement du regard sans relâcher son intimité, je souriais quelque peu en coin en le regardant faire, chacun de ses agissements semblant contenir toute la frustration qu’il ressentait à ne pas pouvoir me faire l’amour aussi rapidement après que nous l’ayons fais. Je savais parfaitement qu’un homme ne pouvait pas repartir aussi rapidement et je ne lui en voulais donc pas. Même s’il était certain que je n’aurais vraiment pas été contre pour recommencer dans cette foutue douche. Totalement prise au piège de son corps contre le mien, je le laissais m’embrasser avec douceur, répondant à son baiser en penchant quelque peu le visage à mon tour, pour sentir la pression de ses lèvres sur les miennes. Sa langue se glissant avec lenteur dans ma bouche, je me figeais quelque peu sous l’afflux intense de plaisir et de bien être. Ce baiser si doux, lent et tendre, était hautement excitant et plaisant. Sa main se posant lentement sur mon membre, je laissais échapper un doux gémissement de contentement contre ses lèvres, mes pointes se durcissant franchement comme en attente de caresses, ce qu’il ne tarda pas à faire de son pouce, avec douceur, pour mon plus grand plaisir. Sentant ses lèvres se détacher des miennes pour que ses dents se mettent à mordiller ma lèvre inférieure, j’entrouvris les lèvres en soupirant doucement de bien être, plongeant mon regard vers dans le sien d’un bleu limpide et envoûtant. Ses lèvres glissant lentement dans mon cou, je fermais doucement les yeux et penchais à peine la tête de côté pour lui laisser pleinement le champ libre, tandis qu’un doux gémissement s’échappait de mes lèvres entrouvertes.« Tu es si délicieuse… » Frissonnant longuement de plaisir sous ces mots si bons et plaisants à entendre de la part de celui qui était en train de me faire vivre sans doute les plus belles choses de toute ma vie, je remontais mes mains dans son dos pour les faire redescendre avec lenteur, le griffant franchement sans doute au point de le marquer. Sans que cela ne m’arrête pour autant … Il me marquait, je le marquais en retour. C’était tout aussi jouissif que tout ce que nous faisions ensemble, depuis qu’il était venu me rejoindre dans cette chambre d’hôtel anonyme mais luxueuse. « Je meurs … Je suis en train de mourir sous trop de plaisir. » Soufflais-je d’une voix des plus basses, comme par crainte de rompre la magie de l’instant.

Son visage glissa lentement le long de mon corps, jusqu’à l’enfouir entre mes seins, me faisant frissonner plus encore de plaisir. Me mordillant les lèvres, je baissais le regard pour le voir faire, enfouissant mes mains dans ses cheveux pour les empoigner doucement. Ses mordillements me firent gémir doucement et je le laissais m’écarter les cuisses sans y opposer de résistance. Sentant paume de sa main frotter lentement mon point sensible, je me mordis longuement la lèvre en laissant échapper un bref gémissement, pressant ma tête contre la paroi de la douche en fermant les yeux. La morsure qui suivit sur l’un de mes seins, me fit lâcher un énième gémissement, qui se transforma en bref cri lorsqu’il glissa deux doigts en moi. Ecartant plus encore les jambes, je lui laissais le champ libre pour continuer sa douce et envoûtante caresse. Mais bien vite, comme brutalement excité, il se redressa pour m’embrasser sauvagement tout en bougeant plus vivement ses doigts en moi et caressant mon point sensible avec insistance. Gémissant fortement contre ses lèvres, je l’embrassais sauvagement en empoignant ses épaules et les griffant en réponse au plaisir qu’il me procurait, soupirant doucement de bien être lorsqu’il prit ma main pour la poser sur son membre. « Je te veux ! Je te veux, tu me rends fou mais… Merde, on vient de le faire… » Gémissant doucement en croisant son regard, j’empoignais fermement son membre pour faire de lents vas et vient sans le quitter du regard. Me mordillant lentement la lèvre, je repoussais doucement ses mains pour poser les miennes sur ses hanches, le faisant ainsi lentement reculer jusqu’à ce qu’à le plaquer contre le carrelage de la douche. Glissant mes mains sur son torse, je le tâtais franchement en l’empoignant et le griffant sous une montée d’envie fulgurante, finissant par empoigner à nouveau son membre avec fermeté pour faire de lents vas et vient. « Seph je … N’ai pas beaucoup d’expérience dans ce domaine. Alors si c’est … nul … je … Tu … » Mes joues virant au rogue cramoisi tant j’étais gênée par mes propres mots et même la pensée de ce que j’allais faire, je baissais le regard sans terminer ma phrase, finissant par me baisser devant lui. Déposant de brefs baisers sur son torse, je descendis résolument le long de son corps, sans relâcher son membre, m’arrêtant une fois à sa hauteur avant d’y déposer de lents baisers. Après avoir parcouru son membre de faibles baisers, je le recouvris de salive en le caressant longuement de la pointe de ma langue. Après quoi, je refermais mes lèvres dessus, le prenant entièrement en bouche, pour faire de lents vas et vient, relevant le regard vers lui comme pour m’assurer que je ne faisais pas n’importe quoi.

« Hm … Dire le contraire serait mentir. Toi entre mes cuisses, qui glisse inlassablement en moi, longuement, sauvagement, nos corps en sueur, nos cris mêlés, nos jouissances simultanées … » Me pinçant les lèvres en sentant mon corps se faire envahir par des frissons d’envies, je lui lançai un regard on ne peut plus coquin. Kristen était la tentation incarnée, elle était là face à moi et je ne pouvais pas rester de marbre face à une aussi jolie femme. Baissant mon regard vers son entre jambes, je me mordis doucement les lèvres en frissonnant de bien-être. Lui faire l’amour avait été quelque chose de fabuleux, grandiose, fantastique… Faire l’amour à Kristen était merveilleux ! Mieux que dans mes rêves les plus fous même… « Hum, hum… Tais-toi va… J’ai encore des sensations dans tout mon corps… De ton étroitesse à tes cris… griffures, morsures… Hum… » soufflai-je doucement en lui lançant un regard on ne peut plus taquin. Parlant par la suite de ma parole, je lui fis comprendre alors que tout ce que je disais je le faisais, je n’étais pas du genre à parler dans le vide et il était clair que je ne voulais pas la décevoir… Jamais ! Il en était hors de question même… « Je sais que tu es un homme de parole. » Souriant en coin en lui claquant faiblement une cuisse pour confirmer ses dires, je me relevais en même temps qu’elle tout en lui touchant les seins. Ceux-ci durcissant elle me demanda alors si elle, elle faisait pareil en attrapant mon membre. Chose totalement différente. Mon membre s’était mon membre, je n’avais pas touché son sexe … Chose que je lui fis rapidement comprendre en plongeant ma main vers son entre jambe en glissant franchement deux doigts en elle pour toucher son poing G. L’orgasme fut son arrivé assez rapidement. La voyant se figer puis trembler en prenant pleinement son pied, elle s’agrippa à moi comme impossible de tenir debout sous cet afflux de plaisir. Et autant dire que c’était on ne peut plus plaisant à voir ! Souriant en coin, je la regardais sans me lasser, cette vision enchanteresse me plaisant comme jamais. « Bon sang ! Je … Suis morte, assassinée, tuée, exterminée … On m’avait jamais … Fais un truc pareil … » Souriant en coin en léchant mes lèvres, je gardais mes doigts en elle les bougeant très lentement, titillant faiblement son point g la tenant alors fermement contre moi, tout en sortant alors mes doigts. Caressant du bout de ceux-ci son point sensible, je me mis à la caresser de toute ma main. Cet endroit si chaud et si plaisant à découvrir. Humide d’envie et de plaisir, me rendait totalement fou. « Et bien maintenant je te l’ai fait ! Et j’espère pouvoir rester le seul à pouvoir te faire ce genre de chose… Je sens que je vais en abuser… Te voir jouir si rapidement et te mettre dans cet état là… Hum… » Soufflai-je doucement en mordillant mes lèvres claquant alors l’air de rien l’une de ses fesses en la voyant partir quelques instants plus tard pour prendre la douche. Une douche chaude, très chaude comme elle l’avait si bien dit. J’espérais fortement qu’elle le soit ! La rejoignant dans la salle de bains alors qu’elle-même était dans la douche, je la regardais, telle une divine apparition, une illumination qui me venait droit du ciel.

Ce que je lui fis remarquer en disant que même un mort pouvait bander à sa vue, chose à laquelle et rétorqua qu’elle ne voulait faire bander que moi… Je ne pus m’empêcher alors de demander si c’était là une façon de me dire qu’elle ne voulait que moi dans son lit. « Si je suis la seule dans ton lit alors je veux que tu sois le seul dans mon lit … » Souriant en coin à cette affirmation, je l’a détaillé longuement du regard, me mordillant les lèvres, comme exciter de la vue qu’elle m’offrait. Sa phrase, clairement parfaite et surtout annonçant un choix on ne peut plus franc, mon cœur ne put que s’emballer… Elle venait de m’annoncer de façon explicite qu’elle me voulait exclusivement. C’était donc, une sorte de couple non ? Elle avait du culot, elle avait de l’envie, elle me rendait fou, et bon dieu, je voulais dire oui ! Léchant rapidement mes lèvres en me rapprochant d’elle, je souriais de plus en plus. « Est-ce une demande officiel ma poupée ? » Demandai-je d’une voix sensuelle terriblement rauque par le désir qu’elle créait en moi. La rejoignant rapidement dans la douche, elle ne perdit pas de temps pour me laver lentement et tranquillement. M’annonçant alors que contrairement à d’autre je n’avais pas besoin de Photoshop, j’en fus vraiment touché venant de sa part. C’était un compliment agréable à entendre surtout venant de la fille que l’on aime. Et ça je ne pus m’empêcher de lui dire. Juste le fait que ça me rendait dingue que ça soit d’elle, je n’allais pas lui dire que je l’aimais, pas si tôt, je ne voulais en rien la brusquer et je savais qu’il y avait toujours cet anglais dans ces pattes… Il l’a voulait depuis tellement de temps… Comment pouvait-il encore espérer après tout ce temps. ? « Naturellement parfait ! Divinement parfait ! Pourquoi venant de moi plus que venant de quelqu’un d’autre ? » Souriant en coin, je lui lançais un regard des plus pervers en léchant rapidement mes lèvres comme n’ayant qu’une envie, lui sauter dessus. « Hmpf tant pis … Je me débrouillerais toute seule. A moins que je ne parte à la recherche d’un homme politique dans l’hôtel ? J’aurais peut-être un peu de chance … » Haussant un sourcil, levant alors les yeux au ciel, je restais un long moment silencieux, sans pour autant la quitter du regard. Cette fille était surprenante, elle pouvait rire de choses qui ne ferait pas rire d’autre personne. On savait tous les deux de quoi elle parlait. De l’affaire de cet homme politique français qui avait violé une femme de ménage dans un hôtel sur New-York. Pathétique dans un sens… Mais ce n’était pas nos affaires et nous avions autre chose à faire que de penser à ce type totalement dégueulasse qui ne savait vraiment pas y faire avec les femmes de toute évidence… Souriant en coin en passant ma main sur sa joue, je penchais doucement la tête en fronçant alors les sourcils.

« Pourquoi toi plus qu’une autre ? La réponse me parait évidente Kristie… » Murmurai-je doucement en caressant à présent sa gorge un sourire au bout des lèvres. Je voulais qu’elle devine d’elle-même… « Hey la jeune fille…Un musicien comme moi devrait te suffire… Sort de cette douche et tu feras de moi un homme frustré… » Soufflai-je doucement en la plaquant un peu plus contre la paroi de la douche. Elle était à moi et a personne d’autre, même pas un foutu homme politique ! L’embrassant alors sauvagement sous le coup, une pulsion s’emparant de moi, je la plaquais bien contre le mur dans un espoir vint de m’exciter tout comme j’avais envie de l’exciter bien évidement. J’étais un homme faible, à ne pas en douter ! J’avais très envie d’elle, j’étais excité mais mon corps ne suivait malheureusement pas la cadence. Découvrant avec intensité et plaisir son corps, je l’embrassais, je la caressais longuement, je voulais me l’approprier et lui montrer que je l’a voulais. A mon avis elle l’avait tout aussi bien deviné aisément sans aucun souci. Sa jambe remontant le long de mon corps, je posais ma main sur sa cuisse allant alors attraper sa fesse la palpant sans aucune gêne un sourire au bout des lèvres. Tandis que sa main attrapa mon membre, je lâchais un franc grognement en bougeant le bassin perdant plus ou moins le contrôle de moi-même. Elle était en train de me tuer et ça ce n’était pas un euphémisme… Plongeant mon visage dans son cou, je lui murmurais alors qu’elle était délicieuse, très délicieuse… On ne peut plus délicieuse oui… Glissant alors vers sa poitrine tout aussi délicieuse qu’elle. « Je meurs … Je suis en train de mourir sous trop de plaisir. » Souriant en coin en mordillant longuement le téton de son sein, totalement durcit sous mes coups de langues, je relevais un regard vers elle, détaillant longuement son regard, ma main écartant rapidement ses cuisses l’air de rien pour venir caresser l’objet de toute tentation. Son sexe. Humide et chaud qui n’attendait que moi. J’avais envie de me l’accaparer, d’en faire mien pour de longues heures, je voulais simplement marquer mon territoire, y enfouir mon membre durcit afin de la faire jouir a multiple reprise, je voulais qu’elle comprenne que je ne l’a désirais pas qu’un peu… Je l’a voulait tout court ! Je l’aimais… J’étais fou d’elle… Elle avait retourné ma tête et je ne savais pas réellement comment cela s’était produit mais ça s’était fait…

Glissant rapidement deux doigts en elle alors que je lui mordrais la poitrine d’une délicatesse sans faille, je me redressais totalement à bout de souffle n’ayant qu’une envie la faire mienne, c’était malheureusement impossible, je voulais pourtant, je le désirais plus que tout, je voulais pouvoir assurer, mais là, c’était loin d’être possible, je n’avais jamais eu de rapport aussi rapproché autant dire que malgré mes trente-neuf ans, c’était on ne peut plus nouveau pour moi. Chose que je lui fis remarquer alors, que j’avais plus ou moins besoin d’aide de sa part. Je me sentais scrupuleusement honteux d’en venir là… Poussant ma main, mes doigts sortant de son intimité, je frissonnais aux siennes sur mes hanches en la détaillant longuement du regard. Sa main se fermant sur mon membre avec une fermeté si nouvelle que j’en écarquillais les yeux la regardant surprise. Nom d’un chien oui ! « Seph je … N’ai pas beaucoup d’expérience dans ce domaine. Alors si c’est … nul … je … Tu … » Haussant un sourcil, sans trop comprendre pourquoi elle me disait cela, alors que je savais pertinemment qu’elle n’avait pas beaucoup d’expérience, je l’a laissé faire, sa main tenant fermement mon membre, le pressant plus ou moins, créant des pulsions chez celui-ci, comme témoignant du plaisir qu’elle me procurait. Me pinçant les lèvres, en glissant une main dans son cou, mes yeux se fermèrent sous ses baisers sensuels. Mon torse, puis mon ventre, je l’a laissé faire en sachant alors, ce qu’elle s’apprêtait à faire. Je comprenais mieux à présent sa phrase. Sentant sa bouche sur mon sexe, je me figeais sous un afflux intense de plaisir. Ma bouche s’entrouvrant je cherchais l’air, comme aspiré par le plaisir qu’elle était en train de me procurer. Sa langue se mouvant faiblement sur mon membre, celui-ci commençant alors à durcir sur le coup. Déglutissant longuement, totalement envouté par sa bouche qui englobait alors mon membre entièrement, je me figeais en empoignant alors ses cheveux de façon sèche mais douce à la fois, lui lançant un regard totalement envouté et surpris. Oh bordel. C’était bien la première a y arriver. Serrant ses cheveux en poussant un râle roque de plaisir, mon corps se mettant a trembler, je bougeais faiblement le bassin, comme pour lui dire de continuer, non ne surtout pas arrêter ! Glissant ma main sous son menton le lui caressant doucement, je la fixais longuement en souriant en coin léchant alors rapidement mes lèvres. « Pas beaucoup d’expérience… Tu es sûre ? Mon dieu, tu as des talents cachés ma belle… » soufflai-je doucement en lui faisant plus ou moins bouger lentement le visage sous l’intensité du plaisir. C’était limite trop bon, tant c’était poignant et nouveau. La chaleur et l’humidité de sa bouche sur mon membre me rendait fou. A tel point que si elle continuait, je n’allais vraiment pas tarder a jouir. Et ça je ne le voulais pas, je voulais lui faire l’amour ! je voulais la prendre dans cette foutue douche ! Serrant ma main sur son menton, mes doigts s’enfonçant dans sa joue, bougeant rapidement le bassin, je me retirais en posant ma main libre sur le mur. « Pardon… Pardon… Mais je ne veux pas finir comme ça… J’ai besoin de te faire l’amour ! » Soufflai-je doucement en la relevant lentement plaquant alors mes lèvres sur les seines l’embrassant avec envie. Nos langues s’entremêlant, mon corps se collant au sien, ma main parcourant son corps, allant de sa cuisse a son sein le pétrissant franchement avec envie, je me reculais le sourire aux lèvres. Plongeant ma tête dans son cou la léchant lentement, je me mis a la tourner dos à moi ma main se logeant sur son point sensible. Le lui titillant lentement du bout de mes doigts, je découvrais lentement cette partie de son corps, en frissonnant longuement. Mon membre contre ses fesses, je le bougeais faiblement, comme pour la prévenir que j’allais la prendre dans cette position. Posant ma main libre entre ses cuisses les lui écartant doucement, j’empoignais mon membre le glissant sur son intimité pour le frotter longuement contre l’entrée si tentante, si envoutante, une entrée chaude et humide qui ne demandait qu’à accueillir mon sexe durcit de plaisir. Bougeant le bassin, lentement, entrant alors en elle, je me stoppais une fois entièrement en elle pour mordre son épaule. Ma main s’agrippant a sa hanche mes doigts titillant toujours son point sensible un sourire aux lèvres, je me mis alors a faire des vas et vient extrêmement rapide, mon bas ventre claquant ses fesses avec intensité.